Terre-Ciel

promets le miel � ma main qui te touche. Je te promets le ciel au dessus de ta couche, Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces. Je te promets la cl� des secrets de mon �me. Je te promets la vie de mes rires � mes larmes. Je te promets le feu � la place des armes Plus jamais des adieux, rien que des au revoir. J'y crois comme � la terre, j'y crois comme au soleil. J'y crois comme � l'enfant, comme on peut croire au ciel. J'y crois comme � ta peau, � tes bras qui me serrent

semblent supporter l'édifice, lui donner un équilibre et relier le haut au bas, d'où la correspondance entre ce qui découle du ciel et ce qui découle de la terre. Le pavé mosaïque représente la divinité comme elle est perçue ici, noir et blanche, bien et mal, lumière et ténèbres. Les symboles représentés au dessus de la porte semblent se rapporter exclusivement au ciel, donc à l'esprit. On y voit représenté, les différents bijoux de la loge. On y voit la pierre brute nous représentant, et si

LXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et

de Mai la rose En sa belle jeunesse, en sa première fleur Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l’aube de ses pleurs au point du jour l’arrose : La grâce dans sa feuille, et l’amour se repose, Embaumant les jardins et les arbres d’odeur : Mais battue ou de pluie, ou d’excessive ardeur, Languissante elle meurt feuille à feuille déclose : Ainsi en ta première et jeune nouveauté, Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté, La Parque t’a tuée, et cendre tu repose. Pour

« marchait à l’aise » l.12, alors que d’autres sont plus représentatifs d’un résultat recherché pour donner plus d’effets à la toile : « chauffe à blanc le pavé » l.3, « réverbération éblouissante » l.3 ainsi que la métaphore « sous la pluie lourde d’un ciel en feu » l.6 Cependant, si le sujet traité est bien réel, on observe, principalement dans le deuxième partie de la description, une rupture entre le sujet et son rendu sur la toile du peintre. En effet, les petits détails qui faisaient de cette scène

Baudelaire, est le dernier des quatre Spleen et peut-être le plus terrible, le plus angoissant, délirant, dément. LXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à

quelques kilomètres, deux barques pour pouvoir profiter pleinement de leur journée. Il est vrai quʼen cette fin dʼaprès-midi, une lumière exceptionnelle éclairait la verdure et apaisait lʼatmosphère. Les deux amis étaient aux anges, ils contemplaient le ciel rose-orangé et écoutaient avec attention ce silence reposant attendri par le chant des oiseaux. Malgré la chaleur étouffante pendant la journée, ils ne sʼétaient munis que de chapeaux et de vêtements blancs. Ils ne sʼétaient pas vraiment protégés contre

d'un point de vue interne et métamorphosée par les sentiments que le personnage éprouve. Vu de ma fenêtre Vu de ma fenêtre, y'a que des bâtiments, Si j'te disais que je vois de la verdure, tu saurais que je mens, Et puis pour voir un bout de ciel, faut se pencher franchement, Vu de ma fenêtre, y'a des petits qui font du skate, ça fait un bruit, t'as mal à la tête, Et puis y'a des gars en bas qui galèrent, Ils sont là, ils font rien, ils prennent l'air, Surtout le printemps, surtout l'été

gronde La pluie qui tombe et la symphonie des vents. Et lorsque je demande à la Terre : "Mère, détestes-tu les hommes ?" Elle me répond : "Je bénis les ambitieux et ceux qui aiment affronter les dangers. Je maudis ceux qui ne s’adaptent pas aux aléas du temps et se contentent de mener une vie morne, comme les pierres. Le monde est vivant. Il aime la vie et méprise les morts, aussi fameux qu’ils soient. Le ciel ne garde pas, en son sein, Les oiseaux morts et les abeilles ne butinent pas

Elle vient du ciel Chapitre 1 La grande peur de Lucie -Au revoir ma chérie, me disait Maman. -Tu rentreras bientôt, hein Maman ? -Mais bien-sûr Lucie. Oh non !! Je vais être en retard pour prendre l’avion, mon voyage pour l’Espagne va être raté !!!! -Bon alors vas-y vite Maman !! Claque ! (la porte vient de se refermer) - (soupir) je crois que je vais pleurer, vous vous en rendez compte, être seule pendant 2 mois