Tenaille

chaque fois qu'il(elle) n'était avec celles-ci plus que dans le congé de l'après-midi jeudi, dans le moment qu'ils(elles) nous permettaient de dédier à écrire à la famille ou aux jeux de table. Un espace(pause) que d'avance le père Laurentino et la Tenaille(Pincette) ont révisé ces livres avec beaucoup d'attention, mais ils(elles) n'ont pas probablement trouvé dans ceux-ci tout à fait inconvenant, parce que c'était des livres avec beaucoup de dessins intercalés qui semblaient adéquats pour que les garçons

confirme dans son matérialisme - la mort, c’est avant tout l’arrêt des fonctions physiologiques - et son cynisme - Madeleine est de nouveau une cible potentielle de Bel-Ami - mais nous révèle aussi sa faille : c’est la peur de la mort, de la fin, qui le tenaille, le pousse dans son ambition, dans son appétit de possession, sentiment que l’on retrouve d’ailleurs dans la scène du duel.

entreprend de faire assassiner tout ceux dont il estime qu’ils pourraient le lui ravir. L’essentiel de la tragédie montre comment Macbeth et Lady Macbeth sombrent progressivement dans la folie, lui obsédé par la crainte de perdre sa couronne et tenaillé par le remords des crimes commis, elle ne parvenant pas à oublier le sang s’écoulant des plaies mortelles du roi Duncan. « Et pourtant qui aurait pensé que le vieil homme avait en lui tant de sang ? » — Acte V, scène 1 Les personnages Duncan

arrondie afin de repousser les chairs sans les léser, afin que le supplice dure le plus longtemps possible. Le bouc des sorcières : C’est le même principe que le supplice du pal sauf que ça donnait la mort directement. L’écartèlement : Après avoir tenaillé la victime au gras des jambes, des bras et des mamelles on versait sur ces plaies ouvertes du plomb fondu, de la poix mêlée de cire et de résine enflammées, et de l'huile bouillante. Puis on brûlait la main droite au souffre avant de la couper, et

menaces intérieures et exterieures. Ils devaient, en oûtre, surveiller les mouvements des 4000 hommes qui s'étaient rassemblés au sud de la capitale polonaise. Si ils venaient à rejoindre les rangs d'un autre soulèvement polonais, ou à prendre en tenaille une de nos armées, alors 10 000 de nos hommes de Varsovie auraient alors ordre de les intercepter. Au nord, en Lituanie, le travail de pacification des soldats Russes a été efficace, et seulement 3 000 miliciens se sont révoltés. Rejoignant 1000

C’est alors bien une marque de correction car il a le temps d’agoniser pour pouvoir expier ses fautes passées. La seconde anecdote montre ici toute la barbarie d’un père qui n’hésite pas à casser les jambes de son fils «  avec des tenailles » ( ligne 10). Les tenailles font référence à un instrument qui fait partie de la panoplie des objets de torture des bourreaux au Moyen-âge. De plus, ce père fait intervenir un chirurgien pour que son fils soit définitivement handicapé et qu’il ne puisse plus

et tous ses chemins pris ; Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante, Du chien le plus hardi la gorge pantelante Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer, Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles, Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles, Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé, Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé. Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde. Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à

Ainsi, dans cet extrait de Bel-Ami, nous découvrons,l’essence même de Duroy. La mort, c’est l' opposition de l' eternite, c'est la fin, mais aussi Madeleine nous révèle aussi sa faille : c’est la peur de la mort, de la fin, qui le tenaille, le pousse dans son ambition, sentiment que l’on retrouve d’ailleurs dans la scène du duel. Enfin, nous verrons que Georges Duroy se montre impressionné et séduit par Madeleine, il se met à rêver la conquete.

l’errance du père puis son échec. * L’échec de la quête, qui l’a amené au magicien. Au vers 44, le père avoue son échec : « et pas un d’eux n’a pu soulager mon ennui ». Le bouleversement psychologique du personnage : * Ce personnage est tenaillé parla souffrance, le remord. On observe en effet le champ lexical de la faute aux vers 29 et 32, celui de la souffrance aux vers 37 et 44, ainsi que celui de l’affection aux vers 21 et 31. * Ce personnage est désabusé car selon lui, la gaie

tous ses chemins pris; Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante, Du chien le plus hardi la gorge pantelante
 Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer, Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
 Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles, Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles, 
 Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé, Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
 Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
 Les couteaux lui restaient au flanc