Tertiarisation Et Productivité

économiques : tertiarisation et hausse des emplois plus qualifiés, fordisme et développement des emplois d’encadrement intermédiaire, … des transformations sociales : scolarisation croissante (doc 2a et augmentation de la proportion de bacheliers d’environ 27% à 62% (multipliée par 2,29) et mobilité sociale ascendante qui rend possible cette aspiration vers le haut B)une certaine uniformisation de la société 1)hausse du niveau de vie et réduction des inégalités fordisme => gain de productivité du travail

croissante des activités nécessitant peu de qualification expliquent la diminution progressive de la part des ouvriers dans la population active totale. La population agricole est en fort déclin depuis des décennies, du fait des forts gains de productivité réalisés grâce au remembrement des terres après la seconde guerre mondiale et à la mécanisation croissante de l’activité agricole. L’augmentation des besoins en travail qualifié et l’essor croissant des activités liées aux services expliquent la

(en Angleterre) et vers 1860 en France. Elle a connu une accélération en 1950 (période des trente glorieuses [1945-1973]), avec notamment la mise en place du Fordisme, L’Organisation Scientifique du Travail de Taylor (travail à la chaine = hausse productivité + hausse production + hausse salaire etc.). C’est une période de production de masse et de consommation de masse. De plus, en 1945 il y a la création de la sécurité sociale, donc cela libère du pouvoir d’achat et donc stimule la croissance économique

le fordisme et le taylorisme). C’est une croissance autoentretenue et reposant sur des gains de productivité importants : on parle de croissance intensive (contrairement aux autres pays). Ces gains de productivité profitent aux salaires, qui augmentent, ce qui permet le développement d’une consommation de masse tournée vers les produits standardisés (la Ford T par exemple). Cette hausse de la productivité permet également une baisse de la durée de travail. De plus, on observe de nombreux mouvements

la pop, ils sont conjoncturels (à long termes)) d’une population, qui la rendent apte à faire croître cumulativement et durablement son produit réel global. (def de François Perroux) Principaux changements : - économique : industrialisation, tertiarisation, hausse qualification, hausse prod, baisse tps de W, hausse pvoir d’achat, changement de manière de consommer (loi hengel : quand revenu augmente, la part consacrée à l’alimenta° baisse), améliora° loisirs/santé/nvelle technologies/transport

activités laboristiques, des activités à faible et à forte productivité, des activités tournées vers la consommation finale, vers la consommation intermédiaire... Les caractéristiques du secteur tertiaire au Maroc : Un faible degré ou intensité capitalistique car il y a une faible utilisation de la technologie (la présence de l’homme est encore indispensable) C’est un secteur fragile car il se compose d'activités parasitaires qui ont une productivité et une efficacité nulle. Il s'agit des petites métiers

L’organisation du travail source de productivité et de croissance A/De Smith à Ford Les principes du taylorisme sont appliqués progressivement à partir du début du siècle, d'abord aux Etats-Unis, puis très largement en Europe. L'intérêt de recourir à l'organisation scientifique du travail est alors évident : les cadences de production s'accélèrent, la productivité des machines et des hommes augmente. La rationalisation des productions est ainsi réalisée. La généralisation progressive

au flux annuel de l’investissement 3. Mais surtout par l’augmentation de la productivité (croissance intensive) • On produit toujours plus par unité de travail et de capital ∗ Productivité physique = quantité produite / quantité de travail ou de capital. ∗ Productivité apparente du travail = (Valeur ajoutée / effectif). Elle s’exprime en euros par travailleur ou par heure • L’augmentation de la productivité du travail a des causes multiples. ∗ Les transformations de l’organisation du

d'activité est une réalité incontournable à laquelle elles doivent coûte que coûte s'adapter. Pour celles qui écartent l'hypothèse de la délocalisation, souvent parce que leur taille ou leur marché ne le permettent pas, la seule solution pour gagner en productivité est de remplacer les facteurs de production dont le coût relatif est le moins favorable par un facteur plus compétitif. Cette adaptation passe alors par une substitution capital/ travail qui justifie, sous une autre forme, la désignation des effets

1 La perte de l'identité ouvrière est lié au déclin des ouvriers qui se fait sentir depuis les années 60. Les chiffres sont très revelateurs des modification de la société. Sont mis en cause plusieurs pheneomenes tel que la moyennisation, la tertiarisation qui represente néanmoins une part importante des ouvriers, ainsi que le manque de réponse face à la concurence. DECLIN NUMERIQUE ET CAUSE DE CE DECLIN On remarque que la part des ouvriers parmi les actifs a nettement diminué depuis les années