Tamarinier

vague marine au vers 11 et de la circulation de l’air, au vers 12, qui donne lieu à un retour à l’olfactif avec le « parfum ». Unité du monde sensible reproduite sur le plan sonore grâce au jeu d’échos par la rime de mots presque homophone : « tamariniers », « mariniers » ; grâce à l’assonance en [a] dans les deux dernières strophes ; mais également grâce aux allitérations de consonnes douces et continues telles que [f], [v], [l], [r],[m], et [n] Sonnet régulier, ce poème exprime comme dans un beau

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse

abri somptueux (v. 2 sous un dais ici synonyme de voûte d’arbres tout empourprés : on pourrait penser à des flamboyants, mais le texte original et la variante de 1845 disaient plus précisément tamarins ambrés, arbres aimés de Baud., cf. les verts tamariniers de Parfum exotique, v. 12), et incarnent la langueur des Tropiques (v. 3 [des] palmiers d’où pleut sur les yeux la paresse, avec une image née de la forme des palmes qui retombent vers le sol). Mais loin d’avoir un sens péjoratif, le terme paresse

mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. CHARLES BAUDELAIRE (1821-1867) LA MORT DES AMANTS Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères, Des divans profonds comme des tombeaux, Et d'étranges

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encore tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Parfum exotique, Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire Invitation au voyage Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D'aller

immédiatement l'imaginaire du poète. BAUDELAIRE fait une description précise de l'île, il laisse tout d'abord entendre que la végétation est luxuriante (« Une île paresseuse », « Des arbres singuliers et des fruits savoureux »,« le parfum des verts tamariniers ») L’île semble être une représentation du paradis. Le poète emploi des adjectif mélioratif lorsqu'il décrit ce qui la caractérise : sa pollution et sa végétation. Ensuite, il présente la mer comme étant une source de bonheurs pour le poète puisqu'elle

mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise �tonne. Guid� par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de m�ts Encor tout fatigu�s par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se m�le dans mon �me au chant des mariniers. Introduction :j'ai choisis ce poeme car : Les boh�miens sont souvent appel�s les gens du voyage .Alexandre Pouchkine,Albert GLATIGNY ont

Novembre à Mai. La température varie entre 15°c en Janvier et 37°c en Mai.les hauteurs d’eau varient entre 750 mm et 1000mm par an. La végetatation est de type savane arborée. On note la présence d’arbres tels que : le karité, le néré, le tamarinier, le résinier, le baobab, le kapokier. Ces arbres sont coupés excessivement et utilisés pour la préparation des repas et surtout du dolo. I. 2. Relief – Sol et hydrographie Le relief de la zone est une plaine avec de bas plateau

le corps est mince et vigoureux,Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats,Je vois un port rempli de voiles et de mâtsEncor tout fatigués par la vague marine,Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine,Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Présentation et mes appréciations du poème : Parfum exotique est le 22ème des Fleurs du mal dans la partie « Spleen et Idéal ». Ce poème est consacré à une

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire « Les Fleurs du mal »