Synecdoque

personnification : attribut de caractéristique humain à des objets des animaux L’allégorie : anime des idées abstraites ( la justice a parlé ) La métonymie : Désigne le contenu par le contenant , la cause par l'effet ( il boit un verre) La synecdoque : Cas particulier de métonymie ; désigne le tout par l’élément ( met ta petite laine ) ( = ton gilet de l'aine ) L'antithèse : oppose 2 contraires ( tantôt triste , tantôt gai ) L’oxymore : associe deux opposés dans une même expression ( une

était dans son champ. Noir squelette laissant passer le crépuscule. -Hugo Figure de substitution ou de détour Métonymie Désigne une chose par un terme proche de la chose désignée dans une relation logique Le candidat à l’Elysée Boire une verre Synecdoque Quand le mot désigne une partie pour le tout ou, à l’inverse le tout pour une partie Je vois un port rempli de voiles et de mâts -Baudelaire Périphrase Exprime par un groupe de mots ce qui pourrait l’être en un seul L’auteur de la Comédie humaine

atmosphère, sentiment, rythme… Répétition d’un son ou d’un type de son. Ex : Quels sont ces serpents qui sifflent… • L’ONOMATOPEE, langage familier, évocateur, récit vivant, sonore. Imitation du son. Ex : boum, crac, snif • LA SYNECDOQUE, métaphore minimale du produit, mettre en relief une partie. Désigner la partie pour le tout ou inversement. Ex : une voile = un bateau • LA LITOTE, modestie, le consommateur fait le compliment. On dit peu pour exprimer beaucoup.

propre vision. Nous verrons donc dans un premier temps l’implication des auteurs puis nous comparerons les deux textes. I. Implication du locuteur Dans le poème « ce cœur qui haïssait la guerre », l’implication de l’auteur est notable. Avec la synecdoque « ce cœur » Desnos désigne le tout par la partie, ici, il s’agit de son cœur, nous l’apprenons vers 13. L’adjectif démonstratif « ce » implique fortement le locuteur dans la situation et le « je » et « le mien » (vers 13 et 15) renforcent la dénonciation

ségrégation : riche prison (dorée) et pauvre à l’écart Enfant pauvre = beau MAIS seulement visible par un « œil impartial » comparaison avec peinture ; « nettoyer » « vernis » « peinture idéale » -> Dénonce le primat de l’apparat « Œil » -> synecdoque il faut regarder pr trouver beauté « répugnante patine de la misère » =/ enfant répugnant mais = misère  répugnante. -> critique soc B. explique lui ^m son poème « Barreaux symboliques » B. met en valeur joujou du pauvre ; attente + mots

d'une épaisseur d'encre » atmosphère sombre , pesante personnification « respiration » beaucoup de fumée, montre que la mine est vivante, monstruosité de la mine. « noyée de nuit et de fumée » Personnification « cinq ou six lanternes tristes » synecdoque désigne les mineurs et la tristesse des mineurs « ciel mort » forme d'oxymore contraste entre le ciel et l'intérieur de la mine technique picturale : clair obscur triangle amoureux « brasiers et les feux rouges qui apparaissent et disparaissent

expression positive. Ex:Les pays en voie de développement 17-La métonymie Procédé qui consiste à désigner un élément par un autre avec lequel il a un rapport logique. Ex:Boire un verre. Quand on désigne le tout par une partie c'est une synecdoque. Ex: Sur la mer voguait une voile. 18-Analogie Cela consiste à établir un lien entre deux éléments par l'intermédiaire d'un verbe d'état. Ex:L'école est une chance de réussite. 19-Ellipse Ce procédé consiste à sous-entendre un mot

faucheuse. Elle était dans son champ. / Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant,/ Noir squelette laissant passer le crépuscule ». Hugo - La métonymie Désigne une chose par un terme proche de la chose désignée. Une voile à l’horizon - La synecdoque Variété de métonymie qui consiste à donner à désigner un ensemble/tout par une de ses parties/aspects - La périphrase Exprime par un groupe de mots ce qui pourrait l’être par un seul. - L’antiphrase Apparaît quand on exprime le contraire de sa pensée

permettent de substituer un mot à un autre, selon des rapports plus ou moins proches. La métonymie. Elle rapproche un mot d’un autre mot ayant avec lui un rapport de contiguïté ou un rapport logique : boire un verre, croiser le fer, une fine lame. La synecdoque. C’est une sorte de métonymie qui permet de dire le tout par sa partie : un trois-mâts. La périphrase. Elle consiste à substituer au nom qui désigne une personne, un objet ou une abstraction, une expression complexe : l’oiseau de Jupiter désigne

qui entretient avec lui une relation logique évidente. Le concret pour l’abstrait (« les chaînes » -> la prison). Le contenant pour le contenu. La matière pour l’objet. (« la voile » -> le navire ; « le fer » -> l’épée) * La synecdoque La partie pour le tout. * La périphrase  Utiliser une expression détournée pour désigner une réalité * Antonomase Remplacer un nom commun / un nom propre (« un Don Juan » -> un séducteur) * Antiphrase Un procédé de l’ironie ->