Syndicalisme De 1850

ville industrielle) | On rappelle l’évolution du monde ouvrier de 1830 à la fin des Trente Glorieuses ; on étudie la constitution d’une culture ouvrières et d’une conscience de classe. On présente les luttes sociales et politiques (grèves, syndicalisme, partis) et le processus d’intégration républicaine des ouvriers et des ouvrières. | Les sujets d’étude sont tous obligatoires. Pour chaque sujet d’étude, on retient au moins une situation parmi celles indiquées et on garde la liberté

- Investissements des industries et des chemins de fer - Investissements à l’étranger (passent de 2 milliards de francs en 1850 à 15 milliards en 1870) La recherche du profit est maximum : les banques proposent de plus en plus l’exportation des capitaux. La spéculation se répand (surtout immobilière et boursière). A-] Les nouvelles banques : Avant 1850, la recherche de l’autofinancement (industries familiales) mais les innovations demandent de plus en plus de capitaux. La forte concurrence

médicale, la profession d’avocat… - Le marché du travail fermé : le cas des notaires (ou des commissaires-priseurs, ou des marins-pêcheurs…) - La gestion de la mobilité professionnelle dans les entreprises - Syndicats et syndicalisme dans le secteur privé/ Syndicats et syndicalisme dans le secteur public - Le fast-food : un modèle atypique de « fidélisation » des salariés - Les modes d’entrée des jeunes dans la vie active : que déduire des enquêtes du CEREQ ? - Qualification et compétence en entreprise

la majorité monarchiste. Répression très dure en mai 1871, et la Semaine Sanglante, durant laquelle Thiers envoie les troupes régulières (versaillais) réprimer la révolte : ¼ de la population parisienne de l’époque périt ! Impact fort sur le syndicalisme futur.   De plus impact fort sur la politique de l’époque, et plus particulièrement sur l’opinion publique : répression d’une révolte par un régime républicain. La République a montré, par cet événement, qu’elle a la capacité de maintenir l’ordre

Population mondiale par principales régions (en millions d'habitants) Europe Amérique Amérique et du latine Asie Afrique Monde a) Russie Nord 1500 100 4 60 260 80 500 1750 160 4 15 510 95 780 1800 206 7 20 630 100 970 1850 275 26 34 805 105 1 250 1900 414 82 66 935 135 1 640 1950 573 166 165 1 377 222 2 516 1970 703 226 283 2 102 363 3 697 1980 750 252 359 2 584 479 4 447 1990 790 277 441 3 118 643 5 295 mi-2010 739 344 585 4 157 1 030 6 892 Projection

Fonctionnent comme des lobbies. Syndicalisme non-partisan, autonome face aux partis et programmes politiques des gouvernements, qui appuis démocrates ou républicains selon ses intérêts : fait partie des groupes de pression. Suit l’essor de l’AFL en 1886, (American Federation of Labour) héritier des premiers syndicats anglais. On parle de syndicalisme « pur et simple ». Jouent d’un grand président au début, Samuel Gompers, président de 1850 à 1924, élabore le syndicalisme américain sur le modèle anglais

considérablement en Grande-Bretagne. Les quantités produites augmentent fortement grâce à une main d’œuvre abondante et bon marché, ainsi qu’à la mécanisation. L’avance britannique domine durant toute la première moitié du siècle et reste importante après 1850 même si elle est réduite pour certaines productions. Ce mouvement engagé au XVIIIe siècle est ensuite prolongé, accentué et accéléré en Angleterre, et plus tard en France et en Allemagne. De plus, l’indépendance a ouvert une nouvelle période aux Etats-Unis

industrielles.· L’objectif du chemin de fer en Belgique était de relier Anvers au marché prussien.· Le projet est prévu par la loi du 1er mai 1834.· La 1er ligne est inaugurée en 1835.· Les travaux se terminent en 1843.Chapitre 3 : L’industrialisation (1850 – 1913)Le degré de développement industriel de la Belgique· Au milieu du XIXe siècle, la Belgique est le seul pays dont le développement est proche de celui de l’Angleterre.Le cadre politique de l’activité économique 1. Qui

institutions car en plus elles n’ont pas de moyens d’action réciproque l’une sur l’autre. Au printemps 1850, l’assemblée nationale monarchique va prendre plusieurs mesures très impopulaires : c’est la loi Falloux très réactionnaire sur l’enseignement (les congrégations religieuses comme les jésuites retrouvent le monopole de l’enseignement secondaire), c’est également une loi électorale de mai 1850 qui subordonne le droit de vote à la domiciliation dans une même commune pendant 3 ans (cette loi écarte

: Jacques Blois (Ifocap — Afdi Poitou-Charentes), Christian Bosséno (Crédit agricole), François Clerc (Fnsea), Olivier Hammel (Ccama), Raymond Lacombe (Fnsea), Médard Lebot (syndicalisme agricole), Guy le Fur (Confédération paysanne), Jean Mordrel (Anda), Henri Nouyrit (Cfca), Jacques Pinon (Fngeda), Jean Prévost (syndicalisme agricole). La coordination de ce dossier a été assurée par Médard Lebot, membre du bureau de l’Inter-Réseaux et Denis Pesche, secrétaire exécutif de l’Inter-Réseaux. La rédaction