Synthèse Monstres

l’humanité puisse en rire. Les personnages sont dépersonnalisés, trop d’éléments manquent et aucun stéréotype pour faire ressortir les personnages de la pièce avec aucun profil psychologique défini1. La rhinocérite transforme les hommes en monstre, et ce monstre sommeille en chacun de nous, selon Ionesco. La pièce Rhinocéros a eu une portée morale, et elle est aussi pertinente aujourd’hui. Certaines institutions; tel que l’Église Catholique ou toute autre; ont cherché et cherche toujours à convaincre

voulu se croire supérieur à Dieu. L’orgueil sera sa force sur les autres et sa perte. --} la monstruosité physique (sur la face, l’empreinte de son crime) = un reflet de sa monstruosité morale, de sa violence, de son insensibilité. Ds F, inversion monstre physique et moral : Victor et créature et variation. --} Monstruosité = idée du rejet, de l’isolement. -Ds L’E = fascination et répulsion mêlée de la foule. En épousant leur pt de vue, puis celui de Jeanne, il ns incite à ns identifier à ces sentiments

Charly TS4 Qu’est-ce qu’un monstre ? « Il est plus difficile qu’on ne le pense dedéfinir les montres ». Cette phrase de Voltaire dans son Dictionnaire philosophique montre bien qu’il n’est vraiment pas facile de définir, et décrire réellement ce qu’est un monstre. Aristoteavait essayé de donner une définition du monstre en disant qu’il « était un phénomène allant à l’encontre de la généralité des cas, mais non à l ‘encontre de la Nature ». Le monstre est unêtre rare, sortant souvent de

va écrire beaucoup de comédies (l’Avare, le Bourgeois Gentilhomme…) comme Corneille et Racine qui va s’illustrer dans la tragédie et fera paraitre notamment Britannicus en 1669. Britannicus est une tragédie en 5 actes qui raconte la naissance d’un monstre : Néron, qui est empereur romain et dans un tournant de son pouvoir, il va se voir devenir tyran et s’opposer à son demi-frère : Britannicus. Dans l’acte 1 scène 1, Agrippine et s’oppose sur le personnage de Néron, fils d’Agrippine. LIRE LE TEXTE 

Gaspard -bravo aux deux chevaliers ,vous avez tres bien combattus vous le méritez amplement . vous partirez à l'aventure dès le lever du soleil leur indiqua le roi . .Ils étaient à la fois nerveux de se dire qu'ils tomberaient nez à nez avec le monstre mais heureux de représenter leur roi ... tous ça fut loin car la bête approcha à grands pas .

Rhinocéros, Acte II, deuxième tableau (1960). Texte A : Michel De Montaigne, Les Essais, Livre II, chap. 30, « Au sujet d'un enfant monstrueux » (1595), trad. d'André Lanly. Montaigne consacre un court chapitre de ses Essais au phénomène des monstres et apporte ainsi une contribution importante à un débat en vogue au XVIe siècle. Je vis avant-hier un enfant que deux hommes et une nourrice, qui disaient être le père, l'oncle et la tante, conduisaient pour le montrer à cause de son étrangeté

en est un » (vers 33) pousse le lecteur à la curiosité. Au vers 33, l'anaphore de « plus » et la gradation, basée sur la longueur des mots et leur sens, « plus laid, plus méchants, plus immonde » dramatise l’Ennui. Il est donc représenté comme un monstre silencieux qui « ne pousse ni grands gestes, ni grands cris » (vers 34) mais capable de « faire de la terre un débris » (vers 35). L’Ennui « rêve d’échafaud » (vers 37), il a donc des envies meurtrières et sanglantes, ce qui renforce son atrocité

secret. Mais si ma mission avait été de faire peur aux humains, je me serais téléportée ! OH ! Excusez-moi, je ne me suis pas présentée, je m'appelle Corrina et je suis une gardienne de l'espoir, et pour être plus claire, je protège la planète des monstres qui viennent l'envahir. Je suis une sorte de fée sauf que je n'ai pas d'aile, je ne suis pas vraiment humaine ! Je ne suis pas immortelle comme les fées que vous voyez dans les films, ou à la télé, nous on meurt à un certain âge mais on ne sait

se sent assaillit de question, il se replie sur lui même, émet des réponses abstraites, inventé, ou encore en contre-sens, il est mal à l’aise, béguet; 3-Une familiarité choquante Emmanuel Carrère ne décrit pas Jean-Claude Romand comme un monstre, qui a agit par pulsion. Il ressort du texte étudié, l’image d’un père aimant, attentionné: « Je les ai câlinés. J’ai du leur dire des mots tendres, comme: « Je vous aime » » (lignes 25-26). L’image que Carrère donne de Romand est humaine, pathétique: « La

Un monstre est considéré comme un être fantastique ou une légende, de la mythologie ou un être vivant présentant une importante malformation. Nous avons étudié un extrait du roman de Victor Hugo dans Notre Dame de Paris publié en 1831, un extrait du magazine « les délice de la peur » écrit par Claire Caillaud et publié en décembre 1995, ainsi qu'une partie de l'article « Monstre Esthétique» écrit par Gilbert Lascaut publié en 1995 et pour finir l'affiche du film de David Lynch « Elephant Man » sorti