Terrorisme en France

hantent toujours les esprits presque 10 ans plus tard. Le Conseil de sécurité, organe principal de l’ONU chargé selon sa Charte du « maintien de la paix et de la sécurité internationales » a réagit très rapidement. Jean-David Levitte, ambassadeur de la France à l’ONU et président pour le mois du Conseil de sécurité à l’époque, avait immédiatement convoqué une réunion urgente ainsi qu’une séance publique du Conseil. Le 12 septembre 2001, les 5 membres permanents et les 10 membres non permanents –dont trois

ailleurs, ils désirent également prolonger ce qu’on appelle la vision « messianique » des États-Unis, c’est à dire une Amérique qui favorise la démocratie contre la tyrannie, y compris par la force lors de « guerre préventive », pour lutter contre le terrorisme et les régimes menaçants et dans le but d’accélérer ce processus de « maturation politique » : la mise en place d’un régime démocratique. Certes pour des raisons morales, mais aussi et surtout parce que c’est le seul régime

notre liberté , A l’image de la LOPPSI(loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieur ) 2 , l’Etat utilise de plus en plus les nouvelles technologies afin d’améliorer la performance de la sécurité interieur en France (Entre 2009 et 2013, plus de 270 millions d'euros en crédits de paiement seront consacrés au « saut technologique » en ce qui concerne la gendarmerie nationale.) . En effet , contrairement au lois considérant la sécurité d’avant , celle d’aujourd’hui

ces deux notions restent très différents. Ainsi, tandis que la sécurité maritime tend à prévenir les risques d’origine naturelle ou provoqués par la navigation maritime, la sûreté maritime se concentre elle sur la prévention des actes criminels (terrorisme, piraterie, trafic de stupéfiants, clandestins, entre autres) susceptibles de nuire outre au bon fonctionnement de la chaîne logistique maritime, à la sécurité des personnes et des biens. Or, bien qu’en droit maritime il ne s’agisse pas d’un concept

1 I. la violence dite terroriste. Bilan de la violence. i on établit un bilan de cette violence en France ou en Occident, on observe que le nombre de personnes tuées par an est relativement faible. En France depuis 80 ans, une dizaine de personnes ont été tuées par la violence terroriste par an. Si on compare cette intensité avec d'autres formes de violence, comme la violence civile, on constate son caractère éphémère. Par exemple avec la guerre en ex-RDC : 4 millions, 160 000 en Irak

soubresaut majeur. Le président américain, George W. Bush, fraîchement élu, déclarait la guerre au terrorisme international en réponse aux attentats perpétrés sur le sol américain ce jour-là. Qualifié de « base d'opérations terroristes1 » par celui-ci, l’Afghanistan apparaît dès lors en première ligne dans cette nouvelle « croisade2 » à laquelle se joignent les puissances alliées des États-Unis. La France en fait évidemment partie. Depuis plus d’une décennie, l’OTAN s’emploie donc à éradiquer le principal

nationale, enfin, contre un envahisseur ou un occupant, que celle-ci se présente sous la forme d’une « résistance » œuvrant au côté ou en complément d’une armée régulière chargée de la défense du pays ou bien qu’elle soit le fait, au contraire, de francs-tireurs ou de maquisards livrés à eux-mêmes. De l’une à l’autre de ces hypothèses diffèrent non seulement les motivations, mais un certain nombre d’éléments, comme la structuration du mouvement, l’encadrement idéologique ou la formation des combattants

aujourd'hui en France se passer de la force militaire ? Aujourd'hui, le territoire français n'est plus soumis au même menaces qu'il y a quelques années, alors beaucoup se demande : l'armée française est-elle encore utile ? De plus, la pacification des rapports entre états n'arrange pas la tendance, et la population ne voit plus qu'en l'armée une dépense inutile de 30,1 milliards d'euros par an. Peut on vraiment, aujourd'hui en France, se passer de la force militaire ? La France au niveau national

  INTRODUCTION    La France, comme d'une manière générale les pays occidentaux, est un pays où la  sûreté des citoyens apparaît bien assurée et le niveau de violence faible.  Cependant, on constate le renforcement des préoccupations sécuritaires. La  progression de la délinquance au cours des dernières décennies est réelle, tout  comme le trafic d'armes ou même le terrorisme.  Le sentiment d'insécurité ne se distribue pas de la même manière. En 2012, une  enquête de victimation a été réalisée. Les Français se sont déclarés de moins en 

qui les suivent. C’est le cas notamment après les attentats du 11 septembre où Bush adopte l’unilatéralisme avec les guerres en Irak et en Afghanistan où les Etats-Unis on attaquait ces deux pays pour lutter contre le terrorisme, malgré l’opposition de certains alliés comme la France et l’Allemagne et contre l’accord de l’ONU. Ces guerres montrent l’apogée de l’unilatéralisme à l’américaine. Toutefois, même après avoir renversé la dictature et Saddam Hussein en Irak, les Américains ne parviennent