Taureau de combat

dimensions immenses de Guernica correspondent à un problème de visibilité, la barbarie du bombardement du 26 avril doit être dénoncée efficacement selon Picasso. Au premier plan on peut voir de gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Les expressions

un renard futé Je suis la rose qui sent bon Je suis un chat habile Je suis un loup qui hurle Je suis le feu brûlant Je suis le vent transparent Je suis une girafe qui dépasse les étoiles Je suis le guépard bondissant Je suis le taureau aux longues cornes. AXEL Je suis la rose de la vie Je suis le chat qui miaule Je suis le vent de l’océan Je suis le canard dans la mare Je suis le chien qui aboie Je suis un arc –en-ciel Je suis le loup dans la nuit Je suis l’ours

1936 entre les républicains et les nationalistes dirigés par Franco (combat entre démocratie et dictature). Le 26 avril 1937, les bombardiers nazis (allemands), appelés par Franco détruisent la petite ville de Guernica. l’oeuvre de Picasso « Guernica » est la représentation d’une scène de ce massacre. Description (Dénotation ) : Au premier plan : [pic] De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une

mère hurle sa douleur. Ses narines et ses yeux ressemblent à des larmes. - Derrière la mère à l’enfant se dresse un taureau. Il rentre dans l’image de gauche à droite mais tourne la tête dans l’autre sens. Ses yeux de face fixent le spectateur, son profil attire le regard vers une queue enroulée, telle une spirale de fumée. - Sur un coin de table, à droite du taureau, un oiseau s’affole, dévoré par l’ombre. Ses ailes se détachent du corps, Son cou et sa tête sont tendus vers le plafond

douleur, la souffrance est la tristesse de la guerre d’Espagne. Le spectateur est attiré ainsi que les personnages vers la lumière car c’est le symbole du bien, le seul point « positif » du tableau. Explication des personnages: • Le taureau : Le taureau présent sur le tableau n'étant plus que l'avatar du Minotaure et son regard celui du monstre mythique qui a joui de son forfait. Cela représente aussi l’Espagne traditionnel (les toreros) et la brutalité des nationalistes. • Le cheval :

ressortir les personnages. La lumière divise la scène en deux parties (gauche et droite) Le regard est amené vers le ventre, plus clair du tableau. On peut ensuite remarquer que tous les personnages dirigent leurs regards vers la gauche (taureau). Le taureau regarde le spectateur. La lecture du tableau semble se faire de droite à gauche, à l'inverse du sens normal de lecture. Ce tableau est divisé en trois parties, le centre du tableau forme une pyramide . A la base de la pyramide, il y a la

conflit : - les républicains (la gauche) : le Front Populaire, les anarchistes… - les nationalistes (les conservateurs) menés par Franco: la droite, la Phalange (parti d’extrême droite, fasciste), les monarchistes, l’Eglise catholique… C’était un combat entre démocratie et dictature Cette guerre sanglante dura presque 3 ans, et se termina par la victoire des nationalistes, en avril 1939. Franco instaura une dictature militaire qui ne prit fin qu’à sa mort, en 1975. La Guerre Civile fit plus d’un

personnages et animaux : il y a une femme avec son enfant, un cheval blessé, un taureau, homme tenant une épée, une lampe à pétrole, un personnge dans le flammes... Au deuxième plan,on peut voire des portes,des vues extérieures, une colombe, des flammes... Le cheval blessé est la pièce maîtresse du tableau, car il est placé au centre . Le cheval symbolise le peuple sacrifié. Sa figure traduit la terreur du peuple Le taureau est le sybole de l'Espagne . Il représente la brutalité, la cruauté. Au mileu

traduit de son nom en lakota Tĥatĥanka Iyotĥanka ou Tatanka Yotanka qui signifie « bison mâle qui se roule dans la poussière[réf. nécessaire] ». En français, il peut se traduire par « Bison Assis » ou « Bison au repos » et non la mauvaise traduction "Taureau assis". Sitting Bull était cependant initialement nommé Ȟoká-Psíče (« Jumping Badger », blaireau bondissant), qui était un nom temporaire1, et reçut le nom de son père, Sitting Bull, quand il était adolescent. Le surnom d'Húŋkešni (« lent ») lui

guerrier mort gisant sous le cheval : C’est la victime innocente, la liberté assassinée. Le corps démembré et décapité témoigne de la violence et la brutalité du combat. Ses yeux renversés indiquent la mort. Il tient à la main une épée brisée, dérisoire pour lutter contre les bombes. Elle symbolise la défaite et l’inégalité du combat. (Les républicains étaient en effet moins équipés que les nationalistes). La fleur dans sa main représente peut-être un fragile espoir. La mère tenant son enfant