Syndicalisme De 1850

production et l’émergence des manufactures qui étaient royales (soit propriété de l’Etat, soit soutenu et financé par l’Etat) : privilèges accordés (subventions). La manufacture se constitue de textile mais aussi d’armement, de sidérurgie, … 1750-1850 : se caractérise par l’émergence des physiocrates et du libéralisme qui va prôner d’un côté la liberté des échanges extérieurs et une certaine hostilité à l’intervention de l’Etat. Ces tentatives vont très vite avorter car elles tiennent de la révolution

La pauvreté dans le canton de Vaud entre 1850 et 1930 Problématique: Le terme « pauvreté » ne possède pas une définition unique et immuable, mais il se réfère à diverses approches, propres au contexte et aux représentations sociales du moment. Cependant, définir la pauvreté revient toujours à des critères d’exclusion ou d’inclusion, lorsqu’il faut établir qui est pauvre et qui ne l’est pas. Effectivement, le fait de qualifier des classes de population vivant dans la pauvreté, implique des

proche de la machine) et nouveau lieu de travail => hausse des rendements (de plus en plus avec l’amélioration technique de la machine) Les fabriques restent de taille modeste mais on assiste à une concentration de travailleurs (favorisera le syndicalisme, la conscience de classe) Les entreprises hésitent à grandir (problèmes de gestion, de coalition ouvrière) La production n’est pas régulière (à-coups), flexibilité, on produit en fonction des commandes. Des fois les fabriques sont débordés alors

ancienne avec continuité dans les institutions, avec des organes représentatifs (chambre des Lords) • modèle français SUM par décret en 1848, on passe a environ 10 millions d’électeurs. Mais 2 ans plus tard retour en arrière par une loi du 31 mai 1850 on introduit une obligation de résidence depuis au moins 3 ans on renforce aussi les exclusions. Cette loi = 6 millions d’électeurs. Ce modèle est fait de retour en arrière et il est composé a des pays qui se sont constituées tardivement (frontières

s'affilient à la Caisse nationale des retraites pour la vieillesse (créée en 1850, et la future Caisse nationale de prévoyance). On compte sur la libre initiative des citoyens et des producteurs, sur leur capacité à s'organiser eux-mêmes pour se doter des instruments collectifs devant les aider à affronter les aléas humains et économiques. Les sociétés de secours mutuels ont pris corps, surtout à partir de la loi de 1850, pour tout ce qui touche à la santé : la loi de 1898 consacre davantage encore

autre grâce à la diminution des épidémies et des famines ainsi qu’à l’adjonction de la pomme de terre aux aliments. Les villes deviennent de plus en plus populeuse : les habitants des campagnes qui ne sont pas propriétaires de terres se dirigent dès 1850 vers les villes pour y trouver un emploi comme ouvriers ou domestiques (=exode rural). 2) La naissance du système capitaliste : * Introduction : Jusqu’au 19ème siècle, la source de richesse est la terre (rentes et exploitation). Dès le 14ème siècle

1.832.000 domestiques de ferme, 16.000 régisseurs → 3millions de personnes (46% des travailleurs agricoles). Plus ou moins d'agriculteurs selon les régions. Stabilité du monde rural aussi grâce au mode de vie. Revenus agricoles ont augmenté entre 1850 et 1914 mais la vie reste difficile et des disparités subsistent → vie difficile dans le Centre et le Midi d'autant plus que l'industrie rurale tend à disparaître (sauf en Picardie et dans la région lyonnaise). Revenus très modestes pour certains →

bouleversements comparables à ceux de la période précédente. Une lente évolution se produit, à l'issue de laquelle la paysannerie a profondément changé. Le contexte économique se modifie. Il permet une extension de la production, sans rupture grave après 1850. L'amélioration des conditions matérielles de vie est perceptible partout dès le milieu du second Empire grâce à une conjoncture de hauts prix et une légère atténuation de la pression démographique. Ces lents progrès ne trouvent pas leur origine dans

l’humanité. A cet « empire formel » vient s’ajouter « l’informel », car la Grande-Bretagne d’alors exerce un semi-protectorat économique et politique sur une bonne partie du monde dont notamment la Belgique. Parvenue à l’acmé de sa maturité entre 1850 et 1870, tout en maintenant son avance, l’économie britannique étend son empire sur le monde. Son agriculture encore protégée de la concurrence par les « miles » maritimes, La Grande-Bretagne accumule les profits et multiplie ses avancements dans

entre en contact avec lui. Desjardins est frustré par l’incompétence de l’État face aux problèmes économiques. Après deux ans de travail, il conclu que l’association et le développement local est une solution plus efficace que le socialisme et le syndicalisme. Inspiré par le coopératisme européen, il met en point un système de caisses populaires. Tout en combattant l’issu usuraire, il cherche aussi à rendre les crédits accessible à la classe travailleuse, à leur donner le pouvoir de gérer leur argent