Tétras lyre

et tenant un sceptre. Il était tellement détesté qu'on a utilisé son nom nulle part ailleurs. Apollon : Il est le dieu grec du chant, de la musique et de la poésie : il est fréquemment représenté avec son arc et ses flèches, ou encore avec une lyre, instrument à musique en forme de harpe mais plus petit. Les astronautes ont nommé un des premiers vaisseaux spatiales d'après lui, parce que, au 19ème siècle, il symboliser la raison, la clarté et l'ordre. Aphrodite : C'est la déesse de la germination

s’accélèrent lorsque l’action se précipitait ou si une quelconque menace s’approchait. La musique permettait ainsi de poser l’ambiance et d’enrichir l’action. La musique a ensuite évoluée en faisant apparaître de nouveaux instruments tels que le syrinx, la lyre, la cithare ou l’orgue. Outre les musicien, le chœur était aussi très présent dans l’orchestra où il représentait souvent la population, son rôle était multiple : il pouvait résumer les situations pour aider le public à suivre les évènements ou commenté

recherche de rythmes particuliers, comme l'utilisation des vers, et d'effets sonores, comme les rimes, avait une fonction mnémotechnique pour la transmission orale primitive. Poésie est placée à la fois sous l'égide d'Apollon (dieux des arts, jouant de la lyre et patron des Muses) et d'Orphée (symbolisant la musique avec sa flûte). Cette tradition du mètre et de la rime poétiques se retrouve des origines de la poésie jusqu'à nos jours. - Certaines figures de style comme l'assonance ou l'allitération ainsi

assurée par des jongleurs qui en étaient les auteurs, les adaptateurs ou simplement les interprètes. Ces œuvres chantent les hauts faits de héros carolingiens ennoblis – ou inventés – par la légende. L'origine orale et chantée de la poésie qu'évoquent la lyre d'Orphée ou la flûte d'Apollon marque l'expression poétique avec les rythmes par le jeu des accents, le compte des syllabes (vers pairs/impairs, « e muet »…) et des pauses (césure, enjambement …) . Elle utilise également les reprises de sons dans

belle? Car, comment oser soutenir que ce qui est beau n'est pas beau? HIPPIAS. Tu dis vrai, Socrate, et le dieu a très bien parlé. En effet, nous avons chez nous des cavales parfaitement belles. SOCRATE. « Fort bien, dira-t-il. Mais quoi ! une belle lyre n'est-elle pas quelque chose de beau? » En conviendrons-nous, Hippias ? HIPPIAS. Oui. SOCRATE. Cet homme me dira après cela, j'en suis à peu près sûr, je connais son humeur « Quoi donc, mon cher ami, une belle marmite n'est-elle pas quelque chose

en 1896, à Paris à l’âge de 51 ans. Le lendemain de son enterrement, plusieurs quotidiens relatent un événement curieux : dans la nuit qui a suivi les obsèques, la statue de la Poésie, au faîte de l’Opéra, a perdu un bras qui s’est écrasé, avec la lyre qu’il soutenait, à l’endroit où le corbillard de Verlaine venait de passer. [pic] Apollinaire attend une femme(Marie) et imagine ce d une femme(Marie) et imagine ce qu’il pourrait se passer pendant cette attente. [pic] Guillaume Apollinaire

musicale. Les nombreuses reproductions figurant sur les vases et, d’autre part, l’Iliade et l’Odyssée d’HOMÈRE nous donnent une image plus exacte de la musique. C’est aussi le temps des dieux et des mythes. Apollon, fils bien aimé de Zeus, joue de la lyre et dirige le chœur de neuf muses. Elles sont nymphes puis déesses du rythme et du chant, elles incarnent les différents aspects de la musique, du langage, de la danse et du savoir : Clio – l’histoire et l’épopée Calliope – la poésie et le récit

trois : Aédé (le « chant », la « voix »), Mélété (la « méditation ») et Mnémé (la « mémoire »). Ensemble, elles représentent les pré-requis de l'art poétique dans la pratique du culte. À Delphes, elles portent le nom des trois premières cordes d'une lyre : Aigüe (Nété), Médiane (Mésé) et Grave (Hypaté). Cicéron en compte quatre : Thelxinoé, Aédé, Arché et Mélété. La tradition leur attribuait deux résidences : une sur le mont Parnasse, l'autre sur l'Hélicon. C'est Platon (dans Ion) vers 401

Orphée est une figure célèbre de la mythologie. Accompagné de sa Lyre donné par Apollon, il va de monde en monde charmant tous ceux qui lui feraient obstacle. Dans les 4 textes que nous allons étudier, il est question de lui et de sa bien-aimé Eurydice, mais surtout de l'histoire du voyage qu'à fait Orphée pour sauver sa femme des Enfers. Le premier texte est un extrait Métamorphoses d’Ovide, appartenant au livre X appelé « Orphée et Eurydice » datant du 1er siècle après J.C. Le deuxième texte

n'était revenu d'un tel voyage; seul Héraclès, dont la force était surhumaine, réalisa cet exploit. Orphée n'avait pas la puissance d'Héraclès, mais ses dons de musicien étaient sans égal: on disait que son chant et les sons qu'ils tirait de sa lyre charmaient même les objets inanimés. Une fois parvenu au cœur des Enfers, il se mit à jouer pour Hadès, leur roi, et son épouse Perséphone. Hadès se montrait d'ordinaire insensible aux suppliques des mortels, mais les notes éloquentes d'Orphée