Térence

revenir brusquement sur elles pour les surprendre hors de leur garde : la plupart du temps, elles gardaient leur secret. J'étais La Pérouse, Magellan, Vasco de Gama ; je découvris des indigènes étranges : « Héautontimorouménos » dans une traduction de Térence en alexandrins, « idiosyncrasie » dans un ouvrage de littérature comparée. Apocope, Chiasme, Parangon, cent autres Cafres impénétrables et distants surgissaient au détour d'une belle page et leur seule apparition disloquait tout le paragraphe. Ces

à améliorer les relations sociales entre les dirigeants et le peuple (rapppel : ce sont les politiques qui offent les pièces. Il influence encore le théâtre actuel, tout comme le théâtre grec. Plusieurs grands auteurs comme Sénèque, Plaute ou Terence, ont influencé et influencent encore aujourd’hui le théâtre. III/Les combats de gladiateurs Le premier combat de gladiateur remonterait au IIIème siècle avant J.C. Ils deviennent publics en 105 av. JC. Ils prennent une place considérable dans

qui voudrait sauver son fils et être fidèle aux mânes d'Hector. Mais ces deux intérêts, ces deux plans sont si heureusement rejoints ensemble que, si la pièce n'était pas un peu affaiblie par quelques scènes de coquetterie et d'amour plus dignes de Térence que de Sophocle, elle serait la première tragédie du théâtre français »3. Selon le critique Félix Guirand, la pièce constitue un tournant dans l'histoire du théâtre français en cela que Racine « renouvelle le genre tragique en substituant à la tragédie

officiellement le théâtre romain : les magistrats chargent un Grec, Andronikos, de donner les premiers « Ludi Scaenici » (jeux scéniques). Pour cela, il traduit en latin des pièces du théâtre grec. Et seulement par la suite que des auteurs (Plaute, Térence, Sénèque) écriront des pièces originales, mais très fortement inspirées du modèle grec. Ces spectacles n'ont lieu qu'à l'occasion de solennités religieuses. Ils occupent souvent la journée entière et beaucoup commencent au petit matin, mais peuvent

(“tragédie”, “théâtre du monde”). Les portraits sont autant de saynètes comiques où l'auteur souligne les rôles que chacun joue. Les références au théâtre apparaissent également sous la forme de citations des auteurs antiques ou contemporains (Terence, Racine et Molière par exemple), et des acteurs contemporains (Floridor et Mondori dans le chapitre Des Grands). La Bruyère déplore tous les faux semblants que la vie en société ou à la cour fait émerger chez les hommes. [Argument 2 et exemples

­Les origines du théâtre comique.  Quelques  phénomènes qui ont contribué au développent du théâtre comique.    ● Les éléments comiques du drame liturgique ­ ​ Jeu de Saint Nicolas​  du moine Hilaire.  ● Les traditions comiques des écoles­ Des adaptations de Terence   ● La fête de Fous ­ mode d’expression comique ­ >> la farce  ● Les jongleurs ­ des spectacle populaire    Les clercs ­ Ils écrivent les drames liturgiques. Adam le Bossu a étudié au monastère de  Vaucelles          Le théâtre comique au XIII siècle

d’origine italienne. Il connait aussi bien le français que l’italien. Il publie en 1579 ses six premières comédies, en cinq actes et en prose (le recueil comprend Le Laquais, La Veuve, Les Esprits, Les Jaloux…). Prétendument imitées5 de Plaute et de Térence, ses comédies sont en fait « traduites » d’originaux italiens. Son but est de créer une comédie « française ». d’où une transposition systématique de l’univers de référence (la scène est à Paris, divers lieux sont précisés, divers usages aussi, les

observe ainsi les Parisiens se livrer à une comédie sociale dans laquelle ils ne s’attachent qu’aux apparences et refusent de voir l’homme véritable. « Je suis homme et rien de ce qui est humain ne m’est étranger » écrivit l’auteur de comédies latines Térence. Montesquieu acquiesce et avant lui Jean de la Bruyère dont l’ouvrage Les Caractères publié à la fin du 17ème siècle observe avec amertume que Paris , notamment, est un théâtre sur lequel les hommes jouent entre eux une comédie bien déplorable.

avait abandonné la comédie sentimentale qu'il avait inventée (après La Place royale en 1634) était exclusivement cantonné à l'adaptation de pièces étrangères, principalement espagnoles et italiennes20. Placées sous l'invocation de Ménandre et de Térence (tandis que la farce et la commedia dell'arte étaient rattachées par les théoriciens à la tradition héritée de Plaute et d'Aristophane), les comédies n'avaient pas pour objectif principal de provoquer le rire - le comique y était intermittent, mêlé

Caractères La construction des caractères se fonde à l’époque où Molière écrit sur une tradition héritée d’Aristote, via Théophraste, art du portrait qui a nourri la Comédie Nouvelle, ainsi que l’œuvre de Térence. Les caractères sont des portraits d’individus qui, ayant perdu le sens de la mesure où réside la vertu, sont aveugles à eux-mêmes et demeurent fixes. Le substrat de cette conception des choses est à rechercher dans la fameuse théorie des humeurs (le sang, le flegme, la bile et l’atrabile)