Syntaxe

norme est ce qui doit être réglé. La norme sélectionne un seul usage qu’elle présente comme le seul correct. Le purisme n’hésite pas à classer les écrivains, surtout depuis les années 1920, car les écrivains se sont de plus en plus émancipé de la syntaxe recommandé par les normatifs. A partir de Flaubert, les écrivains ont voulus tester les limites de la langue. La littérature est passée de conservatoire à laboratoire (T.Philippe) Ce qui était considéré comme une faute auparavant n’en est plus

communication. Dans la conception traditionnelle un sens stable et unique est attribué au discours (c'est-à-dire au texte) cette logique fait du discours un objet clos chez Saussure par exemple, l’attention porte sur les structures de la langue, phonologie, syntaxe, morphologie, et son objet d’étude est donc la phrase. Aucune considération n’est faite du sujet de la communication. La fonction objective du langage est donc mise au premier plan chez Saussure. La linguistique classique se veut donc uniquement descriptive

| | | |Le vocabulaire est recherché et les règles de syntaxe sont parfaitement respectées. | |[pic] | |

identifier est le genre du texte (poème, dialogue théâtral, extrait de roman...) Ce qu'il faut repérer Les commentaires possibles - Le lexique un ou deux des champs lexicaux, les champs lexicaux permettent souvent d’identifier les thèmes du texte. - La syntaxe, place des mots, mots de liaison rythme du texte, enchaînements, idées principales, idées secondaires - Le niveau de langue (soutenu, courant, familier) par exemple le niveau social d’un personnage,... - Vocabulaire péjoratif ou mélioratif impressions

vocabulaire, ajoutée aux familiarités d’expression (« ça », reprise du sujet répétée aux vers 3, 9, 20) et au manque d’originalité des actions, attire l’attention du lecteur sur un processus de banalisation de la guerre. Partie 2 : 1/ L’intégration par la syntaxe et les sonorités La « guerre » n’est à aucun moment présentée comme quelque chose d’anormal. Dans les phrases, elle est en effet mise sur le même plan que d’autres occupations anodines. Le mot « guerre » est complément du verbe « faire » comme « tricot »

 de  qualité  de  la  langue  (richesse  du  vocabulaire,  fluidité  du  style)  et  de  la   clarté  de  votre  texte,  les  fautes  de  français  (orthographe,  grammaire,  syntaxe,   ponctuation)  seront  pénalisées  à  raison  d’un  point  pour  3  fautes  et  pour  un  maximum   de  10  points.       Barème  et  critères  de  correction  :

pour une pièce de Théâtre | * La situation du passe et l’enjeu dramatique de l’action * Le mouvement du texte * Le type de passage * Le point de vue narratif * Le ton | * Le genre * Les rimes * La structure * La syntaxe et la ponctuation | * Le genre de la scène * La fonction dramatique de la scène * Les rapports entres les personnages * L’enjeu de leur dialogue * L’espace scénique | III- ELABORATION DE LA PROBLEMATIQUE ET DU PLAN

toutes choses peuvent affecter les uns les autres. Par exemple, la mort de la mère dans le poème effectue le père et, comme un effet domino, la maison et la ville sont également effectués. Un autre outil de langue à analyser est la différence syntaxe utilisée dans « Premier Jour ». La structure de la phrase du poème est particulièrement intéressante. La plupart des lignes de "Premier Jour" sont structurés de la même, qui fait le poème s'écouler bien. Aussi, cette structure de la phrase est très

symbole de l'aaliance de la vie et de la mort. rime en "rdan" difficile à prononcer accentue effet de distorsion.v 18: enjambement externe accentue l'effet d'isolement décrit dans le texte.répétition du mot sang en 3e syllabe. v19: sauf mots de syntaxe tout évoque le rouge lié au feu et au sang symboles de vie "sang" "empourprait", "rouge" "ardent". enjambement externe: mime le sang qui se mélange à l'eau. strophe 56 v 21 répétition "tronçons" + "déchirure" en césure traduit lemorcelement du corps

de banalité quotidienne, ainsi qu’une sorte de monotonie puis nous verrons comment Prévert passe d’une scène banal à un drame intime et tragique. L’impression première suite à la lecture de ce texte est un sentiment de banalité qu’engendre la syntaxe. En effet, l’anaphore est utilisé presque tout au long du texte « Il a mis…Il a mis…Il a tourné…Il a bu…Il s’est levé… » (Lignes 1-21), et provoque un effet de répétition, un rythme linéaire sans rebondissement. Cette monotonie est accompagnée par