Tableaux Vanités

quête d'une beauté idéale notamment par l'intermédiaire de la femme 2) tableaux parisiens: le regard du poète se pose sur le monde qui l'entoure, la ville moderne 3) le vin et 4) Fleurs du Mal : oubli et dépaysement, le poète se noie dans des "paradis artificiels" faits de débauche et d'un bonheur éphémère. 5) la révolte: dernière tentative pour atteindre l'Absolu, la Beauté 6) la mort: constat douloureux de la vanité de cette quête, désillusion et salut dans la mort. "Spleen et Idéal":

LA 4 : « L’Horloge » de BaudelaireEléments d’introduction· Dernier poème de la section Spleen et Idéal· Evocation d’un thème traditionnel : la fuite du temps en poésie et en peinture (vanités)· Mais ici allégorie de l’horloge qui tient un discours saisissant (prosopopée)· Structure du poème : 6 x 4 = 24 vers = 24 heures d’une journée et alexandrins = 12 syllabes = divisions du temps sur le cadran.· Rimes embrassées : structure fermée, pas d’échappatoire.Projets de lecture possibles :Quelle vision

|Le genre (pour les œuvres figuratives) | |Il s'agit : d'un portrait – d'un autoportrait – d'un paysage – d' une nature morte – d'une vanité – d'art animalier – d'une scène de vie – d'une scène | |historique – d'un sujet mythologique – d'une sujet littéraire – d'une allégorie. | |Approche interprétative -

bien. Il ne racontera jamais sa belle aventure de jeunesse, ayant peu de vanité, aimant à oublier cette histoire comme une affaire où il y eut des tracas et finissant par l’oublier en effet.   Rodolphe Boulanger (second amant) est le même homme, mais vigoureux, ce qui ne veut pas dire audacieux. C’est un paysan qui a été élevé sur sa terre de la Huchette. Il est avare et prudent, comme tous les paysans. Il a un peu de vanité, l’amour-propre du bel homme haut et fort. Il aime porter des bagues, des

Caravage, Crucifixion de Saint Pierre, 1601, huile sur toile, Rome, Santa Maria Del Popolo, L'utilisation de diagonales dans les travaux est très présente. Il n'y a plus de points de fuite. Les diagonales donnent un mouvement plus dynamique aux tableaux. Le caravage, La conversion de Saint Paul, 1601, huile sur toile. Le Caravage, Judith et Holopherne, 1598, Palazzo, Il a une vision plus réaliste de la scène, très théâtrale. L'instantanéité du moment dramatique, Caravage fera école et fera

lire selon un ordre, comme un roman, puisque les textes sont disposés selon un sens. Le recueil commence par "Bénédiction" et finit par "La Mort", il suit le cour de l'existence humaine . Le recueil est constitué de 6 sections : - Spleen et idéal , Tableaux parisiens , Le Vin , Fleurs du mal , Révolte , La Mort , On peut regrouper les sections en trois parties : - La section 1 correspond au constat détaillé d’un état intenable tiraillé

fonctions - Le portrait comique divertit en montrant certains défauts (vanité, coquetterie), il a aussi pour but de corriger les mœurs par le rire « castigat ridendo mores » . Le portrait est tonique et vivant du fait de l’emploi du présent, le recours au « on » amène une certaine généralité qui fait rayonner les tirades de Cléanthis Le comique passe par l’élan progressif de Cléanthis qui s’applique à brosser les différents tableaux au point de ne plus vouloir s’arrêter et d’en ajouter d’autres alors

visage enfantin, légèrement efféminé, avec un serre-tête dans ses cheveux bruns. Il regarde dans notre direction avec un air enjoué. Il porte une tunique orange qui laisse voir un corps musclé. Il porte de multiples bijoux de couleurs or, signe de sa vanité : deux boucles d’oreille ronde, un bracelet au bras tenu par son père, et des sandales. De sa main gauche, il tient une branche de laurier non tressé, symbolisant le futur empereur qui doit faire ses preuves avant de pouvoir avoir la couronne de laurier

dimension des tableaux à leurs habitations. Pour ses raisons leurs thèmes ne traitaient donc que très occasionnellement les sujets traditionnels chez les rois, la noblesse ou le clergé, mis à part les portraits. b. Ses caractéristiques L’art hollandais renouvelle les genres et la nature morte qui n’avait été jusque là qu’un accessoire du tableau, un élément du décor dans lequel la présence des personnages constitue l’essentiel, devient un sujet à part entière. Les vanités aux symboles si

tous les arts. Les baroques ont une vision pessimiste du monde : ils ont une fascination pour la maladie et la mort, notamment due à l'horreur des guerres de religion. Les corps mutilés, le sang, les cadavres, les crânes envahissent les oeuvres (les Vanités par exemple). Ils sont aussi attachés aux thèmes de la métamorphose et de l'illusion car selon eux, l'homme ne peut plus distinguer l'illusion de la réalité. Ils traduisent donc cette illusion par les masques, les déguisements, les miroirs, des jeux