Laetare de Stavelot

Stavelot et ses Blancs-Moussis[modifier] Un Blanc Moussis Il semblerait que jadis, les moines de Stavelot avaient l'habitude de participer avec les Stavelotains aux festivités du carnaval. Suite à un édit du prince-abbé, G. de Manderscheidt en 1499, cette pratique fut interdite. Les Stavelotains qui appréciaient la présence des moines à leur fête, renaclèrent à cette interdiction et décidèrent de la tourner en dérision à leur façon. Ils participèrent d'abord au carnaval déguisés eux-mêmes

religions ont très vite compris l’intérêt de récupérer ces fêtes païennes et de leur donner une représentation plus sacralisée. Parfois ce sont les circonstances qui rapprochent de I'Eglise. Par exemple au Moyen Age à Stavelot, les moines «guindaillaient» le jour de la Laetare en se mêlant à la population locale dans des réjouissances mi-sacrées mi-païennes. L'Eglise est ensuite intervenue pour interdire aux moines de quitter l’abbaye á cette occasion. C'est l'origine des Blancs Moussis car

lieu plein de sens pour le poète. Cela montre que la vie parisienne de ce dernier l’a marqué. Il parle du voyage (« Zone ») qui exprime une envie d’évasion et une curiosité. Un thème sur lequel Apollinaire a écrit est la Nature («Aubade chantée a laetare un an passé») ; mais aussi sur les conflits (« la synagogue ») ; l’univers (« Voie lactée, Ô sœur lumineuse… » ) qui rappelle l’appartenance de l’auteur au mouvement symboliste ; la mort (« la maison des morts ») ; les personnes en marge de la société

ET L’ÉPIGRAPHE 76 FRAGMENT 1 : « UN SOIR DE DEMI-BRUME À LONDRES » Les fausses apparences L’idéal féminin : entre les frontières de la fantaisie et de la réalité La mémoire et l’oubli La rêverie 76 77 78 80 80 FRAGMENT 2 : « AUBADE CHANTÉE À LAETARE UN AN PASSÉ » 81 FRAGMENT 3 : « BEAUCOUP DE CES DIEUX... » Le protagoniste et la mort de l’amour 83 83 5 Le troubadour L’anedocte du Sultan et des Cosaques 84 85 FRAGMENT 4 : « RÉPONSE DES COSAQUES ZAPOROGUES AU SULTAN DE CONSTANTINOPLE »