Symétrie centrale

titres qui sont offerts sont de plus en plus complexes. La volatilité des titres peut être forte (notamment concernant les couts et la rémunération). Les émetteurs sont de + en + nombreux et de + en + difficile à connaitre. L’asymétrie (= la non symétrie) d’informations réduit la transparence et donc il y aussi asymétrie de pouvoir, donc les émetteurs ont + de pouvoir que les acheteurs. L’asymétrie de pouvoir est largement lié au pouvoir des institutions financières et à celui des épargnants.

internationales. Ces liquidités sont la somme de toutes les créances et de toutes les dettes au niveau international. On va maintenant parler de liquidités internationales. Les liquidités internationales correspondent en réalité aux réserves des banques centrales. Elles sont le total cumulé des réserves conservées par tous les pays. On ne parle pas de liquidités internationales au niveau des ménages (gros défaut mais c’est du au fait qu’il est très difficile de savoir combien les agents privées détiennent)

pays développés la politique monétaire est du ressort et de la responsabilité de la banque centrale. Cette politique consiste à réguler par l’intermédiaire des banques commerciales (banques de second rang) la quantité de monnaie en circulation dans une économie. Depuis plus d’un siècle la politique monétaire fait l’objet de controverses parmi les économistes et entre les responsables des banques centrales eux même. Les débats ce centrent en général sur 5 points: - Le premier est celui des effets

B. Variables 2 1 II. Représentations graphiques A. Distributions statistiqueset représentations graphiques B. Le diagramme « branche et feuille » 3 4 10 III. Les indicateurs statistiques A. Conditions de Yule B. Les indicateurs de tendance centrale et de position C. Les indicateurs de dispersion D. Les caractéristiques de forme E. Les caractéristiques de dispersion relative 13 13 14 23 26 29 IV. La boîte de distribution A. Résumé d’une distribution par des quantiles B. Représentation d’une

d’un nombre impair de données ; donner du sens à la notion de médiane. Ici l’effectif est impair. Les questions invitent les élèves à ranger les valeurs de la série par ordre croissant, puis à s’intéresser à la valeur qui occupe la position centrale dans la liste, « la valeur du milieu ». Cette activité met aussi en évidence le fait que, contrairement à la moyenne, la médiane n’est pas influencée par les valeurs extrêmes de la série. Dans l’activité 2 nous proposons deux séries statistiques

10 11 5 Le modèle : l’équation qantitative de la monnaie : l’équation qantitative des échanges 5.1 Hypothèse n°1 : V = cte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Commentaire du tableau de bord de la banque centrale 6.1 Inflation par la demande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.1.1 T x utilisation des moyens de production . . . . . . 6.1.2 T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.1.3 P T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

de laquelle l’ajustement optimal se réalise avec des taux de changes fixes, alors que dans les relations avec les autres zones, l’ajustement se fait à taux variable. Le critère d’optimalité est pour lui la mobilité des facteurs de production et la symétrie des réactions aux chocs externes. Mc Kinnon complète cependant cette analyse en ajoutant le degré d’ouverture de l’économie comme critère d’optimalité. Il le mesure par le rapport des biens échangeables et des biens non échangeables. Pour

permet de financer le système bancaire. Les ménages ont besoins d’être financer par des crédits. Les banques aussi ont besoin de se financer, refinancer, c'est-à-dire faire des emprunts de capitaux auprès d’une autre banque, soit auprès de la banque centrale. Les banques ont besoins de trésorerie, parce qu’il y a des fuites bancaires. Tous les jours les banques effectuent de nombreuses opérations, système de créance-engagement. Tous les jours il y a la position de trésorerie de la banque. (Crédit agricole

ou d’actifs matériels ! Achats de titres Dans l’exemple précédent, la banque émet un crédit. C’est en réalité un titre financier particulier, un titre qui ne peut être cédé qu’à un autre intermédiaire financier (notamment, on le verra, la Banque centrale) et qui – en général – est cédé à sa valeur faciale (il ne peut pas donner lieu à des pertes ou des gains en capital). On peut imaginer qu’en contrepartie du dépôt ouvert dans ses livres, la banque accepte un titre de dette qu’elle pourra recéder

des balances des paiements •Les ajustements automatiques en régime d'étalon or. 22 11 L s r c e d l to-or e pi i s e’ a n np él •La parité d'une monnaie se définit par son poids en métal précieux. •La création de billets par la banque centrale est limitée par le risque de conversion en or. •Jusqu'aux années 1870, la convertibilité s'applique également à l'argent (bimétallisme). 23 L'ajustement automatique des balances des paiements en étalon-or 1. Déficit de la balance des paiements