Tatou

Lors de ces cérémonies, les aborigènes réalisaient des danses spirituelles ainsi que des chants accompagnées d'instruments tel que le didgeridoo. Ces rites étaient pris très aux sérieux et demandais une longue préparation. Les participants étaient tatoués d'encres naturelles ou même recouvert d'argile. .Habillement Ce peuple possédait un style vestimentaire particulier, ils ne s'habillaient pas ou exceptionnellement lors des cérémonies. Ils fabriquaient des ornements tels que des colliers ou

caractères. Ils ont tous l'air de bien s'aimer .Ils font passer un entretiens de colocation a André , utilisation de la vidéo direct ils filme en caméra André et il est représenté sur le mur en direct , c'est une pièce assez comique (ex : son chien tatoué sur le bras mais ce n'ai pas un vraie tatouage c'est un dessin assez raté ) André répond au question donné et un moment il va y avoir comme une pose dès que Ninon va parler comme un coup de foudre entre Elle est André André va s'approcher d'elle

hommes et Asya ne peut lui dire qu'elle a déjà couché plusieurs fois et ternir l'image des jeunes Turques. Ainsi elles avaient un des trois tabou (le sexe, les hommes et les pères). Puis, elle arrivent au Café Kundera. La Petite Amie s'étant fait tatoué autour du nombril, Asya leur apprend l'ancienneté du tatouage, ses méfaits, infections, et la difficulté de s'en débarasser... Les amis d'Asya apprenent qu'Amy est arménienne. Lorsque le sujet du génocide prend place au sein de la conversation, le

dans ces wagons à bestiaux pendant quatre jours et quatre nuits ensuite nous sommes passés par ces endroits aux noms étranges Des noms polonais Là il y avait beaucoup de wagons à bestiaux. Ils étaient bourrés de monde Ils nous ont rasé Ils nous ont tatoué un matricule sur le bras Des flammes montaient vers le ciel – il y avait de la fumée PART III : AFTER THE WAR https://www.youtube.com/watch?v=Uhgr4HUykDI Ce mouvement représente le train de l’espoir retrouvé, lors de l’immigration de certains juifs

préface, Primo Levi déclare “qu'il lui semble inutile d'ajouter qu'aucun des faits n'y est inventé.” Etude des principaux thèmes du texte : La personnalité : On leur enlève leurs vêtements, puis c’est la tonte des cheveux et le rasage. On leur tatoue un numéro sur le bras. Puis on leur donne une tenue de déporté. L’horreur : Ils sont triés par sexe, âge et état de santé. Les femmes, les enfants et les vieillards partent pour les chambres à gaz. La nature humaine : Conditions inhumaines

une personne ayant commis une quelconque erreur ou même par plaisir, le soir ? Non, vraiment pas. Dans les camps de travail, peu de monde a survécu à l’abondance du travail, au froid et à la chaleur, à la faim et à la soif… Représentés par un numéro tatoué sur leur avant-bras, les prisonniers perdaient leur identité. Les médecins du camp se servaient des déportés pour faire des expériences et non pas pour les soigner. Ils les cousaient ensembles, les brulaient au phosphore, faisaient des opérations…

principe d’indisponibilité du corps humain, car la convention a pour objet le corps de la mère porteuse. (Art 16-7 code civil) Illicéité des conventions ayant pour objet une partie du corps humain : TGI de paris 3 juin 1969. Une jeune fille se faisait tatouer sur les fesses pour une convention passée avec un cinéaste. Le principe de dignité de la personne humaine : Ce principe touche tout ce qui porte atteinte à la décence, au genre humain, ce qui réduit la personne à l’état d’objet. Art 16 code civil

utilité, cela paraît incontestable. Cette production initialement ludique, repérable dans l’histoire de tous les peuples, est ce que l’on qualifie d’activité artistique... Que les femmes et les hommes aiment à se coiffer, se maquiller, se peindre, se tatouer, se vêtir, se parer montre suffisamment leur attrait spontané pour la beauté, attrait qu’ils manifestent d’abord dans le rapport esthétique qu’ils entretiennent à leur propre corps. Il ne semblerait donc pas absurde de dire que l’intérêt humain pour

la nuit” évoque le désespoir. -Les mots “Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres” expriment la lutte des victimes pour s’individualiser: les Hommes ont perdu leur identité.(En effet, les juifs étaient rasés et avaient un numéro tatoué sur leur bras pour être identifiés. -L’idée d’être couvert sous une ombre “ombre” (“Il ne reste qu’une ombre”), c’est aussi d’être soumis au mouvement d’un autre corps qui se meut indépendamment de notre volonté: ce corps qui agit est celui des Nazis

déchiraient la nuit de leurs ongles battants=On retrouve des traces d'ongles dans les wagons. Ils étaient des milliers,ils étaient vingt et cent= Renforcé,insiste sur le nombre. Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres=Ils étaient tatoués sur leurs avant-bras (numéros) pour perdre leur identités. Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés=Dans Mein Kampf (1923) et dans les lois de Nuremberg (1935). Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre=Ce ne sont plus des Hommes. Ils ne