Tapis Loge Compagnon

saisissait une autre. Laurine courait maintenant, s'abandonnait tout à fait au plaisir de ce jeu nouveau et, la figure rose, elle se précipitait d'un grand élan d'enfant ravie, à chacune des fuites, à chacune des ruses, à chacune des feintes de son compagnon. Brusquement, comme elle s'imaginait l'atteindre, il la saisit dans ses bras, et, l'élevant jusqu'au plafond, il cria : " Chat perché ! " La fillette enchantée agitait ses jambes pour s'échapper et riait de tout son coeur. Mme de Marelle

- Eh bien, veux-tu m'accompagner à La Vie Française, où j'ai des épreuves à corriger, puis nous irons prendre un bock ensemble? - Je te suis.» Et ils se mirent à marcher en se tenant par le bras avec cette familiarité facile qui subsiste entre compagnons d'école et entre camarades de régiment. «Qu'est-ce que tu fais à Paris?» dit Forestier. Duroy haussa les épaules: «Je crève de faim, tout simplement. Une fois mon temps fini, j'ai voulu venir ici pour... pour faire fortune ou plutôt pour vivre à

est celui du hasard, et ce hasard est à chaque fois celui de la rencontre d'un lieu qui favorise la séduction indépendamment de la volonté des protagonistes. Quels sont ces lieux? C'est d'abord l'Opéra où le narrateur, qui attend sa maîtresse dans sa loge, se fait aborder par « la décente Mme de T...». Le hasard de cette rencontre «inspire» à Mme de T... une idée qu'elle met aussitôt en œuvre: «Elle [...] me fait entrer dans sa voiture, et je suis déjà hors de la ville avant d'avoir pu m'informer de

Louange à Dieu en qui notre pauvreté est richesse et envers Qui notre humilité est notre honneur. Paix et béndiction de Dieu sur le maître des Prophètes, le Sceau des Messagers, notre bien-aimé, notre modèle, Muhammad, ainsi que sur sa famille et ses compagnons. Âmîn. La jeunesse musulmane a besoin, plus que jamais, de se remémorer les historiques et les récits des nobles savants et pieux Imâms qui ont dépensé leur vie au service de la religion. Attacher le cœur des musulmans aux personnages phares de

sur blanc le texte d’une conférence qu’il m’avait demandé d’organiser sur le sujet passionnant de « la Divine Proportion » que m’avait enseignée mon Papet. Voici donc le texte de cette conférence organisée à la maison de l’Association Ouvrière des Compagnons du Devoir de Paris. Je me suis permis d’abonder ce texte de toutes sortes de trouvailles, depuis une dizaine d’années… Et la disparition du Frère Isidore DUCASSE qui m’avait fait me passionner pour les vieilles pierres de « son » abbaye de Boscodon

tard en tant que contre-exemple. Les assauts de l’actrice commencent toujours par une phase de séduction, durant laquelle elle use de ses charmes en feignant l’indifférence ou l’innocence. Ainsi, c’est en se laissant surprendre à moitié nue dans sa loge par Muffat qu’elle l’attire dans ses filets[5]. Cette seule vision d’un corps de femme qui l’effrayait jusqu’alors suffit à le placer sous la coupe de Nana : « il aurait tout renié, tout vendu, pour l’avoir une heure, le soir même »[6] Il en va de

des paroles outrageuses, s'enfoncèrent dans l'île. Nul ne vit l'âpre bataille ; mais, par trois fois, il sembla que la brise de mer portait au rivage un cri furieux. Alors, en signe de deuil, les femmes battaient leurs paumes en chœur, et les compagnons du Morholt, massés à l'écart devant leurs tentes, riaient. Enfin, vers l'heure de none, on vit au loin se tendre la - 16 - voile de pourpre ; la barque de l'Irlandais se détacha de l'île, et une clameur de détresse retentit : « Le Morholt

intervalles, planta dans ces intervalles des myrtes et des bruyères, arrosa les plantations nouvelles afin qu’elles semblassent anciennes ; 28 effaça les traces de ses pas amassées autour de cet endroit, et attendit avec impatience le retour de ses compagnons. En effet, il ne s’agissait plus maintenant de passer son temps à regarder cet or et ces diamants et à rester à Monte-Cristo comme un dragon surveillant d’inutiles trésors. Maintenant, il fallait retourner dans la vie, parmi les hommes, et prendre

Secret ? 12/03/2009 A040-P P Transgression 13/03/2009 A040-Q P Le Devoir 13/03/2009 A040-R P Etoile, Delta et Cartouche 23/03/2009 A040-S P La Balustrade 23/03/2009 A040-T P La Clé d'Ivoire 23/03/2009 A040-U P Le Tableau de Loge, l'Axe et la Spirale 25/03/2009 A040-V P Les Lieux de l'Elévation au REAA 26/03/2009 A040-W P Dire et Faire : des Mots à la Réalité 26/03/2009 A040-X P Le Doute 30/03/2009 A040-Y P La Musique Maçonnique 30/03/2009 A040-Z P Pavor

par des paroles outrageuses, s’enfoncèrent dans l’île. Nul ne vit l’âpre bataille ; mais, par trois fois, il sembla que la brise de mer portait au rivage un cri furieux. Alors, en signe de deuil, les femmes battaient leurs paumes en chœur, et les compagnons du Morholt, massés à l’écart devant leurs tentes, riaient. Enfin, vers l’heure de none, on vit au loin se tendre la voile de pourpre ; la barque de l’Irlandais se détacha de l’île, et une clameur de détresse retentit : « Le Morholt ! le Morholt