Suzanne Au Bain

l’enfance, celle des relations entre frères et sœurs, de l’heure du bain, du repas et des jeux. Le roi Stéphane est autoritaire et peut devenir un vrai monstre quand sonne six heures du soir. Cet album évoque les terreurs nées de dictatures et la nécessité de les surmonter pour ne pas donner raison au tyran. Les membres terrorisés de la famille du roi Stéphane sont évoqués un par un, chacun exprimant sa peur à sa manière. Suzanne, Eric, Madeleine, Nathan et Anatole sont chacun représentés sur

bras et le visage qui avait séché dans la nuit. Pour plus de sécurité il se saisit d’un long couteau à viande qu’il prit avec lui ainsi que d’affaires neuves dans son placard. Il se ferma à clef dans la salle de bain et se lava. Une fois sa toilette terminée, il sortit de la salle de bain avec précaution et décida d’aller directement au commissariat de police le plus proche pour expliquer ce dont il avait été témoin. Mais avant cela il prépara un petit sac à dos avec dedans une bouteille d’eau ainsi

canal Saint-Martin et laisse libre cours à son imagination. Sa vie bascule le jour de la mort de la princesse Diana. Dans un enchaînement de circonstances qui suivent le choc de la nouvelle, elle découvre derrière une plinthe descellée de sa salle de bain une vieille boîte métallique remplie de souvenirs cachée par un garçon qui vivait dans son appartement plusieurs décennies avant elle. Fascinée par sa découverte, elle se met en quête de retrouver la trace de la personne maintenant adulte qui avait

palliatifs. On constate que le patient est dans le déni car lorsque l’aide soignante Simone lui dit « Allez, je vous conduis », Dimitri lui réponds « Je ne suis pas fatigué », un peu plus tard lorsque ce dernier décide de partir et que la bénévole Suzanne le retrouve sur la route entrain de marcher pour rejoindre le village voisin, on s’aperçoit aussi que Dimitri est dans le déni car il dit « Je ne veux pas y retourner, j’ai rien à faire dans ce mouroir ». On peut remarquer que Dimitri est dans le

contrairement au reste du roman. La famille est venue pour vendre le diamant que Suzanne a obtenu de M. Jo et s’est installée à l’Hôtel Central où le lecteur a fait la connaissance de Carmen qui a, pour la jeune Suzanne, un rôle d’initiatrice. Notre chapitre, au moment où Joseph a disparu, est précédé d’une scène où l’on comprend que la mère porte à son fils un amour exacerbé (sa disparition la rend malade) et où Suzanne, se sentant délaissée par la mère (« Il n’y avait que Carmen qui s’intéressait

amoureuse. Ou plutôt saint Wilhelm Stekel, ou KrafftEbing, ou n'importe qui sauf sainte Mélanie Klein qui est vraiment trop con. Erika von Tauberg à Suzanne Lacombe Vienne, le 4 août 1964 Je suis amoureuse. Stop. Tu peux tuer le veau gras. Stop. Erika. 2 Les amies d’Héloïse, Hélène de MONFERRAND Editions de Fallois, 1990 Suzanne Lacombe à Erika von Tauberg Dieppe, le 6 août 1964 Eh bien, Erika, voici une grande nouveauté, en effet. Si je compte bien cela ne t'est pas arrivé depuis

l’interrogeant sur son regarde, sur sa façon de regarder le nu. Histoire de ‘Suzanne et les vieillards’, deux juges regardent Suzanne tous les jours prendre son bain en jardin. Ils vont s’allier et lui proposer de se donner à eux, elle refusera et les juges vont l’accusé alors d’adultère. Elle sera condamnée à mort, mais il y aura Danielle qui interrogera les juges qui se contredit, prouvant finalement l’innocence de Suzanne. Deux, trois versions de ce tableau. Les vieillards changent toujours de perspective

la radio joue. Tout est normal. Il est en couple avec Suzanne. Un couple catégorisé « ordinaire ». Ils sont conformistes et rangés, jusqu’à ce qu’ils rencontrent Marc-André, un riche humoriste à succès. Il désire faire d’eux des cobayes pour son projet de téléréalité. Un projet « Artistique » où il demande à des couples normaux de se laisser plonger dans leur fantasmes sexuels et d’essayer l’infidélité sous l’œil indiscret de sa caméra. Suzanne et Pierre décident de se lancer dans ce jeux dangereux

du regard, prise de vue panoramique. L’avènement « du roi » Il est mis en valeur par opposition à la foule. « Devant lui » = supériorité de Duroy. « Enfin » = mépris ou impatience ? « Coulait comme un fleuve » = bain de foule. C’est lui qui dirige le mouvement (Cf le bras de Suzanne). Allure du Duroy : « lentement, pas calme, tête haute», « yeux fixés sur la baie ensoleillée » = issue lumineuse, sortie triomphale. Même le soleil semble saluer Duroy. Son égoïsme ressort : « il ne voyait personne »

Panh, sortira sur les écrans le 7 janvier 2009. Réalisation : Rithy Panh Scénario : Michel Fessler, Rithy Panh, d’après le roman de Marguerite Duras aux Éditions Gallimard Distribution : La Mère : Isabelle Huppert Joseph : Gaspard Ulliel Suzanne : Astrid Bergès-Frisbey Directeur de la photographie : Pierre Milon Musique originale composée et orchestrée par : Marc Marder 1 Un barrage contre le Pacifique de Marguerite Duras Fiche 1 Le roman, l’écrivain et le contexte Fiche