Synchrone Asynchrone

nateurANNEXE B NOTES RELATIVES AUX APPLICATIONS Protection de M.A.L.T. du stator avec le SR489 MISE EN GARDE : Cette notice décrit certains concepts généraux relatifs à la protection et sert de guide pour l'utilisation du SR489 pour la protection d'un alternateur contre les défauts de M.A.L.T. du stator. L'utilisateur devra consulter le manuel pour les raccordements de certaines fonctions spécifiques. L'utilisateur devra aussi consulter le manuel pour se familiariser avec chacune des fonctions

Electricité7 Machines à courant continu MACHINES A COURANT CONTINU 1. Constitution d’une machine à courant continu La machine à courant continu est réversible, c'est-àdire que la constitution d'une génératrice (G) est identique à celle du moteur (M). Elle se compose de deux parties: -une partie fixe (stator) appelée INDUCTEUR produit le flux magnétique nécessaire. -une partie mobile (rotor) appelée INDUIT porte les conducteurs soumis au flux. -1 Culasse Epanouissement polaire Entrefer Ø/2

différentes solutions portent d’une part sur la structure des machines synchrones à aimants permanents considérées : sans pièces polaires, avec pièces polaires, avec amortisseurs ou à double étoile. Elles portent d’autre part sur l’électronique associée : redresseurs à diodes, hacheur boost ou double boost, redresseur MLI. Un système d’autopilotage sans capteur est étudié pour cette dernière solution. Mots clés : Machine synchrone à aimants permanents, amortisseurs, redresseur MLI, composant de puissance

Nous allons vous présenter les centrales hydroélectriques : Problématique : Les barrages hydroélectriques sont ils une solution d’énergie renouvelable ? Sommaire : - Les centrales hydroélectriques dans le passé - Les types de centrales et leurs fonctionnements - Les avantages et les inconvénients (Diapo 3) -> Image : Construit en 1911, un barrage sur le Bramabiau alimente un mini central hydraulique. Depuis l’antiquité, les hommes ont essayé de domestiquer la force de l'eau - IIème

DEVOIR MAISON N° 1 EXERCICE 1 Soit un alternateur triphasé tétrapolaire, couplé en étoile. La réactance synchrone par phase est Xs = 49 Ω, et on néglige sa résistance. On a relevé à vitesse nominale la fem entre phase en fonction du courant d’excitation Ie : Ie (A) |0 |5 |10 |15 |20 |25 |30 |35 |40 | |E (kV) |0 |5 |10 |13 |15.6 |18 |19 |20 |20.5 | | 1) Calculez la vitesse de rotation nominale pour que f = 50 Hz. 2) La charge triphasée équilibrée est purement résistive. Si

de la Lune est la même que sa période orbitale et elle présente donc toujours le même hémisphère (nommé donc « face visible de la Lune ») à un observateur terrestre (l'autre hémisphère est donc appelé « face cachée de la Lune »). Cette rotation synchrone résulte des frottements qu’ont entrainés les marées causées par la Terre à la Lune qui ont progressivement amené la Lune à ralentir sa rotation sur elle-même, jusqu’à ce que la période de ce mouvement coïncide avec celle de la révolution de la Lune

est non connectée). Déterminer la vitesse de rotation N. Dessiner la courbe observée, donner l'origine et expliquer à l'aide de schémas l'allure de la fem (force électro-motrice) ainsi produite. La machine, sur les bagues, est une une génératrice synchrone qui sera étudié en détail dans le TP sur l'alternateur. Connecter les charbons au collecteur. Observer la tension entre lames du collecteur selon la position des balais par rapport au champ statorique. Pour 3 positions des balais (0°, 45° et 90°

Terminale STI Machine synchrone Machine synchrone 1 Constitution 1.1 Rotor = inducteur Il est constitué d’un enroulement parcouru par un courant d’excitation Ie continu créant un champ magnétique 2p polaire. Il possède donc p paires de pôles. Remarques : • il faut apporter le courant à l’inducteur par l’intermédiaire de bagues et de balais. • le rotor peut être constitué par un aimant permanent. 1.2 Stator = induit Les enroulements du stator sont le siège de courants alternatifs monophasés

L’idée de construire une usine marémotrice sur la Rance revient à Gérard Boisnoer, en 1921. Un premier chantier d’usine marémotrice commença à l’Aber-Wrac'h dans le Finistère en 1925 par Anass Mouslih Chamack. Le chantier est abandonné, en 1930, faute de financement. Les plans de cette usine serviront d’ébauche pour ceux de la suivante. L’utilisation de l’énergie des marées n’est cependant pas nouvelle, puisque de longue date des moulins à marée ont existé en des lieux touchés par la marée, et en

Introduction • Nous allons vous présenter le fonctionnement des centrales hydrauliques. De nombreuses civilisations se sont servies de la force de l’eau qui représentait une des source d’énergie les plus importante avant l’ère de l’électricité. C’est une solution mise en œuvre dans la production d’électricité car elle utilise une énergie renouvelable, elle est aussi considérée comme une énergie propre. I/Histoire de la centrale hydraulique II/Présentation générale de la centrale hydraulique