Synthese Reves Parisiens

Zola "veut trouver, à l'extérieur de l'entreprise littéraire, des garanties et des justifications. De l’autre côté, Georges Feydeau est considéré comme le maître du théâtre du vaudeville qui a réussi à décrire les mœurs des cercles bourgeois parisiens du début du XIX siècle en concentrant son attention sur le thème de l'adultère pour le grand plaisir des spectateurs. De plus ces spectateurs vont au théâtre non seulement pour se divertir, mais aussi pour se juger, se regarder et se plonger à

témoignage, de peu postérieur, fit revivre l'étrange situation des acteurs qui en vérité sont « agis » par le flux verbal : « Nous remplissons des pages de cette écriture sans sujet ; nous regardons s'y produire des faits que nous n'avons pas même rêvés, s'y opérer les alliages les plus mystérieux ; nous avançons comme dans un conte de fées. » Breton comptait sur l'harmonie préétablie des inconscients humains, car il ne s’agissait pas de construire une oeuvre d’art, mais de proférer comme les sybilles

témoignage, de peu postérieur, fit revivre l'étrange situation des acteurs qui en vérité sont « agis » par le flux verbal : « Nous remplissons des pages de cette écriture sans sujet ; nous regardons s'y produire des faits que nous n'avons pas même rêvés, s'y opérer les alliages les plus mystérieux ; nous avançons comme dans un conte de fées. » Breton comptait sur l'harmonie préétablie des inconscients humains, car il ne s’agissait pas de construire une oeuvre d’art, mais de proférer comme les sybilles

[pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Lorenzaccio’’, ‘’Le chandelier’’ et ‘’La confession d’un enfant du siècle’’ qui sont étudiés dans des fichiers à part). Puis est tentée une synthèse finale.‘’La nuit de décembre’’ (1er décembre 1835) Poème Le poète rappelle le souvenir de la mort de son père et la mystérieuse apparition d’un «double» : «J'étais à genoux près du lit

Au niveau de la littérature, Pétrarque (1300) rénove ce domaine. I- La synthèse de la renaissance. Florence, 1483. Eglise de la Sainte Trinité. Ghirlandaio. Peint une chapelle pour la famille de Sasseti (famille proche des Médicis). C’est dans cette chapelle qu’est représentation une adoration des bergers avec Marie, Joseph, le Christ, l’âne et le bœuf et les bergers. Etonnant car il y a un sarcophage. C’est une synthèse de la renaissance, du « néo-platonisme » (née à Alexandrie au 3ème siècle

Brigitte «faisait l’office d’une sœur de charité» (page 135) : «Je regardais ce grabat, ces vitres inondées, les bouffées de fumée épaisse renvoyées par la tempête, l’abattement stupide du fermier, la terreur superstitieuse des enfants» (page 136). Le Parisien manifeste bien son dédain : «Je m'attendais à voir en elle presque une religieuse, du moins une de ces femmes de province qui ne savent rien de ce qui se passe à deux lieues à la ronde, et qui vivent dans un certain cercle dont elles ne s'écartent

objectif de décrire les phénomènes du monde sous un regard particulier, en décalage avec la vision traditionnelle, farfelu), contestataire, « haïku ». Analyse: 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Intro/amorce voc problématique structure thèmes effets de styles synthèse ouverture  les thèmes:   -l'humour - le fantastique/ le rêve/ l'irréalité  -la famille  -la mort  -l'histoire  -la guerre  -l'enfance  -le « petit peuple »  le style: -joue sur les accents -opposition oui/non -symétrie -renversement

fille à parties », une prostituée dont il s'est entiché pendant l'hiver 1860-1861. Il conçoit le projet de « la sortir du ruisseau », en essayant de lui redonner goût au travail, mais cet idéalisme se heurte aux dures réalités des bas quartiers parisiens. Il tire toutefois de cet échec la substance de son premier roman, Les confessions de Claude. Alexandrine Zola vers 1900D'autres passions s'expriment à ce moment de sa vie. En effet, le monde de la peinture fascine Zola, très proche du mouvement

fasciné. Ils habitent l’un près de l’autre { Montmartre. Braque commence une toile consacrée au nu ou Braque à vue les mêmes œuvres que Picasso. On retrouve les touches parallèles, le cerne noir, l’harmonie chaude des couleurs de Cézanne. On a une synthèse du primitivisme et de Cézanne. On a plusieurs points de vus du nu. On a des effets de torsion. Est-elle debout ou couchée ? On a donc soit un drap ou soit un rideau dans le fond. Le fond est fait de hachure et rappelle les fauves. Il met en avant

son œuvre, l'oxymoron (association de termes incompatibles) : « un palais de flammes glacées », « des mers incandescentes ». La pièce distille le malaise d'un cauchemar trop logique dont on ne parvient pas à se réveiller. Comme dans ces mauvais rêves où le sujet cherche désespérément à fIxer sa position (agissant ou agi, poursuivant ou poursuivi, coupable ou victime), les personnages, insaisissables pour qui voudrait les éclairer aux lumières de la psychologie, modulent ou intervertissent leur