Suzeraineté

partir de 1677, ou probablement à partir d’une date antérieure même à 1648 jusqu’à l’heure actuelle. Cette souveraineté provenait de traités conclus avec les princes indigènes de l’île de Sangi (principale île des îles Talautse), établissant la suzeraineté des Pays-Bas sur les territoires de ces princes, y compris Palmas (ou Miangas). L’état des choses ainsi établi a 7 été confirmé, prétend-on, par des traités internationaux. Les faits allégués à l’appui des arguments des Pays-Bas ne sont pas

dit que le roi est doté de pouvoirs thaumaturgiques. Il a désormais le pouvoir de guérir les écrouelles en touchant les malades et en prononçant les mots suivants : « Le roi te touche, Dieu te guérisse » (on peut parler de Roi-prêtres) B] La suzeraineté du roi ♦ La construction de l’État ne peut certes pas s’identifier à la seule restauration d’un centre de pouvoir mais elle passe obligatoirement par lui tant ce centre politique a du constamment faire face aux réticences des pouvoirs locaux qui

France. Tant au niveau territorial avec l’agrandissement du domaine royal, qu’au niveau économique avec la croissance, et surtout au niveau politique, avec le soutien de l’Eglise, au travers de la pyramide féodale permettant au roi d’affirmer sa suzeraineté suprême. Un même projet politique commencé par Hugues Capet, unifiera les différents rois de la dynastie Capétienne, celui de construire un véritable état monarchique

renouvelée : la mer Noire est neutralisée : ouverte aux navires marchands de toutes les nations – sauf quelques exceptions pour la Russie et la Porte. Les bouches du Danube sont internationalisées. Les provinces danubiennes restent autonomes sous la suzeraineté de la Porte et sont placées sous la protection des puissances – une partie de la Bessarabie est rattachée à la Moldavie. Les droits de la Serbie sont confirmés et la garnison ottomane de Belgrade ne peut intervenir sans l'accord des puissances

monde. Il n'arrête pas de courir, mais il ne mourra pas non plus à bout de souffle. Il mourra à bout d'espaces. Ce monde-ci, celui des raisons infiniment complexes et raffinées qu'on appelle appartenances, allégeances, accointances, hommages et suzerainetés, fidélités, libertés (mais non pas la liberté !), ce monde aristocratique, le sien, n'est plus à la mesure de ce « grand seigneur ». Mais quelle serait donc sa mesure, à lui ? Elle s'exprime par une proposition négative et elle se développe dans

domination de la République de Venise. Cette situation perdurera jusqu'au XIXième siècle. Les Serbes, installés plus au sud, constituent d'abord une série de principautés (Raska, Duklja, Zahumlje, Neretvljanska, Konavli, Travunja, Zeta) sous suzeraineté byzantine, puis bulgare. Ils créent leur propre royaume sous Etienne (Stepan) Nemanjic en 1217, sur le territoire de l'actuel Kosovo. Celui-ci est couronné par un légat du Pape. Ils passent au rite orthodoxe en 1221, tandis que les Croates restent

nécessaire pour imposer les lois * La souveraineté est indivise => société est une. * Théorie de la suzeraineté : au 13ème => juristes pensent que roi et monarchie nécessaire => l’Etat est un corps et le roi est la tête => confirmé par la religion (Dieu est la tête de l’univers, le maitre. Roi est le maitre de l’Etat et pape de l’Eglise.) + notion de suzeraineté dégagée par l’Abbé de St Denis Suger en 1151 : * Roi au-dessus de la pyramide féodale * Il ne doit se subordonner

généralement à la féodalité. En réalité, par une construction théorique, le roi de France parvient à se positionner au sommet de la pyramide féodale. Le roi va affirmer sa supériorité sur l’ensemble du royaume. A) La théorie de la suzeraineté royale. Cette idée de la suzeraineté royale ne date pas du XIIème siècle. Elle est née dans l’esprit d’un conseiller d’Hugues Capet, Abbon de Fleury, mais elle s’est développée au XIIème siècle avec Suger. Abbon de Fleury avait fait publier une collection canonique

se prolongea jusqu’à une heure avancée de la nuit. Il est certain que le stratège soudanais réservait aux Arabes une place et un rôle de choix parmi les diverses ethnies de l’ancien Bornu, dont il avait renversé les positions traditionnelles de suzeraineté et de sujétion (Hagenbucher, 1973:235). En fait, le rapprochement entre les Arabes et Rabah étaient pour des raisons de sécurité chez les Arabes. Comme le réitère Jean Claude Zeltner, « les arabes reconnurent en Rabêh l’un des leurs. Ethniquement

XIIème siècle) , on a des capétiens qui dominent leur territoire et à partir de cela ils vont envisager une reprise en main progressive du royaume. Cette reprise en main progressive va passer par l'idée d'une suzeraineté royale. A) L'affirmation de la suzeraineté royale La suzeraineté royale va permettre un pouvoir royal de se positionner au sommet de la hiérarchie féodale c'est à dire qu'en se positionnant suzerain, le roi va réussir à imposer sa supériorité sur les seigneurs féodaux.