Sénèque Lettre 47

Théogonis, Fragments. 5. « On veut être heureux, mais on prend l’instrument du bonheur pour le bonheur lui-même ». Sénèque, Lettres à Lucilius. 6. « Le dernier degré du bonheur est l’absence de tout mal » Epicure. 7. « Il faut avoir le souci de ce qui produit le bonheur, puisque s’il est présent nous avons tout, tandis que s’il est absent, nous faisons tout pour l’avoir. » Epicure, Lettre à Ménécée. 8. « Sans la joie et dans la douleur Sois modéré, car le malheur Au bonheur se mêle et s’allie

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dans cette période de guerres religieuses. Mais cette amitié dure peu. La Boétie meurt, sans doute de la peste, en 1563, conservant pendant trois jours d’agonie une force d’âme qui fascine Montaigne et qu’il veut faire connaître, d’abord dans une lettre à son père, puis dans un Discours publié en 1571 en postface aux œuvres de son ami. « Il n’est action ou pensée où il ne me manque. » écrit Montaigne[14] « J’étais déjà si formé et habitué à être deuxième partout qu’il me semble n’exister plus qu’à

vous, c’est sans doute une vertu rare en un siècle où l’on fait vanité des moindres choses. Mais je me laisse emporter insensiblement à la tentation de parler de vous ; il faut qu’elle soit bien violente, puisque je n’ai pu y résister dans une lettre où je n’avais autre dessein que de vous témoigner avec combien de respect je suis, Monseigneur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Racine. III Table des matières ACTE PREMIER Scène 1   AGRIPPINE, ALBINE  1 Scène

Les sources théâtrales antiques du personnage de Médée : Euripide et Sénèque Médée dans la littérature grecque : * Euripide (pages 2 à 14) Médée dans le théâtre latin : Sénèque (pages 15 à 24) Médée dans la littérature grecque On trouvera une revue suffisamment large des sources antiques du personnage dans l’article de Marie-Adélaïde Debray, « Orphée et Médée. Approche comparative de deux gestes mythiques », Folia electronica classica, n° 4 (2002). Pour une étude complète voir

végétaux, des plumes et des poils chez les animaux qui en possèdent, mais lorsque cette chute est complète on la désigne par les expressions précitées : on parle de calvitie, de défeuillaison. » Aristote, De la génération des animaux, V, 3, Les Belles Lettres, Paris, 1961, traduction Pierre Louis. Texte 2 Peau à rides La vieillesse n’est pas ce qui déforme le visage mais ce qui, à proprement parler, le « définit » (lui donne sa singularité). Telle est la thèse de Emmanuel Lévinas, que Alain Finkielkraut

dans cette période de guerres religieuses. Mais cette amitié dure peu. La Boétie meurt, sans doute de la peste, en 1563, conservant pendant trois jours d’agonie une force d’âme qui fascine Montaigne et qu’il veut faire connaître, d’abord dans une lettre à son père, puis dans un Discours publié en 1571 en postface aux œuvres de son ami. « Il n’est action ou pensée où il ne me manque. » écrit Montaigne[17] « J’étais déjà si formé et habitué à être deuxième partout qu’il me semble n’exister plus qu’à

ans, croit avoir trouvé un moyen infaillible pour se prémunir contre l’infidélité féminine : il s’apprête à épouser une orpheline de dix-sept ans, Agnès, qu’il a adoptée et fait élever au couvent dans une complète ignorance des réalités de la vie. (p.47) 14La scène du ruban dans L’Ecole des femmes est comique par les sous-entendus sur lesquels le quiproquo repose. (p.48) 15Le classicisme coïncide avec le régime politique de la monarchie absolue qui, sous Louis XIV, faisait régner l’ordre dans

municipal. Calvin passa les dernières années de sa vie à promouvoir la Réforme à Genève et dans toute l'Europe. Calvin était un polémiste et un écrivain apologétique infatigable qui provoqua de nombreuses controverses. Il échangea également des lettres cordiales et favorables avec de nombreux réformés comme Philipp Melanchthon et Heinrich Bullinger. En plus de l'Institution, il rédigea des essais sur la plupart des livres de la Bible de même que des traités de théologie et des confessions de foi

en vous, c'est sans doute une vertu rare en un siècle où l'on fait vanité des moindres choses. Mais je me laisse emporter insensiblement à la tentation de parler de vous ; il faut qu'elle soit bien violente, puisque je n'ai pu y résister dans une lettre où je n'avais autre dessein que de vous témoigner avec combien de respect je suis, MONSEIGNEUR, Votre très humble et très obéissant serviteur, RACINE. - 4 -PREMIÈRE PRÉFACE (édition 1670) De tous les ouvrages que j'ai donnés au public, il n'y en