Tchécoslovaquie

basculer vers le communisme. C’est donc en 1947 que l’on peut vraiment dire que l’on assiste à une bipolarisation du monde en deux blocs . Le « coup de Prague » en 1948, qui met à bas les quelques aspects démocratiques qui subsistaient en Tchécoslovaquie pour installer au pouvoir les communistes tchèques, montre la volonté de l’URSS d’avoir, dans les pays où est positionnée l’armée rouge, des régimes dirigés par des partis communistes locaux sous ses ordres. Les Etats-Unis et les pays de l’Europe

On trouve aussi d’autres pays liés aux Etats-Unis par divers traités comme le Pacte de Bagdad pour le Moyen Orient (Japon, Australie, Iran, Israël, Arabie saoudite) 2)Les Etats membres du bloc de l’Est avec URSS et Europe de l’est(Pologne, Tchécoslovaquie, Hongrie, Bulgarie ) mais aussi Nord Vietnam et Cuba depuis 1959. 3)mais tous les pays ne font pas partie de ces blocs (cas des pays du tiers monde, dits non alignés la Chine communiste se veut l’un des chefs de file de ce groupe tout comme la

- En RDA, une révolte de la population contre le système soviétique amène l’intervention des forces du pacte de Varsovie qui impose alors un retour à la normalisation. Des intervention des ce genres sont également visibles en Hongrie et en Tchécoslovaquie : « Printemps de Prague » 1968. Dès la fin de le deuxième guerre mondiale les deux nouvelles supers puissances que sont les Etats-Unis et l’URSS en cherchant à étendre leur hégémonie créent donc une rupture politique en Europe qui se matérialise

poétique, à travers des recueils publiés légalement : Fortunes (1942), État de Veille (1943). | |En février 1944, son réseau est victime d’une trahison. Arrêté, Desnos est déporté en Allemagne, puis en Tchécoslovaquie, au camp de Terezin. Il y meurt | |d’épuisement le 08 juin 1945, quelques jours après la libération du camp. | |

Gorbatchev ne veut pas supprimer le système mais le rendre plus puissant. L’URSS change donc de politique internationale. 3) La chute du rideau de fer Les populations vont profiter de cette nouvelle politique internationale de l’URSS (Pologne, Tchécoslovaquie, Hongrie…) : au cours d’élections libres les régimes des démocraties populaires tombent les un après les autres. Le mur de Berlin tombe donc en novembre 1989. 4) La disparition de l’URSS La Perestroïka et la Glasnost n’ont pas sauvées l’URSS

sur la sécurité collective et l’interdiction de la guerre (Pacte Briand-Kellogg) qui s’effrite (scepticisme US). Cette illusion d’ordre pacifique prend réellement fin lorsque Hitler, violant le traité de Versailles, occupe la Rhénanie, puis la Tchécoslovaquie et renforce sa situation lors du traité de Munich en 1938 avec la France, l’Italie et la Grande-Bretagne. De l’autre coté, Staline tire son épingle du jeu: l’Union soviétique devait s’assurer d’être toujours la dernière grande puissance à s’engager

les Soviétiques sur l’Allemagne, les Américains (Truman) expriment également leur inquiétude face au noyautage des communistes dans les gouvernements d’union nationale instaurés dans les pays d’Europe orientale libérés par l’Armée rouge tel que Tchécoslovaquie, Bulgarie, Roumanie, Pologne et Hongrie. En même temps, les dirigeants de Washington expriment leur plus grande réserve face aux gouvernements instaurés par Tito en Yougoslavie, et par Enver Hodja en Albanie. Hodja – 1944 prend la tête

une « Confédération européenne », une sorte d'association des États d'Europe centrale et orientale et de l'URSS avec la CEE. C'est une manière de faire écho au projet de « Maison commune » de Gorbatchev. Le projet, par la suite monté avec la Tchécoslovaquie, partait du principe que les États d'Europe centrale resteraient liés à l'URSS d'une manière ou d'une autre et qu'ils n'adopteraient pas pleinement l'économie de marché. Ces deux présupposés se sont révélés faux et le projet a butté sur deux écueils :

les Britanniques prônent une politique d’apaisement. A Munich, en septembre, l’Angleterre, la France, l’Italie et l’Allemagne reconnaissent l’annexion, c’est-à-dire la prise, des Sudètes par l’Allemagne et par conséquent, le démembrement de la Tchécoslovaquie qui était pourtant l’alliée de la France. Les accords de Munich se font au nom de la recherche de la paix et l’Allemagne promet en échange de ne pas aller plus loin (dans la conquête des territoires). Le sentiment des français à ce moment fut

multiples et contrôlées (1948 - 1962) A) l'Europe au coeur des tensions : coup de Prague et Blocus de Berlin Ouest 1) le coup de Prague Prague va basculer brutalement en dévoilant la tactique soviétique aux yeux du monde. Jusqu'en 1948 en Tchécoslovaquie subsiste un certain pluralisme (communistes, sociaux démocrates, libéraux) cette exception est due au fait que le PC était un parti fort et sans avoir été imposé par la force mais le fait que subsiste un pluralisme est inadmissible pour Staline