Système européen de banques centrales

pense que la sphère réelle doit trouver son reflet dans la sphère monétaire et que tous désajustement est source de déséquilibre. Economie monétaire et financière Les phénomènes monétaires peuvent ils jouer sur les déséquilibres économiques ? • Le système monétaire et financier semble pouvoir résorber les déséquilibres réels. • Au cours des 30 glorieuses, la croissance monétaire et l’endettement ont favorisé la croissance. • La mise en œuvre des politiques keynésienne qui créent de la monnaie, baisse

la monnaie pr constituer leur portefeuille ou leur patrimoine et ce en concurrence avec d'autres biens capitaux. Risques = inflation avec pertes de pouvoir d'achat et rendement faibles Section 2 : Les formes de la monnaie §1 : Du troc au billet de banque A. Le troc Cette période est caractérisée par l'échange de marchandises entre elles, la nécessité d'une unité de compte mais le troc entraine une série de coûts et d'inconvénients qui nécessitent la création d'une monnaie marchandise. B. La monnaie

appréhender les risques bancaires et principalement le risque de crédit ou de contrepartie et les exigences en fonds propres. Ces directives ont été préparées depuis 1998 par le Comité de Bâle, ville de Suisse, sous l'égide de la « banque centrale des banques centrales » : la Banque des Règlements Internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD. Les normes de Bâle II devraient remplacer les normes mises en place par Bâle I et visent notamment à la mise en place du ratio McDonough destiné

déterminés donnant naissance aux pièces métalliques. ✓ La monnaie frappée : Durant l’antiquité, les pièces sont frappées par les autorités religieuses qui garantissent la valeur des pièces. Les souverains au moyen âge font de même. • Le système du bimétallisme or et argent fait son apparition en France en 1803 avec le franc Germinal. ✓ Liberté de frappe des monnaies : Possibilité d’obtenir des pièces d’or et d’argent contre des lingots de métal précieux. ✓ Pouvoir libératoire

probabilité non négligeable de dysfonctionnement majeur, c’est à dire une grave détérioration sinon paralysie de l’ensemble du système financier. Par le biais des engagements croisés, des effets de dominos, puis des faillites en chaîne, cela peut conduire à un effondrement du système financier mondial. Depuis 1973, les crises ayant comporté un risque important pour la pérennité du système financier ont été nombreuses ; C’est pourquoi on peut se préoccuper de savoir quelles sont les mesures appliquées par

c’est là qu’intervient la politique monétaire. Le but de la politique monétaire c’est d’essayer de modifier la demande avec la masse monétaire, ou les taux d’intérêt. Il y’a une hypothèse selon laquelle l’offre va s’adapter à la demande. La banque centrale va injecter de l’argent dans l’économie en cas de récession pour augmenter la demande. Il y’a une distinction entre le court terme et le long terme : * Le court terme : ce sont les fluctuations durant une courte période, il y’a des périodes

Chapitre 3 La Banque de France Historique : Création de la Banque de France Elle a été créée le 18 janvier 1800 par le 1ier consule qui était Napoléon Bonaparte. Il a créé cette banque de France dans le but de favoriser la reprise économique après la profonde récession liée à la période révolutionnaire. Le nouvel établissement créé était chargé d’émettre des billets aux porteurs (billets payables à vue) en contre partie de l’escompte d’effet de commerce. A cette époque, l’Angleterre et

partielle, autre que celles prévues à l’article L. 122-5. 2e et 3e a) du Code de la propriété intellectuelle ne peut être faite de la présente publication sans l’autorisation expresse de la Banque de France ou, le cas échéant, sans le respect des modalités prévues à l’article L. 122-10 dudit code. » © Banque de France – 2012 SOMMAIRE INTRODUCTION 1 La hausse continue de l’endettement public Partie 1 CHAPITRE 1 5 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L’ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS

liquidité dans le système interbancaire a été réduit à une quarantaine de milliards contre plus d'une centaine il y a deux semaines. La hausse des taux interbancaires n'inquiète pas les banques. L'accès des banques à la liquidité se normalise à grande vitesse. Hier, alors que s'ouvrait une nouvelle période réglementaire de constitution des réserves de liquidités, les banques n'ont pas renouvelé leurs coussins de ressources lors du nouvel appel d'offres de la Banque centrale européenne. « Les banques

l’obligation, le cas échéant, de maintenir son change fixe. Or, l’entrée ou la sortie des capitaux étrangers affecte le taux de change. L’entrée de devises augmente le taux de change. Mais depuis 1979 et l’inscription de la France dans le Système monétaire européen (SME), il devient nécessaire de maintenir un taux de change fixe pour assurer des parités fixes entre les différentes monnaies composant le SME. Enfin, il faut citer la contrainte financière : c’est la contrainte exercée par les marchés