Suzeraineté

abstraite, notion de Couronne, prélude à l'Etat moderne. Section 1 : La suprematie royale l'Abbé de St Denis proclame le roi au sommet de la hiérarchie féodale. On passe de la suzeraineté royale à la souveraineté royale. I. La suzeraineté royale =supériorité sur le monde féodal. Pour que cette suzeraineté royale soit totale : → le roi, le suzerain, ne doit en aucun cas être intégré dans la chaîne que constitue tous les fiefs, les tenures. →Il faut aussi que les phénomènes de vassalité

amenèrent Ahmad Shah à pénétrer en Inde une quatrième fois. Mais avant cela, il se rendit au Baloutchistan pour réprimer Nasir Khan, un chef Brahui en rébellion contre les conquérants afghans. Ce dernier fut finalement contraint de reconnaître la suzeraineté du souverain afghan et il dut fournir plusieurs contingents d’hommes pour aller combattre les hindous. De tous ses exploits, et ils furent nombreux, sa cinquième expédition en Inde fut sans doute le plus important. Devant l’avancée afghane, les

plus en plus comme souverain. Ainsi on passera de suzeraineté à souveraineté. La notion de suzeraineté se rapporte au droit féodal, le droit de commander au titre du droit de la suzeraineté repose sur un plan plus personnel s’appuyant sur des contrats vassaliques et sur la conception patrimoniale. Le droit de commander procède ainsi à une personnification du pouvoir. Ces liens sont donc déterminant dans cette conception du pouvoir que fixe la suzeraineté et le roi est celui auquel les vassaux doivent

suzerain au sommet de la pyramide féodale. Ce roi n'est pas en lui même une autorité politique, sauf le sacre. Il n'est ni souverain ni chef d'État, il est un suzerain : le premier des seigneurs de son royaume. Le roi devient roi lorsqu'il sort de la suzeraineté pour devenir roi (XVe – XVIe siècle). Il y a aussi un équilibre économique. Hausse de la démographique alors que depuis la dernière partie de l'empire romain, la démographie romaine et européenne baissait. Essor démographique qui caractérise l'Europe

est immuable, il ne s’éteint pas : la souveraineté est donc perpétuelle. Le roi exerce ses pouvoirs en dernier ressort, sa souveraineté est donc absolue. Le pouvoir législatif est l’attribut essentiel de la souveraineté. Le roi est passé de la suzeraineté à la souveraineté lorsqu’il a eu la faculté de légiférer pour l’ensemble du royaume. Celui qui est sujet ne peut pas légiférer. Les lois ne s’appliquent pas au roi. Le roi décide dans le sens qu’il souhaite. Ce pouvoir est néanmoins limité par la

compagnie assume définitivement en 1765 le pouvoir effectif au Bengale, installant une domination britannique colonial durant près de deux siècles. En effet, la compagnie reçue de l’empereur moghol, qui conservait une suzeraineté théorique sur la province, le diwani du Bengale, soit le pouvoir de lever les impôts et de rendre la justice civile, tandis que le Nawab conservait le nizamat, soit en particulier les prérogatives de défense et la justice criminelle. De ce fait

placere », ce que l'on décide. Ses lois, abstraites et générales, et s'imposent dans tout le royaume « sans exception de personnes ou choses aucune, qui soient dans l'Etat » précisera Loyseau. La souveraineté se détache donc de l'idée de « suprême suzeraineté » développé par Suger au XIIème siècle, car c'est une notion de droit public et qui ne repose plus sur des rapports individuels, et rompt de manière nette avec la coutume rapportée par Philippe de Beaumanoir selon laquelle un roi ne pouvait « mettre

(1492-1520) Le partage du monde et la reconnaissance de l’espace caraïbe La couronne de Castille n’avait pas tardé à faire reconnaitre officiellement ses découvertes par l’autorité suprême de l’époque : la papauté. Le pape Alexandre VI reconnut la suzeraineté de la couronne de Castille sur ces nouvelles terres et la chargea d’en assurer l’évangélisation. Par la bulle Inter caetera de mai 1493, le pape imagine un premier partage du monde entre les deux puissances péninsulaires rivales qui finit par aboutir

se fit tuer au cours d’une bataille qu’il livra contre les Illyriens (ces derniers marchèrent ensuite sur la Macédoine.). Philippe fit alors en sorte d’évincer son neveu, Amyntas IV, et prit donc sa place. Le nouveau roi commença par accepter la suzeraineté des Illyriens, en épousant Audata, fille du roi Bardylis. En outre, Philippe II conclut un traité de paix avec Athènes.Puis, s’inspirant de ce qu’il avait appris lors de son séjour à Thèbes, il réforma l’armée macédonienne : les soldats étaient

A son avènement en 1180 (voir la carte p.398), Philippe Il ne contrôle directement qu’un domaine royal restreint centré sur 1'lle de France et l'Orléanais. La plus grande partie des terres du royaume, de l'Aquitaine à la Normandie, est sous la suzeraineté des Plantagenêts, eux-mêmes rois d'Angleterre (Duc de Normandie et du Maine, Henri de Plantagenêt épouse Aliénor, l'héritière du duché d'Aquitaine, avant de devenir roi d'Angleterre). Dès lors, le roi capétien n'a de cesse de réduire la puissance