Tamarinier

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles BAUDELAIRE Page 6/7 17ème siècle : Jean De La FONTAINE : Les fables de La Fontaine, « Le Corbeau

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire Je hay plus que la mort un jeune casanier, Qui ne sort jamais hors, sinon aux jours de feste, Et craignant plus

« pleurant » (v. 8 texte B), « amour » (v. 10 texte C), puis la présence de la nature dans le texte A « automne » (v.1), « rivages » (v. 3), « soleil » (v.4), « nature », « île » (v.5), « arbres », « fruits » (v.6), « climats » (v.9), « vagues » (v.12), « tamariniers » (v.13), « air » (v.14). Donc, tous ces procédés et la forme de ces poèmes sont des indices qui nous permettent de classer ces textes dans le registre lyrique. 2) Dans ces trois poèmes où l’on trouve le registre lyrique, les poètes expriment

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857 Le voyage des vivants Le contrôleur Le contrôleur Allons allons Pressons Allons allons Voyons pressons

impressionnant : qui produit beaucoup d'effet sur l'esprit l.7 asphalté : calcaire mélangé à du bitume servant de revêtement des routes l.9 rutilante : qui brille d'un vif éclat l.13 sanctuaire : endroit le plus saint d'une église, d'un temple l.14 tamariniers : arbre tropical au fruit comestible, l.19 rotin : partie de la tige du rotang dont on fait des meubles l.22 un foie bien colonial : devenir alcoolique l.23 luisance : langage soutenu qualité de ce qui luit, de ce qui émet de la lumière l

mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonnent. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857 Edvard MUNCH, Madonna, 1893 Serpent qui danse Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Explication : Parfum exotique (p37) est le premier poème de la section consacrée à Jeanne Duval dans la section Spleen et idéal, de Baudelaire.

corps est mince et vigoureux,Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats,Je vois un port rempli de voiles et de mâtsEncor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers,Qui circule dans l'air et m'enfle la narine,Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.  Charles Baudelaire | Le LéthéViens sur mon coeur, âme cruelle et sourde,Tigre adoré, monstre aux airs indolents ;Je veux longtemps plonger

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. (Spleen et Idéal, les Fleurs du Mal,  25 juin 1857 ) Le port Un port est un séjour charmant pour une âme fatiguée des luttes de la vie. L'ampleur

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire 1857 Grâce a ses nombreux paysages, et ses saisons , Charles Baudelaire m’a fait voyager dans plusieurs endroits , tout d’abord