Terre Des Hommes Les Camarades

toute la société contemporaine », Zola nous présente plusieurs milieux dont les mineurs avec Germinal, les politiciens avec Son Excellence Eugène Rougon, les grands magasins avec Au Bonheur des Dames, les artistes avec L’œuvre, les paysans avec La Terre, le monde de la finance avec La Curée… Zola donne à la peinture naturaliste des milieux un but humanitaire : "Quand les temps auront marché, quand on possédera les lois, il n'y aura plus qu'à agir sur les individus et sur les milieux, si l'on veut

près simultanément dans les deux foyers. Les deux mères distinguaient a peine leurs enfants, tandis que les deux pères, eux, les confondaient totalement. Les huit prénom se mêlaient sans cesse dans leur tête ; et quand il fallait en appeler un, les hommes souvent en criaient trois avant d'arriver au véritable. Le premier des deux appartement était occupé par les Vachetu, qui avaient trois filles et un garçon ; l'autre abritait les Llinva, qui avaient une fille et trois garçons. Tout cela vivait

jours de son pays éclipsés. Au départ de Bougainville, lorsque les habitants accouraient en foule sur le rivage, s'attachaient à ses vêtements, serraient ses camarades entre leurs bras, et pleuraient, ce vieillard s'avança d'un air sévère, et dit pleurez, malheureux Tahitiens ! pleurez ; mais que ce soit de l'arrivée, et non du départ de ces hommes ambitieux et méchants : un jour, vous les connaîtrez mieux. Un jour, ils reviendront, le morceau de bois que vous voyez attaché à la ceinture de celui-ci

Résister avec des chants et des poèmes. Pendant la 2nde guerre mondiale, une sorte de rébellion s’est mise en place. Que ce soit des hommes, des femmes, des enfants ; ils luttaient contre les allemands, leurs envahisseurs quotidiens. Parmi les nombreuses formes de résistance existantes, les chants, les poèmes sont des plus agréables. En entonnant ces chansons, inconnues des nazis, dans les endroits publics, les résistants se reconnaissent ainsi entre eux. Les chants de résistance étaient aussi

Dissertation: engagement et non engagement. L’homme est le seul être vivant sur la terre qui possède la capacité de parler, c'est-à-dire agir et réagir avec les autres. En partant de cette réalité. La littérature prend naissance depuis notre existence. Par là, il était donc normal que le sujet d’engagement prend une place importante dans la littérature. Les écrivains sont d’abord des hommes qui appartiennent à leur époque, et même compte-tenu d’une sensibilité plus vive qui participe

intact de leurs séjour dans les tranchées. Tableau central : C'est la représentation directe du front. Nous avons du mal à distinguer les éléments, tout étant entremêlé, chaotique. On remarque beaucoup de cadavres, leurs intestins se mélangent avec la terre et la boue. On peut apercevoir un seul soldat vivant qui est anonyme, il porte un masque à gaz. En arrière plan on peut voir un paysage ravagé par les bombardement, c'est un scène d'apocalypse.Nous pouvons diviser ce tableau principal par une diagonale

parce qu'il ne possède pas cette faculté est totalement différent de l'homme. Et contrairement à ce que défend Montaigne par exemple, la différence ainsi introduite n'est pas de degré, mais de nature, car « les bêtes n'ont pas moins de raison que les hommes, elles n'en ont point du tout. Certes les animaux ont des comportements parfaitement adaptés qui peuvent laisser croire qu'ils sont capables de se représenter une situation et d'inventer des solutions, ils paraissent même parfois plus adaptés que

tenaient sur le front ou dans des récits après la guerre. Ils nous révèlent que leurs conditions de vie étaient très difficiles. Mitraillés, bombardés, attaqués avec des gaz, obligés de partir à l'assaut des tranchées ennemies, ils voyaient leurs camarades mourir et vivaient constamment dans la peur. Ils souffraient de la boue, de l'humidité, du froid, des rats, de la puanteur des corps, du bruit. Parfois ils rentraient chez eux en permission, mais ils se sentaient alors incompris par les civils qui

dans une foule de circonstances de la vie. Don Carlos lui donna une épée dont la poignée, damasquinée d'argent, était ornée des armes de sa famille; il lui dit : «Jusqu'à présent tu n'as vécu qu'avec des enfants; tu vas maintenant vivre avec des hommes. Souviens-toi que le bien le plus précieux d'un gentilhomme, c'est son honneur; et ton honneur, c'est celui des Marafia. Périsse le dernier rejeton de notre maison plutôt qu'une tache soit faite à son honneur! Prends cette épée; elle te défendra

La faiblesse de Robineau offre donc l’occasion à Rivière de rappeler à son adjoint quelques vérités sur le rôle du chef :  « Si c’est par amitié qu’ils vous obéissent, vous les dupez. » (p.63) «  Si vous êtes las, ce n’est pas à ces hommes de vous soutenir. Vous êtes le chef. Votre faiblesse est ridicule. » (p.64) Or, l’impuissance et le désarroi de Robineau face à la mort de Fabien soulignent davantage l’image du chef qu’est Rivière. Véritable « gaïnde ndiaye » qui ne plie pas