Syrie

en 1918. L’Allemagne perd toutes ses colonies (du au traité de Versailles). Les colonies allemandes et turques sont confiées à la SDN. La France reçoit la Syrie. On assiste également à un certain nombre de révoltes : Maroc qui se développe de 1925-26 : guerre du Rif. Les marocains tentent de chasser les Français. Il y a des révoltes (ex : Syrie pour la France) dans l’entre-deux guerres. 2. Des statuts de soumission : Il y a une multitude de statuts. L’objectif des mandats est d’amener les

Soudan, 2 pays majoritairement musulmans) ⇨ le Moyen-Orient = pays arabes du Machrek : Égypte, pays de la péninsule arabique et du Golfe (Arabie Saoudite, Yémen, Oman, Qatar, Emirats arabes unis, Bahrein, Koweit) et le Croissant fertile (Irak, Syrie, Liban, P alestine) ⇨ Autres pays à part : pays musulmans non arabes (Iran et Turquie), pays assimilé à l’Occident (Israël), Pakistan et Afghanistan. La région est à la fois marginale et centrale : ⇨ Marginale, car excepté Israël, tous

documents ont surtout à voir avec les années de formation et expansion du Parti Baas. Le premier document est un extrait de la Constitution du Parti Baas Arabe qui a été adopté par le premier congrès du parti le 17 juin, 1947 à Labaterer au Nord de la Syrie. Le deuxième document est composé d’un extrait du livre de Michel Aflaq intitulé La bataille du destin unique, publié en pour la première fois en 1958 à Beyrouth. Aflaq est important pour son rôle dans la création du parti Baas comme un des trois fondateurs

sanglante des manifestations de la place de la Perle, à Manama, par les autorités gouvernementales. LIBYE : Résolution 1973 (2011) du Conseil de sécurité des Nations Unies, imposant une zone d’exclusion aérienne et autorisant le recours à la force. SYRIE : Début de manifestations massives dans les principales villes du pays. Le pouvoir en place (parti Baas) les réprime en ouvrant le feu sur la foule. YÉMEN : répression des manifestations dans la capitale (52 morts). 19 mars 2011 : LIBYE : Début internationale

persécutés ou tracassés par l’église byzantine officielle, sans parler d’autres, les Nestoriens, qui avaient été bannis et avaient trouvé refuge chez les Sassanides, qui avaient en plus accueilli les Juifs byzantins. Aux frontaliers de Mésopotamie et de Syrie les Arabes étaient connus puisque les Ghassanides (monophysites) avaient constitué des principautés sans parler d’autres groupes immigrés de longue date ; et les habitants en général les voyaient d’un moins mauvais œil que leurs maîtres plus étrangers

Liban et en Syrie, tandis que le Royaume-Uni occupe la Palestine, la Transjordanie et l’Irak. Une clause spéciale dans chacun des mandats souligne que les peuples pourront accéder rapidement à l’indépendance. En 1923, le traité de Lausanne permet à la Turquie de conserver l’Asie mineure, Istanbul et la Thrace orientale. La carte géopolitique du Proche-Orient contemporain se dessine progressivement. Les indépendances surviennent à l’issue de la Seconde Guerre mondiale : Liban et Syrie (entre 1943

qui compte la minorité musulmane la plus importante dans le monde est le Vatican. Les ressources les plus précieuses de l’Afrique du Nord et de l’Asie du Sud-ouest sont le pétrole et les sols arables. Le Golan est la partie son territoire que la Syrie a perdu au profit d’Israël. La minorité ethnique du Nord de l’Irak qui a exprimé sa volonté de créer un État indépendant sont les Kurdes. L’Iran diffère des autres pays de la région de l’Afrique du Nord et de l’Asie du Sud-ouest car c’est un pays

« Guerre de l’eau » ou marché international de l’eau au Moyen-Orient ? Véritable guerre peut éclater entre la Turquie et la Syrie ou l’Irak à cause des fleuves : Tigre et Euphrate. La Turquie construit dans las vallées –Euphrate surtout) toute une série de barrages dans le cadre du GAP (Grand Projet Anatolien). La Turquie peut donc stocker derrière ces barrages plus d’une année entière de débit du Tigre et de l’Euphrate. Pb : cela prive en aval les vallées de l’ancienne Mésopotamie. D’où csqs catastrophiques

l'agressivité et le désir d'expansion appuyé sur une violence incontrôlée du soi-disant califat. Ce week-end, en effet, le président turc Erdogan a déclaré que son pays était prêt à envoyer des troupes pour s'opposer aux djihadistes dans le nord de la Syrie. Et au moins, assurer la sécurité d'une zone tampon où pourraient être regroupés les réfugiés qui continuent à affluer. Les Turcs ont les coudées plus franches Une décision qui, si elle était suivie d'effets, aurait au moins trois bonnes raisons

voisins les plus proches, notamment l’Allemagne et le Royaume-Uni. 78 % des Français estiment que  face à la crise des migrants et des réfugiés venus de Syrie, les dirigeants européens n’ont pas réagi comme il le fallait .. Les Français sont en revanche favorables (61 %) à ce que les troupes françaises participent à une intervention militaire au sol en Syrie contre Daech.