Tchécoslovaquie

faciliter la propagation du communisme. Le plan Marshall leur permet donc en proposant leur aide de poursuivre leur objectif politique. Le plan Marshall a été rejeté par l’union soviétique et les pays du futur bloc de l’est. La Pologne et la Tchécoslovaquie qui dans un premier temps avaient accepté l’aide du plan Marshall, doivent renoncer suite au pression du Kremlin (de l’URSS). Jdanov, grand maître de l’idéologie du parti communiste soviétique dénonce la plan Marshall. Pour lutter contre ce

Les premières crises est/ouest : - 1ère crise de Berlin en 1948-1949 (blocus soviétique pour récupérer Berlin-Ouest mais détermination des EU et sauvetage de Berlin-ouest grâce à un pont aérien).- Coup de Prague en 1948 qui fait basculer la Tchécoslovaquie dans le bloc Est. Le coup de Prague fait peur à l’ouest et renforce la coopération des Européens entre eux. 3) Un monde bipolaire (années 5o) . L’Europe est coupée en deux parties qui ne communiquent plus. Cette coupure passe par l’Allemagne

Coup de Prague en Tchécoslovaquie (prise de pouvoir par les communistes) - 1950-1953 : Guerre de Corée (Corée du Sud pro-américaine, Corée du Nord pro-soviétique) - résultat nul (frontière inchangée) - 1956 : chars russes à Budapest (Hongrie) pour y briser une révolte. - 1962 : Crise de Cuba (fusées soviétiques sur le territoire cubain - le monde au bord de la 3e GM - l’U.R.S.S. cède) - 1968 : « printemps de Prague » - les chars russes pénètrent en Tchécoslovaquie pour y briser une

neutralisme né à Bandung (1955) confirmé à Belgrade (1961) qui répond aux aspirations d’une voie différente des pays récemment décolonisés - Les distances prises par certains partenaires des deux superpuissance (la Chine ou la Roumanie, voire la Tchécoslovaquie du côté soviétique, la France et plus largement ses alliés opposés à l’intervention au Vietnam, du côté américain) - La multiplication des conflits périphériques (indépendance du Bangladesh en 1971, implosion de la péninsule indochinoise après

neutralisme né à Bandung (1955) confirmé à Belgrade (1961) qui répond aux aspirations d¶une voie différente des pays récemment décolonisés - Les distances prises par certains partenaires des deux superpuissance (la Chine ou la Roumanie, voire la Tchécoslovaquie du côté soviétique, la France et plus largement ses alliés opposés à l¶intervention au Vietnam, du côté américain) - La multiplication des conflits périphériques (indépendance du Bangladesh en 1971, implosion de la péninsule indochinoise après

Renversement de Khroutchev par Leonid Brejnev en 1964 C. Le bloc socialiste est fragilisé par les échecs économiques et par la déstalinisation Des facteurs de crise autant économiques que politiques * Flambées de révolte après mort de Staline : Tchécoslovaquie, RDA. Frustrations sociales * Nagy, imposé par Malenkov comme chef du gouvernement hongrois en 1953 à la place de Rákosi, est écarté en 1955 au moment de la disgrâce de son protecteur à Moscou * Voyage de Khroutchev à Belgrade en 1955

qui sont pour Staline les régimes occidentaux. Dans ces démocraties populaires, on retrouve tout le bloc de l'Est c'est-à-dire la Pologne, l'Albanie, l'Allemagne de l'Est (qui devient la RDA en 1948), la Bulgarie, la Roumanie, la Hongrie, la Tchécoslovaquie et la Yougoslavie. Ainsi, on peut légitimement se demander sous quelle forme l'influence soviétique s'opérait dans ces démocraties populaires, quels furent leurs rôles durant la Guerre Froide et comment ont évolué les relations entre les pays

neutralisme né à Bandung (1955) confirmé à Belgrade (1961) qui répond aux aspirations d’une voie différente des pays récemment décolonisés - Les distances prises par certains partenaires des deux superpuissance (la Chine ou la Roumanie, voire la Tchécoslovaquie du côté soviétique, la France et plus largement ses alliés opposés à l’intervention au Vietnam, du côté américain)
 - La multiplication des conflits périphériques (indépendance du Bangladesh en 1971, implosion de la péninsule indochinoise après

force armée capable de faire respecter les décisions de la SDN, une fois celles-ci votées à l’unanimité. 2- Les différences d’objectifs On a d’un côté les partisans de l’application des traités (France et Etats nés des traités : Pologne, Tchécoslovaquie, mais aussi Yougoslavie et Roumanie. De l’autre on a les révisionnistes : les Etats vaincus (Turquie, Italie Allemagne) mais aussi certains des vainqueurs. Il y a donc des coups de force opérés par les et les autres entre 1920 et 1921 auxquels

successivement la Pologne, la Hongrie, la RDA, la Tchécoslovaquie puis la Roumanie à proclamer la démocratie. C’est en Hongrie que l’on peut observer tout d’abord les conséquences de ces manifestations. Le 2 Mai 1989, sous la pression de la population, le gouvernement ouvre la frontière. La Hongrie devient dès lors un point de passage important des habitants de l’Est vers l’Ouest. Cet évènement encourage les autres pays à en faire de même comme la Tchécoslovaquie qui va connaître des grèves nationales et