Synthèse Monstres

semblent être à première vu totalement opposé. La beauté est en quelque sorte un idéal type que tout le monde reconnait ainsi, alors que la monstruosité est plutôt un terme faisant référence à l’horreur. Ce terme est d’ailleurs tiré du nom commun « monstre ». On peut aussi remarquer que l’adjectif monstrueux peut être employé en tant que procédé ironique d’exagération. Mais le terme de beauté monstrueuse au sens propre est très subjectif. En effet, la beauté et la monstruosité sont des termes dépendant

la normalité n’aime pas, ils s’opposent à l’opinion commune. Dans les deux cas, ils défendent des choses que l’homme n’aime naturellement pas, alors que selon eux, ces choses ne demandent qu’à être aimées. L’araignée est jugée comme une sorte de monstre, du fait de sa laideur, Victor Hugo et Redon décident donc de la prendre sous leur aile et de démontrer qu’elle est rejetée injustement en prenant le laid pour le beau. Ils tentent ainsi de provoquer de la compassion auprès de leur public.  

Ernest ? 0,5 5. Nomme ceux que la créature appelle ses protecteurs ( 4 personnes ) 2 III/ Les lieux 6. Dans quelle ville V. Frankenstein fabrique-t-il sa créature ? 0,5 7. Dans quel pays s'installe-t-il pour créer la compagne du monstre? 0,5 8. Dans quel pays accoste-t-il après avoir jeté à la mer cette dernière ? 0,5 9. Où Victor Frankenstein meurt-il ? 0,5 IV/ De la monstruosité à l'humanité 10. Comment la créature découvre-t-elle le langage et le savoir (développe

première partie nous allons observer les caractères des personnages et ce qu'ils révèlent sur la manière de penser de l'époque. Tout d'abord, Horace, le héros de cette histoire, est un personnage très controversé car il peut être présenté comme un monstre. En effet, lorsque son beau frère Curiace est nommé pour combattre, le romain lui répond: "Albe vous a nommée je ne vous connais plus" (v.502). Il rompt donc tous contacts avec lui alors qu'ils étaient très proches dans la scène précédente. Il ne

de connaître l’identité de son futur époux. Tels furent les paroles de l’Oracle : L'époux que les Destins gardent à votre fille Est un monstre cruel qui déchire les cœurs, Qui trouble maint État, détruit mainte famille, Se nourrit de soupirs, se baigne dans les pleurs. […] Menez-la sur un roc, au haut d'une montagne, En des lieux où l'attend le monstre son époux; Qu'une pompe funèbre en ces lieux l'accompagne, Car elle doit mourir pour ses sœurs et pour vous. De ce pas, Psyché décida

Séquence 1  Des monstres et prodiges (1573) Ambroise Paré Intro : Paré 16°s (1509-1590) a vécue longtemps pour l’époque. Il était chirurgien et il a été considérer comme le père de la chirurgie moderne. Il a beaucoup pratiqué sur les champs de bataille. Ensuite il a beaucoup voyagé et il a arrêté pour se mettre à écrire. Ce qu’il écrit est entre traité (scientifique) et essais (réflexion scientifique et personnelle). Œuvre majeur : Des monstres et prodiges Dans cette œuvre Paré traite :

dans RZ. -voir cours d'introduction sur le théâtre grec et sa relation au monstre : le monstre (de « monstrare » en latin) est celui que l'on montre du doigt sur la scène de théâtre dès l'origine, car il viole une ou des lois de la polis (parricide, inceste, pb de contestation des lois, infanticide, etc.). Le « chaos tournoyant » du théâtre (voir dessins de Degaine) doit aider le spectateur à « regarder » ce monstre (étymologie même du mot « théâtre ») et à se séparer de ces pulsions négatives

le tenait debout était la souche d'un arbre. Je fis deux pas en arrière et repris ma course interminable j'arrivai a la maison que je voyais et j'ouvris la porte pour y rentrer, j'ai visité la maison en essayant de ne pas me faire repérer par ce monstre aux yeux rouges, la maison avait trois étages, je visitais les deux premiers étages et j'hésitais pour le troisième, en haut de l'escalier se trouver une porte de bois ancien pour finir je monta au troisième j'ai ensuite poussé la porte et j'entendis

Les monstres dans l’Odyssée sont indéniablement l’incarnation du mal : dans leur sauvagerie, ils représentent tout ce que le lecteur peut craindre : les Lestrygons et le Cyclope sont anthropophages, les Sirènes usent de leur « belle voix »pour attirer les marins et mieux les tuer, et on ne peut pas échapper à Charybde sans tomber dans les bras de Scylla. Ils sont en quelque sorte l'allégorie de l'excès, de la sauvagerie. Malgré leur apparence effrayante, les monstres sont une sorte de pilier pour

lacustre à l'existence non démontrée qui vivrait ou aurait vécu dans le lac Champlain (duquel elle tire son nom), à la frontière entre les États américains du Vermont et de New York, et la province canadienne du Québec. Les plus anciennes mentions de ce monstre remontent à la découverte par Samuel de Champlain du lac qui porte ensuite son nom. L'explorateur français, fondateur de Québec, rapporte en 1609 la présence dans ce lac de grandes créatures que les Abénaquis appelaient « tatoskok » ou « chaousarou