Surveiller et punir

de l’organisation monacale. L’autorité y est absolue. L’organisation totale. Elle ne laisse aucune place à l’initiative. Les principes généraux de cette école sont l’enfermement et l’obéissance à la règle. C’est pourquoi Michel Foucault (Surveiller et Punir, Gallimard, 1975) fait de cette école le premier modèle de la prison. Dans les petites écoles qui préfigurent les institutions de redressement, les enfants plus ou moins abandonnés et prédélinquants reçoivent des rudiments de culture et un enseignement

( Somme). Il est en concurrence avec Syagrius à Soissons s’est fait proclamer roi des Francs  conflit. Bataille en 486 à Soissons, Clovis impose aux francs un chgmt pol : épisode du vase de Soissons  Clovis est soumis à la coutume mais il peut punir : légalité est une notion importante. La coutume change : suivre celle de Clovis. Responsabilité : unifier, civiliser, écouter ceux qui savent dirigés (clerc, évques, prêtres..). Il faut une entente avec les ecclésiastiques et la pop°. 486 : pol

d’abord sur le dos des sujets. » 7 Ainsi, transformer un corps (perçu comme) enlaidi par la maladie, l’accident, la vieillesse, la grossesse, etc., ne correspondant pas aux normes de la beauté et de la morphologie en vigueur, ou bien en vue de le punir selon les lois du moment (de la décapitation au marquage des délinquants), ou bien encore pour le modeler en vue de le conformer aux critères de la beauté féminine par exemple 8, tout cela participe de la mise en conformité des individus aux normes

Les prisons françaises sont gérées par l'administration pénitentiaire rattachée au ministère de la justice. Ces fonctions varient selon les époques et les sociétés. Aujourd’hui, les établissements pénitentiaires ont plusieurs fonctions telles que punir une personne ayant commis une faute d'une certaine gravité ; protéger la société des personnes dangereuses ; décourager les gens de commettre des actes interdits par la loi ; œuvrer à la réinsertion des détenus ; empêcher des prévenus de prendre

microphysique du pouvoir. 2- la « microphysique du pouvoir » chez Michel Foucault. L'idée de FOUCAULT est que le pouvoir s'exerce à partir de tous les points, de partout. Il développe cette idée à partir du travail qu'il a fait sur les manières de punir et la prison. a- les micro-pouvoirs est le dressage des corps. Il se place dans une perspective interactionniste du pouvoir. D'après lui, le pouvoir s'exerce à partir de point innombrables et dans le jeu des relations inégalitaires et mobiles

laquelle la démarche première perd son efficacité, si même elle n’entraîne pas des résultats inverses de ceux qu’on espérait. Le comble de l’absurdité étant, à notre manière, de traiter simultanément le coupable comme un enfant pour nous autoriser à le punir, et comme un adulte afin de lui refuser la consolation ; et de croire que nous avons accompli un grand progrès spirituel parce que, plutôt que de consommer quelques-uns de nos semblables, nous préférons les mutiler physiquement et moralement. De

donc expulser le coupable, de telle sorte que sa condamna° et son éxécu° permette même à son ame d’etre condamné. Faire disparaitre un facteur de désordre futur. Il s’agit de voter à Rome, que d’autres aient l’idée de commettre un crime. Cicéron : punir pour éviter que les autres fassent pareil Sénéque dans son traité pour la colère : que les suppliciés servent la chose publique par leur mort ou le sage punit pour qu’il ne soit plus commis de faute La puni° doit poursuivre une autre but. la peine

publicité pour Aérospatiale qui ajoute que « savoir se défendre, c'est pouvoir être libre ». Le risque, c'est qu'au nom de la légitime défense ou de la conservation, la société ne se transforme en une société de surveillance, dans laquelle chacun surveille chacun. Ce risque est accru par l'avancée des nouvelles technologies, qui amplifient les possibilités d'identification d'un individu à partir de ses traces ADN. Désormais, le contrôle de nos traces nous échappe, que ce soit les traces biologiques

France. Le débat sur la récidive, fait qui consiste pour un individu déjà condamné à commettre une nouvelle infraction, est de nouveau ouvert. Les Français s’interrogent : comment et pourquoi cet homme a-t-il été relâché ? Pourquoi n’était-il pas surveillé ? Ces questions en entraînent d’autres : les lois contre la récidive sont-elles efficaces ? La justice remplit-elle un rôle de protection contre les récidivistes ? En observant les chiffres de la récidive, on remarque que cinq ans après une libération

certain temps l’incarcération et donne un moment de liberté. Cette liberté est furtive et n’est qu’une sensation car autour de ces organisations sportives, se trouvent des gardes pour veiller au bon déroulement des activités et bien évidemment à surveiller les tentatives d’évasion, d’autant plus lors des rencontres à l’extérieur de la prison. L’image et la sensation de liberté pour certains peut devenir une réelle tentative d’évasion pour d’autres. III – La musculation et l'identité masculine : a)