Syndrome de fatigue chronique

opérationnelle repose finalement sur les gaz du sang : IRA = hypoxémie (PaO2 < 60 mmHg) de survenue aiguë. * Le choix du seuil de 60 mmHg est arbitraire, le syndrome clinique d’IRA pouvant apparaître pour des niveaux plus élevés ou plus bas de PaO2 selon la cause, les mécanismes et l’état respiratoire sous-jacent. Ainsi, les insuffisants respiratoires chroniques peuvent tolérer des niveaux de PaO2 plus bas que les sujets normaux. - Par assimilation, les affections respiratoires aiguës hypercapniques (PaCO2

Edition :G.MORIN. HISTORIQUE La notion de burn out apparaît au milieu des années 1970 en Amérique. C’est en 1974 que le docteur FREUDENBERGER, psychanalyste, décrit le burn out de la manière suivante : « Un effondrement, un épuisement ou une fatigue extrême provenant d’une demande excessive d’énergie, de force ou de ressources »[1]. Selon cette définition, le burn out se manifeste de la manière suivante : « L’individu devient rigide, entêté, intransigeant. Il bloque tout progrès et changement

Internationale des Maladies (OMS) - DSM IV-TR: Diagnostic and Statistical Manual (American Psychiatric Association) Psychose: Nosographie Française Nosagraphie du DSM IV-TR • Schizophrénie • Bouffée délirante aigue • Délires chroniques non schizophréniques - Psychose Hallucinatoire Chronique (PHC) - Délires paranoïaques - Paraphrénie • • • • Schizophrénie Trouble psychotique bref Trouble délirant Trouble psychotique partagé (folie à deux) • Trouble psychotique induit par une substance • Trouble psychotique

difficultés chroniques, Doctissimo revient sur ces troubles qui gâchent vos nuits et vous dévoile les causes du "mal-dormir". Chapitre I - Qu'est-ce que l'insomnie ? Lorsque le sommeil se fait rare, chaque nuit peut devenir un véritable cauchemar. Mais quelles sont les différentes formes d'insomnie ? Quelles sont les conséquences de ces nuits blanches involontaires ? Tout sur un mal beaucoup trop fréquent ! I - Les méfaits de l'insomnie Le manque de sommeil est responsable de fatigue, de manque

collectivité, ..) • Aménagement d’un quartier Risque de chute situation où une personne est plus susceptible de tomber • Facteurs physiopathologiques : altération de la fonction neurologique, de la fonction locomotrice, de la fonction sensorielle, fatigue, hypotension orthostatique, … • Facteurs liés au traitement sédatifs, antihypertenseurs , hypoglycémiants, … 3 • Facteurs liés au contexte : perte mémoire à court terme, alitement prolongé, risques liés au domicile (agencement inadapté) , milieu

Maladie de Parkinson I- INTRODUCTION : Décrite par Parkinson en 1817 La maladie de Parkinson est la plus fréquente des neuropathies dégénératives. La plus fréquente des syndromes parkinsoniens. Elle est d'installation progressive. II- EPIDEMIOLOGIE : A. Age: Généralement entre 55 et 60 ans. B. Sexe – Race: Touche toutes les races et les 2 sexes sans distinction. L'incidence est plus élevée dans les pays occidentaux. C. Incidence familiale: Très rare (Parkinson juvénile). Etiologie

éléments interviennent comme étant intereliés entre eux. Ces risques peuvent être à l'origine de pathologies professionnelles telles que : * Les dépressions, * Les maladies psychosomatiques, * Les troubles du sommeil, * La fatigue chronique et épuisement, * Les Troubles Musculo-Squelettiques (TMS), * Le mal de dos, * Les maladies cardio-vasculaires. Ils peuvent également entraîner des accidents du travail. II. IDENTIFICATION DES RISQUES PSYCHOSOCIAUX Parmi les

III/ L’addiction à l’alcool : l’alcoolisme L’alcoolisme n’est pas une maladie moderne. Il y en a des traces dans la Mythologie notamment avec Dionysos, le dieu de la vigne, du vin et de ses excès. Attila le Hun lui est décédé d'un syndrome de Mallory-Weiss (c’est-à-dire une hémorragie digestive massive dû à une consommation excessive d’alcool ). L’alcoolisme est l’addiction à l’alcool contenu dans les boissons alcoolisées. L’OMS ( Organisation Mondiale de la Santé ) reconnaît l'alcoolisme

Action sur récepteur dopaminergique (Buspar) Cinq propriétés communes a tous les anxiolytiques benzodiazépiniques, variables en fonction de la molécule et de la dose : 1. Action ANXIOLYTIQUE : ça calme l‘angoisse 2. Action SEDATIVE : ca fatigue 3. Action HYPNOTIQUE : ca fait dormir 4. Action MYORELAXANTE : entraine une décontraction musculaire 5. Action ANTICONVULSIVIANTE : lutte contre les crises d’épilepsies Pharmacocinétique : l’évolution du médicament dans l’organisme

Elle éclate en sanglots. Elle souhaite tomber enceinte, mais la voilà infertile ! En regardant cette jeune femme souffrant aussi d’embonpoint, vous songez rapidement au syndrome des ovaires polykystiques. Comment allez-vous aborder la question avec votre patiente ? Qu’est-ce que le syndrome des ovaires polykystiques ? Le syndrome des ovaires polykystiques est un trouble endocrinien et métabolique très fréquent. C’est l’endocrinopathie la plus commune chez les femmes en âge de procréer, qui touche