Sweat-shirt

aille à ta dernière surprise. Et cette fois-ci, elle n’est que de moi ! On y va. - Si cette surprise est de toi, il y a de quoi avoir peur ! On peut y aller ! - N’aie pas peur !  Ils marchèrent sur la plage en sous-vêtements. Théa avait juste le sweat de Justin pour ne pas qu’elle attrape froid, et Justin avait juste son jean. Ils n’avaient pas beaucoup a marcher. Ils y étaient presque. Ils marchèrent pendant une dizaine de minutes, un peu plus. Ils étaient main dans la main. On aurait dit de jeunes

| Dimanche 17 août 1969: * Joe Cocker * Country Joe McDonald & The Fish * Mountain * Ten Years After * The Band * Johnny Winter * Blood, Sweat and Tears * Crosby, Stills and Nash * Jimi Hendrix * Jeff Beck Group * Iron Butterfly | Lundi  18 août 1969: * ShaNaNa * Paul Butterfield Blues Band * Jimi Hendrix | TROIS JOURS QUI CHIFFRENT (extrait d’un article

de Madagascar B BAOBAB COMPANY SARL Adresse : Lot II B 27 Faravohitra Mandrosoa Antananarivo 101 Madagascar Tél : 261 20 22 691 08 Fax : 261 20 22 691 08 Courriel : baobabcompany@moov.mg Dirigeant : Pierre CLIQUET Produits : Vêtements, Tee-shirt BOIS DE ROSE «CONFECTION» SARL Adresse : Lot II A 28 AZ Amboditsiry Antananarivo 101 Madagascar Tél : 261 20 22 409 87 Fax : 261 20 22 409 87 Courriel : bode.ros@moov.mg Dirigeant : Marie Suzanne RASOARINALA Produits : Vêtements enfants CLASSIC

disparition du régime communiste . Mais ne peut- on pas aussi y voir un « simple au revoir »? L'affiche nous montre en plan américain (!!) le héros, Alex, décontracté, les mains dans les poches de son pantalon ( « jean» ?!!) et les manche de son « sweat-shirt » ( !!) retroussées. Il nous regarde avec un léger sourire. Derrière lui, sa mère lui pose affectueusement la main sur l'épaule. Elle nous regarde aussi ( implication du spectateur). Les deux personnages semblent poser pour une photo...image en

Elle décroche un appel avec son kit mains-libres, entame une conversation enjouée. Elle pose ses pieds sur le siège, éclate de rire, et se lance dans le récit désinhibé d’une anecdote. Enveloppée dans une parka brune, sous un bonnet docker et un sweat à capuche, la silhouette massive d’un HOMME remonte lentement le wagon. Arrivé à la hauteur de la JEUNE FILLE, il s’écrase sur le siège en face d’elle, l’obligeant à ôter ses pieds et changer de position. Dérangée par sa présence, elle l’observe

Faudra penser à recommander du chanvre. Avec les fêtes qui approchent… Tiens, Marilyn, viens voir. Marilyn Tuvache a maintenant dix-sept ans. Indolente et avachie, de lourdes mamelles qui pendent, elle a honte de son corps qui l’encombre. Un tee-shirt la boudine, illustré d’un rectangle blanc bordé de noir à l’intérieur duquel on lit : « VIVRE TUE ». Plumeau à la main, elle déplace sans conviction de la poussière au bord d’une étagère où sont exposées des lames de rasoir pour se trancher les veines

dernière catégorie d'entreprises choisit de fabriquer sur leur marché domestique dans leurs propres usines. C'est le cas de Zara, qui fabrique encore une part importante de ses vêtements en Espagne, ou d'American Apparel, qui fabrique des tee-shirts et sweat-shirts en coton aux États-Unis. Comment gérer alors des coûts de production plus élevés que ceux des concurrents? La mondialisation a donc ouvert le champ des possibles pour les stratégies des entreprises du secteur textile. 2) Effectuer le diagnostic

problèmes, à la composition de stratégies, sans parler de la sociabilité et de la vie en groupe… Pas la peine de m’acharner, c’était fichu. J’ai changé de ton. — Bon. Si vous voulez, je peux me déshabiller et vous montrer que, sous mon jean et mon sweat-shirt, je porte un débardeur et une culotte boxer comme Lara Croft dans Tomb Raider… Sauf que mes sous-vêtements à moi sont en matière ignifugée et décorés avec des autocollants dinosaure phosphorescents. Personne n’a bougé. Même pas Christopher, et pourtant

Faudra penser à recommander du chanvre. Avec les fêtes qui approchent… Tiens, Marilyn, viens voir. Marilyn Tuvache a maintenant dix-sept ans. Indolente et avachie, de lourdes mamelles qui pendent, elle a honte de son corps qui l’encombre. Un tee-shirt la boudine, illustré d’un 14 rectangle blanc bordé de noir à l’intérieur duquel on lit : « VIVRE TUE ». Plumeau à la main, elle déplace sans conviction de la poussière au bord d’une étagère où sont exposées des lames de rasoir pour se trancher les

idée. Je claque des dents. Je ne peux plus reculer, pas devant ces gens en train de parier que je vais me dégonfler. Mes mains cherchent à tâtons le bouton de mon col. Je parviens enfin à le défaire et j’ôte ma tunique. Dessous, je porte un tee-shirt gris, plus moulant que tout ce que je porte d’habitude. Je ne me suis jamais montrée à personne comme ça. Je roule ma tunique en boule, je me retourne vers Peter et la jette sur lui de toutes mes forces, les mâchoires serrées. Elle l’atteint à la