Tchétchène

power. Hard= puissance militaire SOFT= capacité d’influence d’un états Cependant l’enlargement se heurte a la réalité des relations internationales (Les Etats-Unis ce rapproche de la Chine et n’interviennent pas dans le conflits russo-tchetchène). Les états unis n’accepte pas les accords de Kyoto en 1997 et n’adhère pas à la cour pénale internationale. C) La vision sécuritaire du monde de George Walker BUSH. Le président George BUSH et son entourage sont favorables à l’expression

seule fois entre 1940 et 1944). Dans l’immédiat après-guerre, d’autres signes illustrent cette situation : outre les déportations politiques déjà évoquées, l’ordre policier est renforcé et les déplacements des peuples Kamoulks, Balkars, Ingouches, Tchétchènes etc., se poursuivent (ils seront d’ailleurs rendus définitifs par un décret de 1948). En effet, l’épuisement du pays n’empêche pas qu’il se soit étendu vers l’ouest. En outre et surtout, l’URSS est reconnue comme l’une des grandes puissances

Suisse, Luxembourg. (foyers d’accueils) Flux d’informations = internet … 4) Les flux illégaux Drogues, armes, enfants, voitures volées. Ces flux sont menés par les mafias du sud (Colombienne, marocaine) ou est européen (Albanais, Russes, Tchétchènes). Mafia Thaïlandaise pour les enfants En Russie on vend des enfants Plaque tournante du commerce illégal, triangle d’or en Asie (Thaïlande, Laos), Afrique : trafic d’armes => zones à risques ou à économie parallèles. II] Causes : comprendre

approvisionnements: l’Inde et la Chine ont récemment signé des accords concernant l’énergie, il existe aujourd’hui une coopération nucléaire entre l’Iran et la Russie, une bonne entente règne encore entre l’occident et la Russie malgré le conflit Tchétchène, la construction d’un gazoduc transbaltique vers l’Europe de l’Ouest a été décidée… La volonté de sécuriser ses approvisionnements en énergie entraîne parfois des conflits. C’est le cas, par exemple, lorsque certains pays veulent se procurer de

la période citée, qui correspondait de surcroît aux fêtes de fin d’année, un nombre très élevé d’étrangers est arrivé à Roissy en l’espace de plusieurs jours. La grande majorité d’entre eux était des ressortissants somaliens ou russes d’origine tchétchène cherchant à rester en France. Très rapidement, la ZAPI 3 a atteint son taux d’occupation maximal. Les autorités françaises ont donc décidé de maintenir ces étrangers d’abord dans les différents postes de police de l’aérogare, puis dans la salle

vaste et autonome ð 82 % de russes à dominante orthodoxes mais 120 minorités à dominante musulmane représentant 18 % de la population soit 27 millions d’habitants § Une localisation dans des zones souvent stratégiques : ú Confins caucasiens : Tchétchènes, Ingouches, Ossètes… ú Régions de la basse Volga ú Axe du transsibérien § Possibilités de replis communautaires et religieux § Menaces de sécession, notamment dans les régions portant le nom d’un peuple

grandissant et de la fin de toute liberté d'expression (contrôle des chaînes de télévision privées par l’Etat). La lutte contre les indépendantistes tchétchènes entraîne en 1999-2000 une seconde guerre particulièrement meurtrière et de très graves atteintes aux droits de l’homme. Depuis le conflit reste perlé avec occupation de l’armée russe et terrorisme tchétchène persistant. Une telle situation intérieure rend difficile toute politique extérieure indépendante et toute présence internationale digne de ce

des opinions souvent divergentes sur des questions de politiques étrangères, la Russie semble bénéficier, si l’on peut dire, d’un traitement de faveur de la part de l’Union Européenne. Ne serait-ce que lorsque de conflit interne tel que le conflit tchétchène, ou même sur des questions plus basiques tel que la démocratie, l’absence de condamnation ferme de la part de la communauté internationale traduit une réelle faiblesse de part la nécessité de s’assurer des relations amiables avec la Russie.

30 millions de personnes déplacées se croisent sur les routes d’Europe. Pendant la guerre = exode de civils devant l’ennemie, expulsion de pop entières, déportations massives (en Allemagne, mais aussi en URSS où Staline déporte massivement les tchétchènes). Après la guerre = Plus de 10 millions d’Allemands, expulsés ou fuyant l’armé Rouge refluent vers l’Ouest (leurs pays). Tandis que les millions de travailleurs forcés et les prisonniers de guerre peuvent quitter l’Allemagne et rentrer chez eux

d’exemples illustre ce propos : Comment classer un Français dont un de ses parents est algérien et l’autre français ? Doit-on faire des quotas pour les immigrés les plus nombreux (Portugais, Espagnols) ? Ou classer les minorités les moins nombreuses (Tchétchènes, Brésiliens…..) ? Que faire des populations se sentant exclues (Corses, Basques, voire Alsaciens) ? Que faire d’un Français « blanc » converti à l’Islam et se sentant exclu de ce fait ? A quel degré de générations après l’arrivée sur le sol national