Tartuffe Séduction

constamment insatisfait de la femme, il n'est jamais assez satisfait de la femme qu'il possède, il lui en faut toujours d'autres. Il séduit les femmes, unes par unes, mais dès qu'il en séduit une, son désir de séduire est satisfait mais un autre désir de séduction apparaît. Le désir cherche, constamment, sans relâche et ne se satisfait jamais de la possession. L'objet, ici la femme, que rencontre Don Juan n'est jamais satisfaisante, il n'a jamais tout ce qu'il recherche en une seule femme, alors il séduit

belle personne…méritez d’être ». Introduction La scène 2 de l’acte II, Dom Juan nous montre ses techniques de séducteur face à la pauvre et naïve paysanne Charlotte. Il entreprend un véritable éloge pour s’emparer de son amour. Les étapes de la séduction • Aborde sa victime en lui posant des questions banales et rhétoriques = admiration. • Il la séduit, la charme : vocabulaire courtois, galant : « souffrez que le les baise ». • Il la complimente sur plusieurs points physiques : - tailles, yeux

critique don Juan champs lexicaux : → mariage (epousé , passion , mariage , épouseur ) → chasse (piège , attraper) don Juan est vu comme un chasseur de femme ligne 66 67 68 69 70 le mariage est le cote de l'engagement alors que la séduction est du cote du détournement hyperboles « véritable bête brute » → champ lexical des animaux antithèse : il s’intéresse a toute la gente féminine don Juan est un calculateur un manipulateur transition : sganarelle dresse le portrait

assistant à un divertissement. Le vocabulaire convoqué est celui du théâtre, du plaisir que procure le spectacle comique (« Trouvez-vous pas plaisant de voir quel personnage / A joué mon jaloux dans tout ce badinage? »). Pour Horace, l'entreprise de séduction est un jeu, Agnès n'est qu'un objet de conquête (ce qui correspond à la dégradation dans la comédie de l'idéal héroïque). c) Comment Horace explique-t-il les changements opérés dans Agnès ? Agnès va vers Horace en vertu d'une conscience personnelle

réactions et ses faiblesses. Il éprouve un réel désir de possession à des fins narcissiques propres. La perversion narcissique peut se caractériser par un processus pervers au sein d’un groupe comme dans le milieu de l'entreprise, par le biais d’une séduction narcissique. Ce mode de fonctionnement relève plutôt de la parole et utilise des manœuvres qui vont semer la confusion dans l'esprit de l'autre par le biais de la disqualification des émotions, pensées de la victime qui se retrouve enfermée dans

personnage arriviste, qui parvient, au long de ce roman d’apprentissage, à évoluer dans la société, sans autre talent que celui de savoir se servir des femmes. Cet extrait constitue la dernière page du livre : parti de rien, Georges Duroy, par la séduction des femmes, adonc franchi tous les échelons de la société et parvient à son triomphe final. Après avoir épousé Madeleine Forestier qui fait de lui un journaliste renommé, il pénètre dans les milieux mondains et financiers de la haute bourgeoisie

Suzanne. * La première femme dont on entend parler dans le roman est une prostituée, Rachel, rencontrée aux Folies-Bergère. C’est une femme facile qui n’apparaît pas beaucoup dans le roman. Elle est là pour montrer essentiellement le pouvoir de séduction de Georges Duroy .En effet elle se donne à lui, même pour un louis et même pour 10 francs. Elle n'aidera en rien Duroy. Au deuxième chapitre lorsque Duroy rencontre des femmes plus importantes et plus belles au dîner chez Forestier. Ce dîner marque

sensualité, le mouvement, la mort, l’instabilité, l’illusion, parcourent le texte et définissent les personnages, en particulier celui de Don Juan, qui regroupe en lui toutes ces caractéristiques. L’enjeu dramatique majeur de la pièce est d’ailleurs la séduction, amoureuse ou non que Don Juan exerce sur les personnages qui l’entourent afin de parvenir à ses fins. Il est donc intéressant d’étudier comment la mise en scène de Christian Schiaretti rend compte de la forte sensualité et du mouvement présents

représentée comme un objet de fantasmes, en particulier sexuels, stimulés par des allusions. La cible de la publicité est aussi bien les hommes que les femmes car l’imaginaire érotisé de la publicité est basée sur la dynamique du désir et de la séduction, qui fait interagir les deux sexes. Si on prend les pubs Aubade par exemple, elles s’adressent aussi bien aux hommes « si vous voulez que votre femme soit aussi belle et attirante que sur notre affiche, achetez lui des dessous Aubade »,

la façon de se comporter et de s'habiller, le langage et la mode donc, et, bien entendu la littérature. D'autre part, on fait de l'allusion aux salons, des lieux intellectuels par excellence, lieu de la discussion, de la connaissance, et de la séduction. Ces salons étaient le domaine particulier des femmes de la haute société parisienne et sont des caractéristiques du XVIIè et du XVIIIè siècle français. Une définition de la préciosité, `Agir avec affectation' signifie «le manque de naturalité