Terre promise

extrait du recueil Chants d'ombre. Contre le colonialisme et revendique la culture noire, la façon de voir, le langage, le continent africain, le métissage. Publié après la seconde guerre mondiale. Ce poème est une ode à l’amour, à la femme, à la terre africaine. -> Dans quelles mesures Senghor réinvente la poésie lyrique ? I- L’hommage à la femme noire a) La femme noire à différents moments de la vie Vers 3 : Mère et enfant. Vers 6 : Jeune fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est

obscurité et lumière. Jeux de lumière : « A l'ombre [...] s'éclaire »..., champs lexicaux de l'ombre et de la lumière dans tout le poème soulignant la complexité de la femme. b) Amour et élévation spirituelle L’image biblique : « Terre promise » Moïse découvre la terre promise. Milieu aride pourtant plein de promesses. La femme donne apaisement et sérénité. La femme est un sujet maternel et de séduction. Elle protège l’enfant qui deviendra un homme ou une femme. Le cycle naturel est présent. L’élévation :

sa réussite humaine, une idole pour la pluie une pour le beau temps etc. etc. . Il décréta que le centre de l’univers était la terre, que le centre de la terre se trouvait en chaque homme. Seuls quelques curieux se posaient des questions, d’où vient l’univers ? Où va-t-il ? Il était trop tôt pour y répondre ou alors par le biais de DIEU créateur du ciel et de la terre, ce qui repoussait à plus tard les vraies questions. L’univers poursuivait son petit bonhomme de chemin, l’homme découvrait et expliquait

bêtes sauvages i.e. il est chassé de l'Éden et découvre le monde terrestre. Il est suspendu à un arbre i.e. l'axe vertical qui relie les racines de la Terre aux branches du Ciel. Suspendu par un talon (Oedipe signifie “pied gonflé”), il voit le monde à l'envers i.e. la vision inversée lui rappelle que ses véritables racines sont au Ciel et non sur Terre. Autrement dit, Oedipe est appelé à retrouver sa source édénique, siège de l'Androgyne Primordial, de l'état unifié précédant la division entre êtres

fraises, les cassis et les groseilles barbues » témoigne aussi de cette richesse soulignée par les pluriels. La nature semble regorger de fruits qui excitent le désir et la gourmandise de l’enfant. Cet univers apparaît presque comme une sorte de terre promise. Transition : la nature ici est presque maternelle dans la mesure où elle est à la fois le monde des origines et un monde fécond. En ce sens, on comprend que l’enfant entretienne un rapport privilégié avec elle. II L’ACCORD ENTRE L’ENFANT

vénérable maître lors de notre premier voyage nous l’a si bien dit : « L’homme est l’image immortelle de Dieu ; mais qui pourra la reconnaître s’il la défigure lui même ». L’être suprême nous confia d’une manière plus positive ses pouvoirs sur la terre. L’Homme errant dans les bois sans culture et fuyant ses semblables, serait impropre à remplir les vues de la Providence et à saisir toute la masse du bonheur qui lui est réservé. L’évangile de Saint de Jean nous instruit que : « La lumière

d’appropriation. Pour le marin l’espace échappe à la propriété. La terre se partage, la mer non, elle se contrôle grâce à l’appui des terres. Deux visions différentes s’appliquent. Celle de la mer comme espace de liberté, et celle de la mer comme espace « terrestre ». Depuis la 2nde ww, la mer se découpe en zone sur lesquels les mécanismes de souveraineté s’appliquent. On distingue donc communément la géopolitique de la mer et celle de la terre dite continentale. Dans tous les cas, les modes de vie façonnent

déployé au commencement n’a jamais été aboli. Les irruptions du mal n’affectent pas l’économie divine sur toutes choses. Dieu fait du chaos un cosmos harmonieux où toute réalité trouve sa place. Cet ordre établi par Dieu est géographique : ciel -terre ; mer et terre- sèche. Le centre se focalise sur l’arche noachique, le mont Sinaï et le sanctuaire du désert. Dans l’ordre hiérarchique, il y a la gradation de la création inanimée à la flore, à la faune et à l’homme. Cet ordre concerne le temps et l’histoire

• Apoc 4 : 3. Celui qui était assis avait l'aspect d'une pierre de jaspe et de sardoine; et le trône était environné d'un arc-en-ciel semblable à de l'émeraude. a. Pierre de jaspe et de sardoine. Jean emprunte des images aux richesses de la terre pour décrire la gloire de Dieu. La pierre de jaspe et de sardoine est encore trop faible pour représenter la gloire céleste. Le vieil apôtre voit resplendir de mille feux le jaspe, la sardoine et l’émeraude. Des rayons rouges, jaunes, verts,

original ; les crochets [...] signalent les manques) (Introduction) (33) L’exposé secret de la révélation que Jésus fit à Judas Iscarioth pendant les trois jours précédent la Pâques. (Le ministère terrestre de Jésus) Quand Jésus apparut sur terre, il réalisa des miracles et de grands prodiges pour le salut de l’humanité. Et puisque certains marchaient dans la voie de la justice tandis que d’autres marchaient dans celle de la transgression, les douze disciples furent appelés. Il commença à