Texte De Freud Sur Le Bonheur

libre. Problématique :Que désigne-t-on par le concept du travail ? Quelle finalité pourrait-il avoir : matérialiste ? Spirituelle ? Métaphysique ? Est-il source de souffrance, d’humiliation et de déshumanisation ou serait-il plutôt un synonyme de bonheur, d’épanouissement et de reconnaissance ? Cette souffrance au travail, affecte-t-elle le corps ou l’esprit ? Est-il une source de liberté ou d’asservissement ? Si le travail fait souffrir, pourquoi continue-t-on à travailler ? Que serait notre vie

le mal ? L’exemple du Shoa souligne l’obscénité du projet de comprendre. Donner une raison c’est justifier. Le mal dans son ampleur nous force à accepter qu’il existe des questions insondables. I. L’expérience du Mal A. La réalité TEXTE : Essai sur les grandeurs négatives, Kant Kant part de l’idée selon laquelle, le mal est d’abord l’objet d’une expérience. Le mal se donne comme quelqu’un chose qui ne tient pas à moi, que je rencontre dans une épreuve, que ce soit dans la douleur

était, tel demeure son rêve. Il est difficile de croire qu'il ait sacrifié le paradis par simple désir de connaître le bien et le mal ; en revanche on l'imagine parfaitement risquant tout pour être quelqu'un. Corrigeons la Genèse: s'il gâcha son bonheur initial, ce fut moins par goût de la science que par appétit de la gloire. (…) Le désir de gloire vous quitte-t-il ? Avec lui s'en iront ces tourments qui vous aiguillonnaient, qui vous poussaient à produire, à vous réaliser, à sortir de vous-même

de morale explicite, le fabuliste prend parti pour lui. Ayant choisi la 35 liberté, il devient « maître ».Ici, la morale n’est pas explicite, elle n’est pas directement exprimée : c’est au lecteur de tirer lui-même la leçon de cette anecdote. Le texte est plutôt construit sur la confrontation de deux thèses, celle du loup (la liberté a plus de valeur que tout) et celle du chien (le confort matériel est plus important que la liberté). Un autre cas, ou la littérature peut etre considérée 40 comme

Répertoire de distinctions conceptuelles14Répertoire de distinctions conceptuelles Absolu/relatifAbsolu désigne ce qui est total, complet, parfait : on peut dire d’un amour ou d’un bonheur qu’il est absolu, ou encore d’un pouvoir qu’il est absolu, quand il est sans partage et sans réel contrepoids institutionnel. L’absolu désigne un état ou une situation extrême, qui semble se situer au-delà de toute comparaison possible, rejeter toute qualification qui viserait à l’atténuer, à le relativiser. En

indépendante, de ce qu’il peut se penser sans apparemment faire appel à autre chose que lui-même ? Ce problème peut d’abord être posé à partir de la réflexion cartésienne, du cogito tel qu’elle est développée dans la Méditation seconde1 Ainsi dans ce texte Descartes parvient à la conclusion que l’existence du moi est essentiellement liée à la conscience que celui-ci peut avoir de lui-même, que le moi ne peut être conçu que par le « je» susceptible de se penser lui-même dans la certitude de son existence

d’une cité : par conséquent c’est soit une bête soit un dieu »9. Il est soit un dégradé, soit un être surhumain. Après avoir élucidé la conception d’Aristote selon laquelle l’homme est un animal civique, scrutons maintenant celle selon laquelle le bonheur de l’homme se construit seulement dans la cité. 2- La cité naturelle selon Aristote comme le lieu de réalisation de l’homme. Le terme aristotélicien de “cité’’ traduit le grec “polis’’ qui peut désigner la ville, considérée avec ou sans l’arrière-pays

les croyances, les dieux, les normes, les coutumes des autres sont inférieurs, faux, mauvais,…et cela à son tour est en parfaite harmonie avec les besoins de l’organisation identificatoire de la psyché de l’individu » (4). Aussi, comme l’a souligné Freud, l’intolérance est-elle inévitable, et cela d’autant plus que les cultures sont plus proches : « Dans les aversions et répulsions qui se manifestent de façon apparente à l’égard des étrangers qui nous touchent de près, nous pouvons reconnaître l’ expression

invite l'individu à penser par lui-même et de façon rationnel, commence le grand essor de la grande culture savante occidentale (Platon, Aristote, les sceptiques, les Epicuriens, les stoïciens). Les savants s'occupent de l'eternel question du bonheur. Rome est le prolongement d'Athènes. ( Virgile: "L'Eneide"; Ovide / "Carpediem": Horace ( c'est de l'épicurisme) Sénèque ( grand stoïcien qui a élevé Néron) et Cicéron ( juriste, moraliste, stoïciens). La culture savante au Moyen-âge est presque

Pour bien comprendre un texte, il faut savoir le situer dans l’histoire des idées et des mouvements littéraires et artistiques. 1 L’humanisme Pour ce mouvement, reportez-vous aux fiches 41, 42 et 43. 2 Le baroque Le baroque naît à la fin du XVIe siècle et se prolonge jusqu’au second tiers du XVIIe siècle. Il est marqué par les guerres de religion. Il se caractérise par l’exubérance des formes, le mouvement, les jeux de miroir, les métamorphoses. Mais ceci se dessine sur un arrière-fond pessimiste :