Tel Haï

manteau, et déguisant sa voix. Venez, ce n'est pas là que je vous logerai, Et votre gîte ailleurs est par moi préparé. Je prétends en lieu sûr mettre votre personne. (Se faisant connaître.) Me connaissez-vous? AGNES, le reconnaissant. Hai! ARNOLPHE Mon visage, friponne, Dans cette occasion rend vos sens effrayés, Et c'est à contre-coeur qu'ici vous me voyez; Je trouble en ses projets l'amour qui vous possède. (Agnès regarde si elle ne verra point Horace.) N'appelez point

aucune expérience du monde confond une huître avec un met ; lorsqu'il s'approche l'huître se referme sur lui. Que ceux qui n'ont du monde aucune expérience  Sont, aux moindres objets, frappés d'étonnement.  Et puis nous y pouvons apprendre  Que tel est pris qui croyait prendre.  L'Ours et l'Amateur des jardins Un ours maladroit casse le visage de son ami humain en voulait faire partir une mouche posée sur son nez. Rien n'est si dangereux qu'un ignorant ami;  Mieux vaudrait un sage ennemi

vocabulaire qu'il utilise : « Ces doux êtres pensifs... » , « ange... », « âge tendre », « La beauté sur les fronts... » désignant l'enfant insouciant. Ensuite, pour exprimer son désaccord, Victor Hugo utilise des expressions fortes : « qui tue », « haï des mères », « brise la jeunesse en fleur ! ». D'autre part, il pense aux conséquences que peut entraîner ce travail injuste illustré par une sorte d'oxymore : « travail.../ qui ferait.../ D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! ». Après les conséquences

de temps qui raffermissent la sombre idée qu’est le travail « éternellement, même mouvement ; quinze heures sous des meules ». Le travail est donc dur, pénible, répétitif et monotone.Victor Hugo utilise des verbes forts pour exprimer son désaccord « haï des mères ; qui tue ». Il pense aux conséquences que peut entraîner ce travail injuste « et qui ferait d’Apollon un bossu et de Voltaire un crétin ! » de façon à montrer le ridicule de l’erreur que commettent les adultes envers les enfants. Il insiste

temps qui raffermissent la sombre idée qu’est le travail « éternellement, même mouvement ; quinze heures sous des meules ». Le travail est donc dur, pénible, répétitif et monotone. Victor Hugo utilise des verbes forts pour exprimer son désaccord « haï des mères ; qui tue ». Il pense aux conséquences que peut entraîner ce travail injuste « et qui ferait d’Apollon un bossu et de Voltaire un crétin ! » de façon à montrer le ridicule de l’erreur que commettent les adultes envers les enfants. Il insiste

du bien et du mal, Machiavel fait une distinction éclairante au CHAP 8 entre deux usages de la cruauté : il estime qu’il y a une définition arbitraire, non historique du vice et de la vertu. Cette distinction vient du constat que certains scélérats tel qu’Agathocle (roi du Syracuse en 304 Av JC) se sont maintenus au pouvoir durablement. Selon Machiavel, le bon usage des cruautés implique 3 règles : 1) Elles ne doivent pas s’étaler dans le temps 2) le recours aux cruautés doit être uniquement dicté

De la libéralité et de l’avarice 2.18 XVII. De la cruauté et de la clémence, et s’il vaut mieux être aimé que craint 2.19 XVIII. Comment les princes doivent tenir leur parole 2.20 XIX. Qu’il faut éviter d’être méprisé et haï 2.21 XX. Si les forteresses, et plusieurs autres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles 2.22 XXI. Comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation 2.23 XXII. Des secrétaires des

temps qui raffermissent la sombre idée qu’est le travail « éternellement, même mouvement ; quinze heures sous des meules ». Le travail est donc dur, pénible, répétitif et monotone. Victor Hugo utilise des verbes forts pour exprimer son désaccord « haï des mères ; qui tue ». Il pense aux conséquences que peut entraîner ce travail injuste « et qui ferait d’Apollon un bossu et de Voltaire un crétin ! » de façon à montrer le ridicule de l’erreur que commettent les adultes envers les enfants. Il insiste

ton propre éloge avant d’avoir vaincu ? - Mais, Socrate, ce n’est pas pour moi que je compose et que je chante. - Du moins, lui répondis-je, tu ne le crois pas. - Qu’est-ce à dire, Socrate ? - C’est que, lui dis-je, si tu es heureux dans de 3 telles amours, ces vers et ces chants seront à ton honneur, c’est-à-dire à la louange de l’amant qui aura eu le bonheur de remporter une si belle victoire. Mais si ton bien-aimé t’ abandonne, plus tu l’auras vanté et plus tu auras célébré ses grandes et

qu’est le travail : → « Éternellement » « Même mouvement » « Quinze heures sous des meules » → Travail dur, pénible, répétitif, monotone. - Emplois de verbes forts pour exprimer le désaccord de l’auteur : → « Haï des mères » « Qui tue » - L’auteur pense aux conséquences de ce travail injuste → « Et qui ferait d’Apollon un bossu et de Voltaire un crétin ! » Cela montre le ridicule de l’erreur commise par les adultes envers les enfants