Tercet

« Silvandre » (vers 6). Quant à l’action, elle est réduite à quelques éléments qui suivent la structure du sonnet : dans le premier quatrain, le berger se plaint à sa belle qui lui répond dans le second quatrain par une déclaration d’amour ; dans le premier tercet, le berger aurait pu s’estimer « le plus heureux du monde » (vers 11), mais les serments écrits sur « l’onde » à partir d’une base de « sable » (vers 13) démasquent la jeune femme. Tous les éléments sont donc réunis pour nous conter une courte histoire

mouvements principaux. En effet, nous analyserons dans le premier mouvement qui regroupe les deux quatrains de ce sonnet une vision de la guerre dans toute sa violence destructrice et méprisante pour les hommes. Puis nous nous pencherons sur les tercets dans lesquels le poète dénonce la religion : l’indifférence de Dieu aux souffrances des hommes, la vénalité des prêtres. LECTURE ANNALYSE LINEAIRE Rappel du plan  Dans sa brièveté et sa généralité, le titre du poème est à première

restera avec elle jusqu’à sa mort. C’est un des 4 sonnets réguliers du recueil. L’idée est dans le titre. Parfum de la peau de la femme métisse → déroulement du rêve, bonheur. Rêves d’îles, pays tropicaux. Il est construit en 2 quatrains et en 2 tercets. Rimes embrassées. Il suit un voyage dans le rêve : il y a une progression. Le poème est construit en 2 parties, on le remarque grâce à la ponctuation. Plan: I.Les circonstance de la rêverie II.La description de l’île III.Vision du port

politique, CONTRE LA GUERRE -Indifférence de Dieu face à la guerre ? I. Organisation du poème a) Composition -4§ : 2 quatrains + 2 tercets = sonnet ; alexandrins -Rimes /=/ conventionnels : rimes croisées (dans quatrains), distiques en rimes plates (dans tercets) b) Structure syntaxique -Une seule phrase (quatrains : proposition circonstancielle de temps puis incidente ; tercets : proposition principale [puis relatives] -Subordonnées (quatrains) : anaphore de conjonction (« Tandis que » v.1), reprise de

singulier), ainsi qu'une structure attributive ; et les deux tercets exposent l'exemple (ces tercets évoquent les parfums et les sens : touché, ouïe, odorat, goût et vue). L'unité des tercets vient essentiellement de l'unité thématique (les tercets sont en fait l'exemple), dans lesquels une comparaison est faite (tout est comparé au parfum ; les correspondances naissent des sensations olfactives) ; de l'unité syntaxique, car les tercets ne forment qu'une seule phrase et pour finir de l'unité phonatoire

Marie à la fin du poème. I) La jeunesse et la beauté de la femme : A) Structure de la comparaison: Le poème file une comparaison entre la femme et la rose : Deux parties (la structure du sonnet : 2 tercets doivent introduire une rupture aux quatrains) : "Comme ...", "Ainsi ..." : dans les deux premiers quatrains, Ronsard décrit le destin beau et triste de la rose en la mettant en valeur dans le premier vers avec un champ lexical mélioratif « belle jeunesse »

qui suivent le découpage en strophes : le premier quatrain se construit autour de la métamorphose de Zeus en pluie d'or pour Danaé, le deuxième autour du mythe de l'enlèvement d'Europe par Zeus en taureau, le premier tercet illustre Narcisse et son reflet et enfin, le dernier tercet offre une représentation de la nuit et du jour par la déesse Aurore. À chaque strophe correspond un mythe antique mais aussi une étape dans le désir amoureux du poète. Tout d'abord nous remarquons

classique en (abab) ou en (abba), les tercets présentent une organisation plus problématique, il est même difficile dans certains cas de parler de « tercets » car ils ne fonctionnent pas toujours par paires. Même s'il serait laborieux de proposer une typologie des sonnets des Fleurs du Mal selon leurs rimes, car chacun demande à être interprété à la lueur de l'interprétation du lecteur, il est toutefois possible d'affirmer que les quatrains et les tercets sont indépendants, d'abord rimiquement mais

reprise), puis par une incidente ; les tercets, par la proposition principale (suivie d’une cascade de propositions relatives). Dans les subordonnées (quatrains), l'anaphore de la conjonction de subordination Tandis que (v. 1, 5), la reprise de la conjonction par Que (v. 3), ainsi que la coordination Et (v. 6) entraînent la présence de quatre verbes (Sifflent... Croulent... broie... fait), noyaux de subordonnées de temps. Dans la seconde partie de la phrase (tercets), la brève proposition principale -

par l'extérieur du buffet dans le premier quatrain avec des termes évoquant l'extérieur : « large », « chaîne », « sculpté », puis en décrivant le contenu dans le deuxième quatrain et le premier tercet avec deux énumérations. Le deuxième quatrain comporte une anaphore de « de » et le premier tercet comporte une anaphore de « les ». Rimbaud commence la description de manière neutre et détaché avec l'article indéfini « on » puis dès le vers trois utilise l'article défini « le » comme si le meuble