Synecdoque

chaleur extraordinaire telle qu’en enfer - Métaphore de l’enfer - Gradation de la buée => chaleur intense, inconfort ; comme dans une buanderie - Métaphore du supplice b) Une scène de carnage : - Champ lexical de la mort - Synecdoque pour désigner les mineurs (par leurs membres) => véritable scène de crime, démembrement c) Des créatures irrationnelles : - Métaphore des spectres - Animalisation des ouvriers => l’homme subit, il est exploité tel un animal - Personnification

c'est une sévère approximation géographique) PERSONNIFICATION n.f. Attribuer des qualités humaines à un objet inanimé : - Un soleil voit naître et mourir la rose PLEONASME n.m. Répétition de termes superflue : - Un géant vraiment grand SYNECDOQUE n.f. Remplacer un mot par un autre ayant une relation d’inclusion avec celui-ci (la partie pour le tout ou le tout pour la partie). Cas particulier de la métonymie. Le tout pour la partie : - Metz a gagné la finale (pour « l'équipe de foot de

de nous convaincre en racontant une histoire. Champ lexical de l’amour, de la séduction par ex « doux » (l 11) « objet » (l 10) « plaisir » (l 11) « heureux » (l 14), « amusement » (l 15), « ardente » (l 16) Qui va crescendo. Présence de deux synecdoque ( partie pour le tout ) une avec les « yeux », l’autre avec le « cœur » met en valeur les sentiments et les émotions. (l 12 - 13) Rousseau essaye de nous faire comprendre que d’aller au puit plus souvent (implicite) à cela permet d’avoir une complicité

un héros, car il se démarque des autres. - L’éloge du héros par le blâme des autres personnages . A est le seul à être nommé / adversaires indénombrés + masse informe=> déshumanisation Ne sont nommés que par une partie d’eux-mêmes : nbes synecdoques. Chaque adversaire est qualifié par des termes dépréciatifs. Allitération en C et T + bajoue = impression de lourdeur et d’animalité - Donner un portrait dynamique d’A, en n’en faisant pas une longue description, mais en rythmant le texte

extérieur/intérieur a- monde ext (pluie ouverture, cadre urbain : Paris décrit dans 2ème strophe) b- monde int ("à la maison" lieu protecteur/refuge des amoureux des intempéries/bruits du monde ext.) c- fenêtre (médiation entre les 2 mondes, synecdoque: "Vitre" ouverte au 2 1e strophes fermeture implicite au "!" volonté de se replier sur soi-même du couple.) Cadre temps qui… a- fuit (thème omniprésent de l’eau "pluie", temps propice au bonheur d’aimer, étroitement associé au 1e vers)

son système nerveux, enflamme son imagination, crée l’idée fixe, les cauchemars, les hallucinations, les divagations. Elle voit Hippolyte partout. Comme le montre le vers 35 : « Suivre de l’œil un char fuyant dans la carrière », elle utilise une synecdoque. Phèdre s'imagine « assise à l'ombre des forets » « suivre de l’œil » Hippolyte juché sur son char. C'est un personnage qui est perdu et qui ne sait même plus ce qu'il dit :  « Insensée ! Ou suis-je ? Et qu'ai je dis ? » elle s'égare dans ses pensées

artificiels qui manquent de simplicité. Philaminte est autoritaire avec Martine mais surtout avec son mari qu’elle domine. La servante est Martine : elle est le type même de la paysanne, fille de la campagne. Elle est appelée « cervelle indocile » (synecdoque). Elle a toutefois des qualités : elle possède le bon sens et fait preuve de franchise. Elle est par ailleurs soutenue par Chrysale. Elle est l’archétype de la servante chez Molière : pour ce dernier, le langage est le reflet de la catégorie sociale

elle et d’amour envers Pyrrhus. Elle veut montrer à Hermione qu’elle ne veut pas son fiancé. En second lieu, Andromaque discute les sentiments du roi envers eux deux, pour la valoriser et la faire passer pour son centre d'attention primaire. La synecdoque « Un cœur qui se rend à vos charmes » est employée par Andromaque pour prouver à Hermione qu’il n’y a pas de relation entre eux et qu’elle est la clé a son cœur. Donc elle la manipule en lui disant que Pyrrhus l’aime, alors ça sera facile d’influencer

désigne les habitants de la ville, les parisiens.] 1. 6. La synecdoque C’est une variante de la métonymie. Elle donne un sens plus large au terme utilisé dans la phrase (en utilisant un mot, on sous-entend un sens plus large) => la partie pour le tout. Il y a un rapport d’inclusion. Désigner l’objet pour une de ses parties. On utilise un terme qui est inclus dans une réalité plus large, et c’est ce qui caractérise la synecdoque : il y a un rapport d’inclusion. - Avoir besoin d’un toit pour

métonymie. Cette figure de rhétorique consiste à remplacer un mot par un autre. Les deux mots ont un rapport soit de contenant/ contenu, soit de cause à effet, soit de rapport de lieu à personne. Par exemple : Bercy pour le ministère de l’ Économie. La synecdoque. Figure proche de la métonymie, elle consiste à remplacer un terme par un autre ayant avec celui-ci un rapport d’inclusion (partie/tout). Par exemple : une voile pour désigner un bateau. © HATIER 2009 La périphrase. Elle exprime, à l’ aide