Symbolique du cheval

soulignés et les adjectifs en gras, ils sont inversé par apport à l'autre phrase. L'accumulation L'accumulation consiste à ajouter des termes de même nature et de même fonction. Elle semble pouvoir se poursuivre indéfiniment: On lui fit un beau cheval qu'il faisait parader, sauter, voltiger, ruer et danser en même temps, aller au pas, au trot, à l'entrepas, au galop, à l'amble, autrot allongé, au trot anglais, au pas de hongre, au pas de chameau ou d'onagre (Rabelais) -La graduation est une

feuilles de papier recouvertes de gouache. Il substitue les ciseaux au pinceau et au crayon. Il atteint une forme décantée jusqu'à l’essentiel avec plus d’absolu et d’abstraction, tout en conservant l’objet. Il simplifie les formes, et utilise la symbolique des couleurs pour rendre toute l’évocation de l’histoire racontée. Une seule couleur « bleu », suffit a donner à ces corps de femmes une expression profonde. Le bleu devient un corps, un corps de femme devient une lumière. Dans cette œuvre, il s’agit

interlocuteur : " Excusez ma douleur. Cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. " ces deux alexandrins en reviennent à la situation présente d’énonciation, avant que ne reprenne le récit passé, au présent narratif : " Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les effraie ; Ils courent. Tout son corps n'est bientôt qu'une plaie. " On note les rejets et enjambements qui saccadent le rythme des vers, pour insister encore, comme l’allitération de la rude

personnages sont déformés à la limite du ridicule. Le peintre veut dénoncer le nazisme en utilisant très peu de couleurs et en ajoutant des éléments symboliques : Le noir et le blanc impose la gravité du sujet : la mort d’êtres innocents est mise en scène. Le noir et le blanc rappellent également les photos de presse. C’est un tableau monochrome. Le cheval blessé qui se trouve au centre du tableau représente le peuple, c’est la liberté qui meurt. Le taureau qui se trouve à gauche est impassible au

lire Gargantua comme une construction rabelaisienne offrant « des représentations symboliques » qui expriment dans « un langage figuré » les « enjeux fondamentaux » du siècle de la Renaissance et de l’Humanisme. Et c’est là, selon Michel Jeanneret, tout l’art de Rabelais. Michel Jeanneret dit en effet de Rabelais et de son œuvre : « Ce que je sais, c’est qu’un artiste de sa trempe construit des représentations symboliques capables d’exprimer, dans leur langage figuré, tel enjeu fondamental de son époque

morcelé, il tient une épée Le mère tient un enfant mort dans ses bras. Le taureau observe la scène. Le cheval blessé semble hurler. Une colombe s’efface dans l’obscurité. Des femmes regardent la scène effarées. Le personnage à droite lève les bras au ciel. La lumière provient d’une grosse ampoule électrique et de la bougie que tient un personnage. Ces deux lumières artificielles encadrent la tête du cheval. On ne voit ni bombe ni avions mais une impression dominante de chao traduisant une vision infernale

couleurs monochromes (noir, jaune et gris) et aux formes dramatiques. Le noir et le blanc font allusion a la mort. Placé au centre de la composition, le cheval symbolise le peuple espagnol. Comme pour la mère portant son enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau. La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ sur la Croix. Le taureau, dans la mythologie espagnole, est un symbole de la force brute et de la cruauté

est le symbole de la force. Il représente ici les Nationalistes. Le cheval, quant à lui, représente les Républicains . Les différentes figures de l'animal montrent la douleur qu'il éprouve et que le peuple espagnol ressent. Son corps est griffonné d'écritures, pour rappeler les journaux par lesquels Picasso a été informé du désastre. La colombe symbolise normalement la paix. Mais elle se situe entre le taureau et le cheval, ce qui signifie que la paix recherchée est impossible entre les Républicains

lundi 26 avril 1937 fut un événement important de la guerre d'Espagne. Le peintre Pablo Picasso a joué un rôle important avec son célèbre tableau «Guernica», qui reprèsente la population bombardée. De plus la ville de Guernica avait une valeur symbolique,l'autonomie juridique et fiscale était représenté par l'arbre de Guernica où les rois de Castilles allaient préter serment de respecter les coutumes basques. Le bombardements de Guernica est célébre pour avoir été le premier tapis de bombe et

Tout d'abord à la gravité du sujet répond l'austérité de l'absence de couleur. Par ailleurs, le noir et blanc évoque la presse. Picasso, informé par les journaux, a incorporé à son œuvre de nombreuses références à celle-ci. Par exemple le pelage du cheval, fait de petits traits serrés, réguliers et alignés, rappelle les caractères typographiques. On ne distingue pas vraiment l’endroit où la scène a lieu, on observe une fenêtre, une ruelle tout en étant à l’intérieur d’une pièce. On en déduit qu’elle