Tableau La Madeleine Pénitente

L'art éternel... L'art existe depuis la nuit des temps... Dans ce recueil nous retrouvons des œuvres du XVIIème (La Madeleine pénitente, dite aux deux flammes de Georges de La Tour) au XXème siècle (Luxe, calme et volupté de Henri Matisse). Les techniques se modernisent cependant l'art reste unique. L'art est également une accoutumance entre des artistes que nous retrouvons dans le tableau de Henri Fantin-Latour Hommage à Delacroix dans lequel de nombreux esthètes comme Charles Baudelaire et James Whistler

montrant que cette mort est decrite de maniere tres picturale. 1. II faut bien lire la consigne et verifier qu'on a compris tous les termes de 1'enonce : la mort de Milady est decrite comme une peinture/un tableau. 2. Le commentaire : La mort de Milady est decrite comme un tableau. D'abord, on releve le point de vue du spectateur qui est mis en evidence dans le texte. En effet, a partir de la ligne 34, la scene est vue a travers le regard d'un « on » qui retranscrit les impressions visuelles

La Carte de Tendre est la carte d’un pays imaginaire appelé « Tendre » imaginé au XVIIe siècle et inspiré par Clélie, Histoire romaine de Madeleine de Scudéry, par différentes personnalités dont Catherine de Rambouillet. On y retrouve tracées, sous forme de villages et de chemins, dans cette représentation topographique et allégorique, les différentes étapes de la vie amoureuse selon les Précieuses de l'époque. La Préciosité est un mouvement littéraire et intellectuel porté par une partie de la noblesse

le portrait de ce même poème. La vision que nous pouvons en avoir n'est autre qu'un climat paisible sans tension ou sont alliés les joies du plaisir des sens. Les tableaux nous invitent sur la vision du réalisme et du surréalisme. « La madeleine pénitente » représente le réalisme, elle vit dans un couvent, comme le Père Goriot vit dans une pension, lieu de vie, lieu de recueillement. «  Le double secret » quand a lui surréaliste, représente le double jeu que mène les filles du Père Goriot vis

des éléments de richesse et la lumière diffuse. FICHE DESCRIPTIVE 3 – Voir annexe III Titre de l’œuvre: La Madelaine pénitente Date: 1720-1725 Nom de l’artiste: Giovanni Antonio Pellegrini n. 1675 m. 1741 Matériaux: Huile sur toile Dimensions: 118,5 x 94,3 cm Mouvement et/ou période: Rococo Genre: Vanité Description de ce qui est représenté: Une madeleine est assise sur un sol vert avec un livre ouvert (sûrement la Bible) qui est posé sur un crâne et une croix sur ses genoux

BASTIN Laetitia Analyse de l’œuvre d’art :Année 2021-2022 DAEU A Musée de La Chartreuse, Douai INTRODUCTION :SAINTE MADELEINE MEDITANT - XVII e siècleMarie de Magdala , ou  Marie Madeleine , appelée aussi  Marie la Magdaléenne ou  Mariam  dans les  Évangiles , est une  disciple  de  Jésus  qui le suit jusqu'à ses derniers

 majeures  du  christianisme  :  Eve,  Marie  et  Marie-­‐Madeleine,  et  ce,  à  travers  le   genre  du  portrait  féminin.   Nous   verrons   ainsi   à   travers   ce   dossier   et   l'étude   de   trois   œuvres   («   Le   mariage   de   la   Vierge   »   de   Raphaël,   la   «   Madeleine   aux   deux   flammes   »   de   Georges   de   la   Tour

La représentation traditionnelle des femmes dans les arts (peinture et sculpture)A. Cherchez les œuvres ci-dessous et créez un portfolio sous forme de diaporama ou de document.B. Dans un tableau, classez les types de femmes représentées selon qu ’ elles sont nues ou vêtues.C. Quel discours la tradition picturale tient-elle sur la femme et son statut dans la société ? 1) Art étrusque, Sarcophage des époux , vers -520, terre cuite, 141 x

devient méditation sur la vanité et la caducité des affaires humaines qui s’opposent à l’immortalité de la science et de l’art. En ajoutant un pampre de vigne et une vanité, l’artiste transforme la Mélancolie en une Madeleine pénitente et donne ainsi une lecture chrétienne du tableau. Enfin, il diffuse la leçon caravagesque qui se caractérise par le réalisme populaire, le goût de la mise en scène, la recherche de l’effet dramatique et par les contrastes d’ombre et de lumière. → la Mélancolie (alégorie)

7) 4. Eloge du quotidien: la leçon de peinture de Vermeer (p. 10) « UN FILM DONT TOUTE LA CHAIR SOIT LA MUSIQUE » 1. Un mythe baroque: Orphée (p. 14) 2. Office des ténèbres (p. 15) 3. L'éloquence muette des larmes (p. 17) 4. Pleurer comme une Madeleine (p. 19) 5. Eros baroque: le mythe d'Actéon (p. 21) ELOGE DE L'OMBRE (p. 23) INTERTEXTUALITE 1. Textes sources (p. 30) 2. Musique et langage (p. 32) 3. Portraits et autoportraits (p. 33) Annexes (p. 35) « LE PEINTRE À LA CAMERA »