Taureau

Le tableau est composé de personnages démembrés et la peinture est en noir est blanc ce qui évoque la douleur de l'événement représenté. B) INVENTAIRE DE L'IMAGE Ce tableau est de l'art figuratif puisque que l'on peut y voir : 3 femmes, un taureau, un cheval, une femme portant son enfant mort,un fleur et une épée, une lance , une lampe, une bougie, un soldat mort et une colombe. 2°ANALYSE PLASTIQUE A) FORMAT FORME DU SUPPORT CADRE le tableau mesure 3,49cm × 7,76 cm et le support et une

l'aviation militaire moderne sur une population civile sans défense. Le chiffre donné par le gouvernement basque fait état de 1654 morts et de plus de 800 blessés. Présentation de l’œuvre : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. La Mère et l’enfant :

L’entre-deux-guerres P.Picasso Guernica Description globale : Les quatre parties correspondant aux groupes de personnages : Première partie à gauche, on peut y voir un enfant mort dans les bras de sa mère cela ce rapproche d’une autre image : la piéta, et le taureau symbolise la force brute et la cruauté. Deuxième partie à gauche, on peut y voir un cheval symbolisant le peuple sacrifié et une lampe symbolisant l’espoir. Deuxième partie à droite, on peut y voir deux femmes regardant dans la même trajectoire, celle

est de face et de profil a la foi. A gauche en haut nous avons le taureau. D’après PICASSO, le taureau symbolise la brutalité et l’obscurité dans la corrida. Il représente également la bravoure du peuple. Il est dressé derrière la mère de façon menaçante. Le spectateur peut avoir l’impression qu’il le fixe. Nous avons l’impression que sa queue est de la fumée. Le reste de son corps est beaucoup plus assombrit. A côté du taureau, nous avons l’oiseau sur le coin d’une table que l’on voit à peine

assassinée Derrière la femme et son enfant se trouve un taureau. Il est tout d'abord à travers la corrida, le symbole de l'Espagne. Mais on peut aussi l'assimiler à la créature mythique du Minotaure présente sur beaucoup de tableaux de Picasso. Le taureau semble impassible malgré le chaos autour de lui. Seules sa bouche et sa langue pointue lui donne une expression. Ses yeux semblent humains. Selon son symbolisme, le taureau représente la virilité, la brutalité et la cruauté. On peut donc

centrale du tableau est un cheval (ou une jument) horrifié dont le corps, recouvert de traits formant des lignes horizontales, est transpercé par une lance. À gauche, une femme porte son enfant mort et hurle de douleur. Derrière elle, se dresse un taureau. En bas, à gauche, un homme allongé avec les bras en croix tient une épée brisée. Seule minuscule trace d'espoir, on distingue une petite fleur presque effacée entre les pattes du cheval et l'épée cassée. À droite du tableau, trois femmes désarticulées

1. Contexte mythologique : Phèdre est "la fille de Minos et de Pasiphaé". Le dieu de la mer, Poséidon (que Racine appelle de son nom latin, Neptune), fait sortir des flots un superbe taureau blanc, que Minos refuse de sacrifier en l'honneur du dieu. Ce dernier punit alors Pasiphaé, en la rendant amoureuse du taureau. Un monstre, le Minotaure, naîtra de leur union, et sera tué par Thésée. 2. Le dénouement d'une tragédie classique : Une famille : Thésée - Phèdre  Hippolyte (fils de Thésée et d'une

Les formes géométriques, quant à elles, rappellent l'art primitif africain. Guernica est une composition allongée réunissant 7 personnages. Les personnages sont mis en évidence par une teinte plus claire que les décors. A droite se trouve un taureau devant lui une mère agenouillée avec son enfant mort. A gauche, on peut voir 3 femmes, la première lève les bras au ciel, prise dans les flammes, la seconde est une tête humaine avec un bras tenant une lampe à pétrole, la troisième est une femme qui

silhouette d’un cheval, dont les violentes contorsions traduisent une immense frayeur. Au sol, le corps écartelé d’un soldat : au bout du bras, détaché du corps, la main tient encore une épée et une fleur. A gauche, sous la tête menaçante d’un taureau, une femme crie désespérément en serrant dans ses bras le petit corps mort d’un enfant. A droite, une femme-fantôme semble faire irruption dans le tableau, brandissant une bougie. Une autre femme, en bas à droite, se lance en avant, toute tendue

commande du Gouvernement Républicain Espagnol. Elle est présentée au pavillon de l’Espagne de l’Exposition Internationale de Paris de 1937. Elle avait pour thème : « Les arts et techniques appliqués à la vie moderne ». Le tableau est composé d’un taureau, d’une mère et son enfant, d’un cheval, d’un guerrier coupé en deux, d’une femme transformée en torche, d’une autre femme qui tend une lampe, d’une troisième femme au corps allongée et d’un oiseau. Les objets du tableau sont une lance à la place de