Tanne

comparé à ce que la nature sociale et parisienne s'était permis de créer en cet homme, si toutefois Samanon est un homme. Lucien ne put réprimer un geste d'effroi à l'aspect de ce petit vieillard sec, dont les os voulaient percer le cuir parfaitement tanné, taché de nombreuses plaques vertes ou jaunes, comme une peinture de Titien ou de Paul Véronèse vue de près. Samanon avait un œil immobile et glacé, l'autre vif et luisant. L'avare, qui semblait se servir de cet œil mort en escomptant, et employer

À la scène 4, chaque enfant prononcera une réplique qui en dit long sur son moral. Chaque enfant dit la même chose, mais avec des mots différents. Quelles sont ces répliques? « J’en ai plein mon casque. » « Je suis écœuré d’être ici. » « Je suis tannée. » « Je ne suis plus capable. » 5. À la scène 4, Paul et Pauline ont un comportement qui dépasse les liens frère/sœur. Explique ce qui les pousse à agir ainsi. Ils sont inséparables, et puisque leurs parents sont presque jamais avec eux, leur relation

est impossible de rester cloitré pour reprendre son expression : entre ces quatre murailles. Il se sent enfermer dans une relation à long terme si je peux m’exprimer ainsi. Il veut une femme, on déduit qu’il l’obtient généralement et lorsqu’il se tanne ou qu’il découvre une autre femme, il s’en va, tout simplement. 

moralité. Balzac compare le ville de paris comme « une enfer »(18) Le narrateur utilise d’hyperoble afin d’exprimer ses observations l’effet de la vie parisines sur les habitnats.. il utilise l’image de discoloration tels que « have, jaune et tanne » et «blemit, bleuit et brunit » afin de donner une image comme une rpoduit chimique qui lentement mais intensivement éroder les Parisiens. Cette image de destruction est aussi présenter par « les poisoins dont sont engorsses leur Crevaux ». les parisiennes

toot, tootsie, goodbye. Mary Dale le remarque o Années 30 : Grande Dépression = veut rêver, voyager = comédies musicales o Adaptations de comédies musicales de Broadway au cinéma o All talking, all singing, all dancing o 90 films o Public tanné adaptations sans histoire vraiment, enlevait même dernière minute musique avant sortie des films = 2 courants qui font renaître intérêt o 1- les comédies musicales à grand déploiement de Hollywood. Busby Berkeley, chorégraphe, fait des kaléidoscopes

romantique, la grâce était valorisée, la représentation devenait moins allégorique et beaucoup plus réelle. On distinguait deux types de beauté. Dans un premier temps, les paysans et les artisans, qui la plupart du temps avaient un teint mat, la peau tannée et étaient musclés,dus aux activités physiques extérieures (travail dans les champs, travail manuel etc....) qu’ils exerçaient. Ce physique était considéré comme « bas » en opposition au physique « noble » qui lui se traduisait par un fort embonpoint

au bonheur. Deuxièmement, nous avons besoin de petits plaisirs afin de continuer à vivre dans le bonheur. Une fois le bonheur atteint, il ne suffit pas de s’assoir dessus, il faut le maintenir. En effet, tout être humain évolue avec le temps et se tanne de ce qu’il a. C’est à ce moment-là qu’il désire plus et toujours plus sans jamais en être satisfait et tombe dans la surconsommation, sans toutefois réellement vivre dans le bonheur réel. Pour remédier à cette situation, il suffit de se faire plaisir

médievale fond sa puissance sur son économie. Elle comporte deux parties, la haute ville avec le chateau et la cathédrale, et la basse ville avec les activités liées à la rivière comme tanneries (koželužství-un des métiers le plus ancien, les gens tanne les peaux pour les transformer en cuir), mégisseries (jirchárna-le travail de celui qui prépare et blanchit les peaux) et moulins. La ville était aussi au coeur des guerres. D´abord celle de Cent ans (avec la signature sept km de Chartres, du traité

donner à un être fictif « aux entrailles de papier » une épaisseur humaine. De plus l’auteur cherche à montrer une vraisemblance dans son portrait en le faisant progresser en commençant par une description seulement physique « son visage était rond, tanné, marqué de véroles » ligne 2-3. puis en poursuivant sur une description de son attitude habituelle « l’expression calme et dévoratrice que le peuple accorde au basilic » ligne 4-5 ou de ses habitudes « toujours vêtu de la même manière » ligne 14.

aux tempes, les paupières levées, montrant le globe blafard des yeux ; les lèvres tordues, tirées vers un des coins de la bouche, avaient un ricanement atroce ; un bout de langue noirâtre apparaissait dans la blancheur des dents. Cette tête, comme tannée et étirée, en gardant une apparence humaine, était restée plus effrayante de douleur et d’épouvante. Le corps semblait un tas de chairs dissoutes ; il avait souffert horriblement. On sentait que les bras ne tenaient plus ; les clavicules perçaient