Térence

harmonieuses, dans lesquelles forme et contenu se fondent en une parfaite unité. Les grands auteurs de l’époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s’inspirent des Grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Ésope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. La Bruyère s’inquiète, à la première page des Caractères, que tout soit dit : « En ce qui concerne les mœurs, le plus beau et le meilleur est enlevé ; l’on ne fait que glaner après les Anciens et les habiles d’entre les

différentes avenues, d'un commun idéal de perfection ». 3. Auteur classique : Les grands auteurs de l'époque, tels que Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s'inspirent des Grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Ésope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. Le culte des Anciens s’intensifie par le souci d'instruire et de plaire. Pour accéder à cet idéal, il faut remplir certaines conditions que les théoriciens définissent : l'art s'apprend et se maîtrise et une œuvre

grec Andronikos de donner les premiers ludi scaenici (jeux scéniques) et lui demandent de traduire en latin des pièces de théâtre grecques, faisant ainsi naître officiellement le théâtre romain. Ensuite seulement, différents auteurs comme Plaute, Térence et Sénèque écriront des pièces originales mais fortement inspirées des mythes et des pièces grecques. Au départ, les nobles romains ne veulent pas d'un théâtre dans Rome car ils pensent que le peuple utilisera les édifices pour des débats politiques

homme il le devient. » Erasme « L'homme n'est pas mort : ni comme espèce, ni comme idée, ni comme idéal. Mais il est mortel ; et c'est une raison de plus pour le défendre » André Comte-Sponville « Rien de ce qui est humain ne m'est étranger » (Térence). "Il est bien des merveilles en ce monde mais il n'en est pas de plus grande que l'homme. " Sophocle, poète grec du Ve siècle avant J.-C. "On ne peut rien voir de plus admirable dans le monde que l'homme. " Jean Pic de la Mirandole, philosophe

sur les poutres du plafond des maximes du scepticisme antique et des sentences tirées de l’Ecriture Sainte, qui forment encore aujourd’hui un témoignage émouvant de sa pensée humaniste : "Je suis homme, rien de ce qui est humain ne m’est étranger" (Térence). Il commence également à coucher par écrit le fruit de ses réflexions, ses "Essais" dont il publie le premier recueil en deux tomes en 1580 : "Je veux qu’on m’y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention et artifice : car

race n'a offert une ressemblance de famille aussi frappante que celle qui existe entre 2 Arlequin et ses aïeux . Quant à la personnalité d'Arlequin, elle fut sans doute empruntée aux personnages d'esclaves des comédies latines (celles de Plaute et Térence, eux-mêmes très inspirés par les spectacles comiques latins pré-classiques), au caractère souvent très proche (goinfres, poltrons, fanfarons, paresseux, lascifs...), aucune trace textuelle d'atellane n'ayant subsisté après l'Empire Romain. http://fr

connaissances de la Duchesse d’Albe, grande amie de Goya. Il est possible donc de parler d’une certaine compassion mutuelle entre deux êtres partageant une même souffrance. D’après Hughes, la devise même de l’artiste consistait en la maxime du poète latin Térence, « rien de ce qui est humain m’est étranger » démontrant l’immense humanité et empathie de Goya pour les souffrants. Rupture avec la tradition anglaise et française du portrait Ce portrait fait partie d’une série de portraits féminins peints par

d’éveiller l’intérêt pour la leçon chez des âmes tendres et craintives que de les y guider avec une trogne effrayante, les mains armées de fouet12 ! » Il y fait cependant de solides études et y acquiert le goût des livres (il lit Ovide, Virgile, Térence et Plaute), du théâtre (Gouvea encourageait la représentation des tragédies en latin) de la poésie (latine), et des joutes rhétoriques, véritable gymnastique de l’intelligence selon Érasme. On ne sait presque rien de sa vie de 14 à 22 ans. On retrouve

losanges multicolores. Ceux-ci représenteraient les multiples facettes d'Arlequin. Cette tenue relèvent du bouffon , la personnalité d'Arlequin, elle fut sans doute empruntée aux personnages d'esclaves des comédies latines ,celles de Plaute et Térence, eux-mêmes très inspirés par les spectacles comiques latins pré-classiques, au caractère souvent très proche de goinfres ou fanfarons voir paresseux. L'habit d'Arlequin est composé d'une veste et d'un pantalon à pièces colorées en forme de triangle

et de la danse. Le geste théâtral a en général une valeur symbolique. Rôle important des masques. Les acteurs déclament, avec un lourd costume, des chaussures qui les grandissent. Quelques grands noms : Eschyle, Sophocle, Euripide, Aristophane ; Térence, Plaute ; un théoricien très important pour le théâtre classique français : Aristote. Définition du théâtre selon lui : "l'imitation d'une action de caractère élevé et complète, faite par des personnages en action et non au moyen d'un récit, et qui