Synecdoque

Cette insistante sur le «pourquoi» crée un effet d’incompréhension de la part de l’auteur. Le fait que la première strophe soit identique à la dernière strophe crée une certaine musicalité, comme un refrain. Synecdoque «D’une aile inquiète et folle vole» (v.25) Rôle de la synecdoque : On attire l’attention sur les ailes de la mouette. L’auteur crée une correspondance entre la mouette et son état d’esprit. Dans ce vers il désigne l’aile plutôt que l’oiseau afin d’attirer l’attention sur le mouvement

remplace un mot par un autre, qui entretient avec lui un rapport de proximité : le contenant pour le contenu (boire un verre), le lieu pour les habitants (rameuter la ville, la France a gagnée) ou le fabricant pour l'objet (une Peugeot)... - la synecdoque remplace un mot par un autre, qui entretien avec lui un rapport d'inclusion : le genre pour l'espèce (l'animal pour le lion), la partie pour le tout (les voiles pour les navires), la matière pour l'objet (le fer pour l'épée)... 4) Les figures

d’un nom pour un autre: les planches pour dire la scène. Elle désigne le contenu par le contenant : Boire un Verre. C’est l’œuvre par son auteur : c’est un Proust Il y a donc trois sens possibles de cette figure de style qu’est la métonymie. Synecdoque : C’est le fait de remplacer le nom d’une chose par l’une de ses caractéristiques : Paris pour dire la capitale Périphrase : C’est le fait de dire en plusieurs mots ce que l’on pourrait dire en un seul : le siècle des lumières pour désigner le

progression. (« miroir » devient « mémoire ») Elsa Elle n’est jamais présentée par son prénom, uniquement par « elle ». Sa présence est obsédante, le thème de la famé au miroir est assez intimiste.  La femme est désignée par une synecdoque, c’est à dire uniquement par une partie d’elle-même, en l’occurrence, ses cheveux. Ses cheveux son blond, c’est un topoï de la poésie, les cheveux d’or qui sont associé au métal précieux. Les cheveux sont aussi associés à un incendie

C’est parcequ’il est vieux qu’il ressent du désespoir Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers : Métaphore de la gloire Mon bras, qu'avec respect toute l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, : Synecdoque Comte, sois de mon prince à présent gouverneur: Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur; Et ton jaloux orgueil, par cet affront insigne, Malgré le choix du Roi, m'en a su rendre indigne. : Syllogisme Champ lexical

assiette. - S'endormir sur ses lauriers. - Lire un Balzac. - Les têtes blondes (pour les petits enfants). - Marseille a remporté la finale (l'équipe de Marseille). | FIGURES | DÉFINITION | EFFETS | EXEMPLES | 1.5 Synecdoque | La synecdoque: est une Variante de la métonymie : la relation entre les deux termes est une relation d’inclusion. Elle permet d’exprimer une réalité par une partie de cette même réalité ou par son extension; un tout par une de ses parties ou un objet

soudainement âgée de plusieurs siècles. Rica [marqueur d’addition] ajoute même qu’un fils « méconnaît le portrait de sa mère » (l. 9), [explication] simplement parce qu’elle y porte un costume qui date de plusieurs années. Le tableau, [procédé] une synecdoque représentant la mère, ne peut alors que confondre les enfants de cette dernière. [mini-conclusion] Bref, d’une [IS1] saison à l’autre ou d’une [IS2] génération à l’autre, la mode change si radicalement qu’il est difficile d’en suivre le cours

1.Ce passage permet aux amis de Cyrano de présenter , d'introduire le héros : -présentatifs "c'est" : volonté de donner a voir Cyrano , de le montrer -question oratoire " mais vous ignorez donc ?" : permet d'introduire Cyrano et le contexte -synecdoque " on ne peut voir passer (...) masigère" : met Cyrano en valeur grâce a son nez -périphrase "garçon bercé dans les colichemardes" désigne le personnage sans le nommer 2.Proposer un portrait mélioratif , morale et physique -litote " n'est ce pas

chose => « Il est monté sur le trône. » (= symbole de la monarchie) La cause pour la conséquence => « D’une plume éloquente » (= style éloquent) - Synecdoque : métonymie dans laquelle le terme propre et le terme figuré se trouvent dans un rapport d’inclusion ou une dépendance matérielle ou conceptuelle. Une partie pour le tout (synecdoque particularisante) => « Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai

attribuer des qualités humaines à un objet inanimé. (Les branches des arbres hurlaient sous l'effet du vent). Champ lexical : Ensemble de mots se rapportant aux même sujet. Métonymie : C'est prendre le contenant comme contenu. (Boire un verre). Synecdoque : Désigner un tout pour une partie. (Elle n'a pas de toit). Chiasme : Structure en croix qui associe deux termes deux à deux sans nécessairement qu’ils aient un rapport de sens. (Chargé de pensées, de regrets allégé). Question Rétorique :