Tellement proches

fort entre les protagonistes. Il est possible de voir que Fleurette et Joseph ont des liens très puissants l’un envers l’autre lorsqu’elle le réprimande : «Dors. Dors quand même. T’as tellement l’air fatigué. T’as tellement l’air malade. Faut pas que tu boives comme ça…» (p.128). L’utilisation de l’anaphore «t’as tellement l’air» met l’accent sur son inquiétude par rapport à son frère. Le reproche à son égard souligne ses préoccupations envers la santé de ce dernier. Il y a aussi, Armand, qui est tout

l’esprit des hommes. Des choses non-courantes sont présentes dans les pièces telles que la lumière présente tout le temps (« on ne peut pas éteindre »). Ajouté à cela l’incapacité de dormir (« le sommeil s’envole ») et vous obtiendrais un contexte proche d’une certaine torture psychologique qui s’apparente donc à un certain enfer original. En troisième lieu, dans cette enfer il existe des bourreaux, bien sûr ces bourreaux ne sont pas comme on les imagine c’est-à-dire avec un masque ou des démons

comprendre le problème choisi nous allons vous mettre dans une situation : Demain matin, vous avez une rencontre très tôt le matin avec votre patron et il déteste les gens qui sont en retard donc tu met en marche ton réveille-matin et tu t’endors. Tellement que tu étais fatigué, tu n’a pas pu entendre ton réveille car il était trop loin donc tu ne l’a malheureusement pas entendu. Eh bien notre chindogu peut aider puisqu’il s’agit d’un oreiller réveille-matin c’est-à-dire un réveille matin dans un oreiller

Momo cet enfant de 10 ans est le narrateur du récit : le ton donné est donc très proche de celui des adolescents d'aujourd'hui, et c'est pour cette raison que j'ai pris plaisir à le lire. Le roman aborde les thèmes de la vieillesse et de la mort à travers le regard de Momo. Le personnage central est Mme Rosa, c'est autour de ses angoisses et de son inéluctable destin que s'articule ce récit. Momo assiste impuissant à la destruction , à la lente agonie, au temps qui passe inexorablement. D'ailleurs

avaient invité deux amis de Washington, à table ça faisait que signer, à la fin j’en ai eu tellement marre que je suis grimpée sur la table et je me suis mise à crier, pleurer dans le but d’attirer l’attention. Puis ma soeur a commencé à m’apprendre cette langue, celle où on parle avec les mains par exemple “Marie” en language des signes se dit les mains jointes sur la poitrine . Nous sommes devenues très proches, j’étais sa confidente. Je grandis et le language des signes fut ma deuxième langue. J’étais

Grizzly Man Le film grizzly man est un documentaire animalier réalisé par Werner Herzog. Ce documentaire est sorti le 7 décembre 2005. L’acteur principal est donc Timothy Treadwell, il est accompagné par les témoignages des personnes les plus proches de Timothy et d’un médecin légiste. On peut distinguer deux types d’images du film. Il y a celui du réalisateur et celui des scènes extrait des 100 heures de prise de vue tournées par Timothy. Le sujet de ce film est la passion de Timothy pour

amputation en 2003 ) et porteur d’une iléocolostomie.     Description  de  la  situation ​ :  Depuis  son retour de  l'hôpital, Mr  M est renfermé sur  lui  même,  il  refuse  de  se  nourrir,  de  communiquer,  même  avec  le  personnel  avec  qui  il  était  proche. Il souhaite  rester  dans sa chambre dans l’ombre,  seul.  Lors  de  la tournée  de  médicaments  du  matin,  l’infirmière  m’explique  concrètement  le  cas  de  Mr  M  et  m’annonce  que  l'hôpital à détecté  la présence  de  métastases  hépatiques

matière. Je n’avais rien contre les instituteurs en particulier, mais cette dame m’ignorait complètement. Elle ne connaissait même pas mon nom. Cela en résultait que les élèves se moquaient continuellement de moi. Personne dans ce lycée ne m’était proche, je n’avais aucun ami, ce qui m’attristait profondément. Enfin, les trois longues heures de cours se sont estompées. Il est maintenant dix heures, l’heure de la pose. Je gardais en tête ce que j’allais faire cette après-midi. Tout en prenant une

femmes = amantes du poète + Noms d'homme = amis/artistesChamp lexical de la mort : meurent / poignardées / âme / morts + plus le jeux sur les sonorités dans le vers : « Le soir tombe O sanglante mer » = on entend le mot « tombeau » → le poète parle de proches qui sont morts et leur édifie un tombeau pour leur rendre hommage.2) Des souvenirs de destruction - à la guerre / se battent + « saigne abondamment le laurier rose fleur guerrière »= personnification de la plante (laurier rose) qui devient un

fait beau. Les rayons du soleil qui passent par la fenêtre embrassent mon corps. La chaleur matinale me rappel de doux et lointains souvenirs. Au loin, j'aperçois une enfant dans les bras de son père. Papa aussi me prenait dans ses bras. Nous étions proche avant. Je me souviens encore de nos après-midis passés à rire au gré du vent. De nos nombreuses matinées à observer les oiseaux voler, se nourrir, être libre. Ils étaient beaux et de ma fenêtre, je les voient toujours, ils sont encore plus beaux et