Terry Gilliam

vingtaine de copies et devant affronter une dizaine de nouveaux films à cette date, dont trois gros films particulièrement attendus (Trésor de Claude Berri et François Dupeyron, 2012 de Roland Emmerich, et l’Imaginarium du Docteur Parnassus de Terry Gilliam), D’une seule voix a développé une stratégie de communication tout à fait singulière, et encore rare en France, pour exister et conquérir son public. Un compte Twitter du réalisateur, une page fan sur Facebook, un site officiel comprenant une

joue en duo avec son compatriote Brendan Gleeson. Ce film lui vaudra aussi un Golden Globe du meilleur acteur de comédie, devant son partenaire, nommé dans la même catégorie et pour le même film. En 2009, à la suite de la mort d'Heath Ledger, Terry Gilliam prend Farrell, Jude Law et Johnny Depp pour remplacer son acteur dans le film alors inachevé, L'Imaginarium du docteur Parnassus. En 2010, il joue dans Ondine, de Neil Jordan, une histoire de pêcheur irlandais. En 2012, il revient au film

qui lui ont succédé. L’ombre de Morrison plane en effet dans les œuvres les plus intéressantes d’hier et d’aujourd’hui, en témoignent des films tels que Easy Rider (1969) de Peter Fonda et Dennis Hopper, Fear and Loathing in Las Vegas (1994) de Terry Gilliam et The Big Lebowski (1998) des frères Cohen, qui à eux trois résument l’époque, l’état d’esprit, et rendent, consciemment ou non, un vibrant hommage à l’artiste et à son ère. De même en littérature, Morrison, lui-même amateur d’Aldous Huxley

amateur en super-8, conserve cette authenticité». Voyant tout ce qui sort, («même si on aime pas») une manière de références, de points de repère, Emanuelle et Alain se précipitent à chaque fois pour redécouvrir (déjà quinze fois!) «Brazil»de Terry Gilliam, ou les «anciens films», dont ceux d’Hitchcock notamment. Mais aussi Peter Greenaway, Woody Allen et tant d’autres. Un amour de l’image brut, jusque dans sa forme composée, ciselée par un œil, reflet de l’idée, en accord avec le mot devenu histoire

intéressante, on apprend que de nombreux cinéastes de talent et amis de Scorsese l'ont aidé à trouver un dénouement satisfaisant. Spielberg fut impliqué, de même que Michael Powell (qui trouva le final définitif du film) ainsi que Michael Palin et Terry Gilliam. Pour finir, j'ajouterai que ce livre, en plus d’être un outil essentiel à la compréhension de ce cinéaste complexe et torturé qu'est Martin Scorsese, s'avère être un précieux témoignage fort utile à quiconque veut se lancer dans le cinéma.

avec des auteurs-réalisateurs à l'identité artistique forte. Il tournera ainsi avec Emir Kusturica, qui lui offre en 1993 un rôle à la mesure de son talent dans Arizona Dream et Jim Jarmuschen 1995 dans Dead Man. Il collabore à trois reprise avec Terry Gilliam : en 1998 dans l'adaptation culte du livre Las Vegas Parano de son ami Hunter S. Thompson, dans le chaotique et inachevé L'Homme qui a tué Don Quichotte, qui donnera lieu en 2001 au documentaire Lost in La Mancha (réalisé par Keith Fulton) et fait

1957. Retour au meilleur des mondes, 1958, essai de ce même auteur. Paranoïa, jeu de rôles dans lequel l'organisation sociale du Complexe Alpha s'inspire ouvertement du Meilleur des mondes (clonage, castes, conditionnement). Brazil, film de Terry Gilliam (1985). Globalia, de Jean-Christophe Rufin, qui traite de thèmes semblables, publié en 2004. Liens externes[modifier | modifier le code] (en) Catégorie Le Meilleur des mondes de l’annuaire DMOZ Notes et références[modifier | modifier le code]

mesuré aux plus grands textes (La Bible, Dante, Rabelais, Perrauld, Shakespeare, Hugo, Balzac, Poe), faisant de lui un véritable passeur de la culture européenne. Il occupe ainsi une place cruciale dans l'imaginaire contemporain, de Van Gogh à Terry Gilliam, sans compter son influence certaine sur la bande-dessiné. Nous savons aussi que les illustrations de Gustave Doré sont une source d'inspiration capitale pour le cinéma, c'est avant tout parce qu'il y fait œuvre de mise en scène : ses illustrations

Occidentale apparaît dans cet ouvrage: Vouloir interdire « les drogues » sans avoir commencé par éliminer l'une des pires, l'alcool. Fear and Loathing in Las Vegas (1972) Ecrit par Hunter S. Thompson, ce livre a par la suite été adapté par Terry Gilliam au cinéma. Le film et le livre sont connus en France sous le titre de Las Vegas Parano. C'est un récit en grande partie autobiographique, ultra-subjectif comme le veut le genre. Destruction de chambres d'hôtels, de voitures de location, détournement

ces armes ne sont majoritairement pas dans n'importe quelles mains. « Aux mains de l’état, la force s'appelle droit ; aux mains de l'individu , elle se nomme crime. » Je pensais que « Bienvenue a Gattaca » d’ Andrew Niccol , « Brazil » de Terry Gilliam , ou encore le roman « 1984 » de Orwell , étaient des fictions, mais ces auteurs ont juste été avant-gardistes et visionnaires. « A chaque coin de la planète depuis l’instauration des régimes démocratiques : prisons, répression, matraques