Tartuffe Acte 4 5

secondaire du bourgeois. Mais voilà qu’Arnolphe apprend qu’un jeune homme a passé de longs moments auprès d’elle pendant son absence. Il ignore toutefois jusqu’où la complicité entre ces derniers a pu aller. Il décide donc de questionner Agnès. ACTE II, SCÈNE 4 ARNOLPHE, riche bourgeois; AGNÈS, jeune fille élevée par Arnolphe; ALAIN, valet d’Arnolphe; GEORGETTE, servante d’Arnolphe. ARNOLPHE Un certain Grec disait à l’empereur Auguste, Comme [un conseil] utile autant que juste,[1] Que lorsqu’une

théâtre classique obéit à 5 règles d’écriture : 1) Respect des 3 unités ; « Qu’en un jour, qu’en un lieu, un seul fait accompli, tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. » 2) Règle de bienséance : oblige à ne représenter sur scène que ce qui ne choquera pas le public. On écarte la violence physique mais aussi l’intimité physique. Les scènes violentes doivent être racontées pas un personnage. 3) Absence de mélange des genres. 4) Vraisemblance : absence de merveilleux. 5) Imitation des anciens

ŒUVRE DE MOLIERE La jeunesse de Molière Fils de Jean Poquelin, riche marchand-tapissier établi rue Saint-Honoré à Paris, Jean Poquelin est baptisé le 15 janvier 1622 à la paroisse Saint-Eustache, vraisemblablement né le même jour ou la veille[4]. Deux ans plus tard, l'enfant, à la suite de la naissance d'un frère cadet également baptisé Jean, sera appelé Jean Baptiste. Sa mère, Marie Cressé, meurt en 1632 alors qu'il n'a que dix ans, son père se remarie avec Catherine Fleurette, autre fille

à partir de 1662, il a écrit des pièces plus sérieuses : ___- L'École des Femmes (1662), une critique de la société ___- Le Tartuffe (1664), une critique du genre humain ___- Dom Juan (1665), une critique de l'utilisation frauduleuse de la religion ___- Le Misanthrope (1666), une critique des libertins. Mais beaucoup de ses pièces sont censurées, comme Le Tartuffe qui se voit interdite par le roi sous la pression des dévots. Il est écœuré et finit par écrire à nouveau des comédies légères

littéraire et de lectures. Corpus: 1-La Princesse de Clèves, le portrait initial: rencontre avec le prince de Clèves 2-A Madame de Montespan, La Fontaine: Ouverture du Livre 7 des Fables. 3-Dom Juan, acte V scène 2 Eloge de l'hypocrisie 4-Tartuffe Acte 1 scène 1 présentation de Tartuffe 5-Le Colonel Chabert : dernière page : Derville blâme la vie parisienne 6-De l'esclavage des nègres. Montesquieu. 7-Candide chapitre 3 le faux éloge de la guerre 8-Dédicace des Fleurs du Mal à Th. Gautier

malgré lui » d'autres plus psychologiques et des pièces plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, comme Tartuffe en vers, et Dom Juan écrit en prose. Mais il n'a pas toujours été soutenu, en 1664 Molière voit Tartuffe interdit, pièce violemment condamné par les dévôts. Sous leur pression, Molère suspend les représentations et est forcé de remplacer Tartuffe en écrivant Dom Juan dans l'urgence . L'auteur réecrit l'histoire du libertin en s'inspirant de deux pièces français

aussi de le faire savoir au lecteur. Nous pouvons le voir dans l’œuvre « Tartuffe » écrit par Molière dans l’acte IV scènes 5 à 7 où Elmire va tout faire pour que Tartuffe avoue ses sentiments pour cette dernière tandis que son mari est présent et caché. La troisième possibilité est qu’une scène de témoin caché permet à l’un des personnages de se venger par des pièges. Dans « On en badine pas avec l’amour » de Musset, Acte III scène 6, où Perdican se venge de Camille pour une lettre qu’elle voulait

Dictionnaire de l'Académie Française, première édition (1694) 2. Analyse de l’œuvre Molière, Tartuffe ou l’Imposteur, 1669 I. Une œuvre censurée : 1) La critique du clergé, un discours révolutionnaire a- Tartuffe, un faux dévot Un dévot est un individu particulièrement attaché aux principes religieux et manifestant un zèle prononcé dans leur pratique. Tartuffe, en effectuant de nombreuses prières quotidiennes et ne perdant aucune occasion pour donner

effet, les mots d’ordre du classicisme sont la clarté, l’équilibre et l’harmonie. Molière publie donc Dom Juan dans un contexte favorable aux artistes, bien que ce soit après l’interdiction de représentation du Tartuffe. Ainsi, pour regagner la protection du roi, il publie cette comédie dont il est confiant qu’elle va plaire. II. La genèse de l’œuvre Molière est un comédien et dramaturge français, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin

humains. (p. 520) (4) Mais les réalités que Molière voulait montrer, ce n’était pas les particularités du costume, du geste ou de la démarche, le petit train des occupations journalières : c’étaient les dessous de l’âme, les motifs, les ressorts, les essences ; et il ne prenait des dehors que ce qui correspondait à ces dessous. Cet acte est introuvable aujourd'hui. On classe communément ses pièces en farces, comédies de mœurs et comédies de caractères. (p. 521) (5) ..Molière nous avertit